Ils sont venus, ils sont tous là.

Ils sont venus, ils sont tous là.

15 octobre 2014 1 Par Eli

Ils sont venus et ils sont tous la. Plus de quarante pays coalisés contre la menace du Daesh ou de l’Isil ou de l’Isis ou de l’EI ou de terroristes ou des Djihadistes mais surtout éviter de parler d’Islam. Les plus grandes puissances mondiales occidentales ont rallié des alibis arabes aux capacités militaires inexistantes afin de ne surtout pas oser frapper des musulmans sans une « caution » arabe ou musulmane.

Obama reçoit les membres de la coalition contre l'E.I.

Obama reçoit les membres de la coalition contre l’E.I.

Cette coalition a déjà effectué des milliers de frappes aériennes contre les « forces du califat ». Personne n’ose parler de riposte disproportionnée ou de nécessité d’un cessez-le-feu.

Dans ce conflit qui tait son nom, les sunnites et chiites, la Turquie et l’Iran, tentent de tirer des avantages. Ce que les USA et leurs alliés ont réussi est d’avoir mobilisé autour du drapeau noir les talibans, le Boko Haram et d’autres groupes musulmans à travers la planète.

Tout en souhaitant pleine réussite à la coalition, on peut s’interroger sur quelques aspects de cette guerre.

Face à la puissance militaire écrasante des alliés, se trouve une force armée de quelque dix ou quinze mille barbares. Alors que les combats au sol font rage entre les combattants kurdes et les musulmans de l’Etat islamique, ce sont ces derniers qui avancent et prennent de nouveaux territoires.

Pas un journaliste au sol pour nous ne transmettre l’ampleur des dégâts dans les villages bombardés par les F16. Pas un journaliste pour montrer les images des «enfants» combattants tués par les bombes alliées. Pas un relevé quotidien des pertes «civiles» ou non causées par les frappes aériennes et relevées par des journalistes.

A croire qu’il n’y a pas de journaliste sur place.
A croire surtout que tous les journalistes sont restés à Gaza !

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En considérant la disproportion frappante entre les puissances coalisées et les barbares au sol, on comprend qu’il ne peut y avoir de victoire réelle sans troupes au sol affrontant l’ennemi. C’est ce que les quarante pays intervenant ont peur de s’avouer. Ils n’osent pas et n’auront pas le courage de terminer réellement cette guerre.

Le massacre de troupe chiites, la décapitation d’occidentaux, le comportement somme toute habituel de forces islamiques et la présence de raffineries de pétrole ont amené la Coalition à entrer en guerre. Il est remarquable de constater que les attentats innombrables commis en Israël par des barbares de même nature n’ont pas amené les occidentaux à soutenir Israël dans sa riposte mais au contraire à l’affaiblir en soutenant les exigences de ses ennemis. Vraisemblablement parce que les victimes n’étaient que juives.

Les USA ont perdu toutes leurs guerres depuis la seconde guerre mondiale. Sauf l’invasion de l’île de Grenade, tous les terrains d’opération ont amené les Etats-Unis à la défaite tant en Corée qu’au Vietnam, à Cuba ou en terre musulmane. Les talibans ont repris le pouvoir, le retrait d’Irak a amené le Daesh. Les français au Mali n’ont pas empêché le Boko Haram de continuer à contrôler de vastes zones ou à empêcher la dramatique mise à mort d-un alpiniste. Quand l’Occident se retire, ce sont les musulmans les plus radicaux qui s’installent. C’est le même cas pour le retrait israélien de Gaza et de certaines villes de Judée et Samarie où le Hamas prend le pouvoir.

«Mal nommer les choses ajoute au malheur du monde» disait le grand Camus. Tant que l’occident mènera une guerre sans nommer l’ennemi, il perdra. L’ennemi est l’Islam.

Il est évident que la majorité des musulmans ne sont pas prêts à décapiter ou à prendre les armes pour imposer la charia en Europe. Mais il s’agit d’une majorité silencieuse soumise à un Coran qui donne raison aux assassins d’Al Qaida, du Daesh ou du Hamas et que personne ne retirera de ce livre les passages innombrable appelant à la destruction des «infidèles» chrétiens et juifs ou ordonnant la conquête du monde. Nommer l’ennemi est déjà une bataille gagnée. L’Occident tout coalisé qu’il soit, perdra également cette bataille tant qu’il ne nommera pas l’ennemi sous son vrai vocable : Islam.

Alors seulement, les mesures indispensables à l’arrêt de sa propagation seront prises en connaissance de cause.
Pour gagner la guerre, l’Occident doit établir un cordon sanitaire autour des pays musulmans, stopper les courses au contrat avec le Qatar et veiller sur le sol européen à stopper la propagation de cette idéologie de haine et de guerre qu’est l’islam.

Les avions alliés volent mais les Kurdes paient le prix fort sous le regard intéressé de l’armée turque aux mains des islamistes «modérés.»

Quiconque veut exister dans cet environnement musulman et au milieu de cette lâcheté munichoise de l’Occident doit avoir sa propre armée puissante. Sinon les avions occidentaux survolent les terrains comme le firent les alliés en survolant Auschwitz sans bombarder.

Dans le même temps où les pays démocratiques tentent de stopper l’avancée des troupes du Califat, ils se réunissent avec les Etats arabes au Caire pour la reconstruction de Gaza.
Pas de Sdérot ou Ashkelon!

Comment mieux transmettre aux assassins de l’Islam qu’ils peuvent tout se permettre. Le message d’un Obama, d’un Fabius ou des autres participants est clair. En somme les « pays donateurs » déclarent aux terroristes de Gaza qu’ils peuvent envoyer des milliers de fusées contre les villes israéliennes, creuser des tunnels pour assassiner des enfants, kidnapper et égorger des adolescents, commercer avec des restes humains pour récupérer des assassins. Tout cela sans la moindre sanction internationale. Plus de cinq milliards de dollars pour reconstruire les tunnels, les bunkers, les domiciles des chefs criminels, les mosquées pour stocker des armes, les écoles pour tirer des fusées, les comptes en banque des « dignitaires palestiniens » corrompus. Le Hamas peut donc tranquillement préparer la prochaine bataille contre Israël.

A quoi sert de bombarder le Daesh quand on active le terrorisme du Hamas !

Ce pseudo peuple «palestinien» entre dans l’histoire comme un groupe de terroristes et de mendiants, de squatters et de maîtres-chanteurs permanents.

Gaza doit rester détruite et vidée. Si ce n’est maintenant, alors ce sera forcement lors du prochain conflit.

Et le plus tôt sera le mieux !

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