Les négociations en question

Les négociations en question

30 mars 2014 1 Par Eli

Abou Mazen rectifiéeNous y voici donc, Abou Mazen après avoir vu 3 contingents de prisonniers libérés alors que les négociations n’ont pas avancées d’un pouce s’étonne du blocage côté israélien qui refuse d’élargir ce quatrième contingent.

Nous n’avons pas libéré des criminels pour le plaisir de rencontrer Abou Mazen ou ses adjoints, mais pour débloquer un processus, pour preuve de notre bonne volonté.

Quelle preuve de bonne volonté a fourni le côté arabe? Rien, nada, niente, éfes. Pourquoi? tout simplement parce que les Américains et les Européens nous imposent une personne n’ayant aucune qualité pour prendre des décisions.

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La réponse a déjà été évoquée dans ces colonnes, il faut imposer aux Arabes de revenir en arrière sur leur triple non de Khartoum.

Lorsque les Arabes l’auront fait, les négociations pourront réellement démarrer.

Lorsque Israël propose la libération de 400 prisonniers supplémentaires en échange de 6 mois de rallonge de négociation, les Arabes obtiendrons 400 libérations, et Israël rien, pourquoi s’entêter?

John Kerry nous menace de ne pas opposer son véto, à une prochaine demande, ce qui revient à dire aux Arabes: inutile de négocier, demandez la reconnaissance à l’Onu, nous ne vous bloquerons pas. C’est un crime antisémite, nous devons y répondre d’une seule manière: Annexion immédiatement de la Judée et de la Samarie.

Le nœud Gordien de cette affaire c’est Khartoum, pas Israël.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour http://eli-d-ashdod.com/

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