4 Sites nucléaires en Syrie

Merci à Jaqueline de nous avoir communiqué l’information

La Syrie a créé quatre nouvelles installations nucléaires en dehors de celui bombardé par Israël en 2007. C’est l’Institut Américain pour la Science et la Sécurité Internationale (ISIS) qui l’indique à l’instant. Photos à l’appui.

Le rapport, qui a été publié dans le quotidien allemand Sueddeutsche Zeitung, explique que le programme nucléaire de la Syrie était beaucoup plus avancée qu’on ne le croyait et comprenait, en plus du réacteur détruit à al-Kibar, une installation de conversion d’uranium et trois sites de stockage .

L’usine de conversion de Marj as-Sultan, selon le rapport, serait apparemment destiné au traitement du yellowcake pour le transformer en tétrafluorure d’uranium (UF4) pour le réacteur al-Kibar.

L’utilisation actuelle de l’établissement est inconnue, mais l’ISIS soupçonne qu’après que ce dernier site a été bombardé, la Syrie a tenté de dissimuler ses activités. L’institut montre des images satellite comme preuve de ce qu’il avance.

Pendant ce temps, la Syrie a rejeté toutes les demandes de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) d’inspecter le site Marj as-Sultan. “Sans une coopération substantielle de la Syrie, le directeur général de l’AIEA devra conclure clairement que la Syrie peut avoir violé de façon flagrante son accord de garanties et appeller à une inspection spéciale de ces quatre sites”, indique le rapport.

L’ISIS a également publié des photos satellite de trois installations supplémentaires apparemment utilisés pour le stockage à Masyaf, Iskandariyah.

Les images satellites de 2008, montrent des opérations sur ces sites et la pose de nouvelles fondations en béton, afin de couvrir toute activité nucléaire. Après la publication du rapport, le Wall Street Journal émis l’hypothèse que ses conclusions entraînerait une pression croissante sur la Syrie, afin de permettre aux inspecteurs de l’AIEA de visiter les sites suspects.

Les inspecteurs ont visité le site d’al-Kibar mai 2008, et ont trouvé des traces d’uranium qui indique que le réacteur avait été presque terminée. Mais le président syrien Bachar al-Assad à plusieurs reprises nié l’accès des inspecteurs sur les autres sites.

Le commentaire d’Eli d’Ashdod

Il est bien sur plus urgent aux yeux de Barak Hussein OBAMA de nous bassiner avec l’urgence de régler la question des rapports d’Israël avec l’AP plutôt que d’empécher la poudrière de prendre feu.

L’Obamamania qui a suivi son élection l’a propulsé sur le podium du prix Nobel de la paix, en général, les prix sont attribués pour services rendus. Ici le prix a été attribué à crédit pour services à rendre, les services n’étant pas rendus, le Président des E.U. est donc en situation de faillite personnelle, ce qui est passible devant un Tribunal Civil, d’empêchement de poursuivre son activité.

Au Etats Unis, on appelle ceci « Empechment » NIXON y a eu droit, pourquoi pas OBAMA?

En effet, ce dernier a négligé de s’occuper de la Corée du Nord, de l’Iran, et de la Syrie le premier faisant déjà partie du club des pays nucléarisés, et les deux autres tentant d’y parvenir.

Ils ont entretemps les uns et les autres mis en place une gesticulation, et un tapage médiatique autour d’Israël en vue de faire oublier leurs activités et gagner le temps qui leur manquait pour parfaire leurs recherches et la construction de leurs usines, ils auront la bombe, et s’en serviront contre l’Occident.

Eli d’Ashdod

La Présidence de la commission des droits de l’homme à l’ONU

Depuis des années la Présidence de la commission des droits de l’homme à l’ONU a été confiée à la Lybie, mondialement reconnue pour son implication dans la défense des opprimés et le respect de la démocratie et des droits de l’homme.

Cette Présidence lui a été confiée à la suite d’un vote où la majorité automatique permet à un pays microscopique d’avoir autant de poids électoral qu’un pays beaucoup plus peuplé.

Avant la révolution française, les députés votaient par ordre : le Clergé, et la Noblesse votaient ensembles, en général contre le Tiers Etat qui bien que bénéficiant de plus de députés se retrouvait toujours en minorité, jusqu’au 4 août 1789, les choses changent et les députés votent alors par tête, le tiers état obtient alors la majorité.

A l’ONU, nous avons le même système qui prévalait avant la révolution française, on vote par ordre, c’est à dire un pays, une voix. Ceci est totalement antidémocratique. Puisque les habitants des pays à la population la plus nombreuse, ne voient pas leur sensibilité s’exprimer.

D’autre part les fonds dont dispose cette organisation ne proviennent pas nécessairement des pays les plus riches car certains s’abstiennent de régler leur cotisation, et ce sont ces mêmes qui participent à la majorité automatique.

Cette majorité automatique a donc voté pour confier à un pays dont le régime est l’un des plus sanguinaires qui soit, la Présidence de la commission des droits de l’homme. Les occidentaux s’y sont opposés mollement, pensant qu’ainsi, ils pourraient ramener le régime à de meilleurs sentiments.

Les évènements de ces deux derniers jours leur ont donné tort une fois de plus. En quelques jours le régime a réprimé à l’arme de guerre les différentes manifestations qui ont fleuries dans le sillage de tout ce qui se passe dans le monde arabe, avec des débordements sur l’Iran.

La répression a déjà fait au moins 173 morts depuis mardi. On n’entend pas les habituels donneurs de leçons si prompts à dégainer même lorsque l’incident est un bidonnage délibéré comme pour l’affaire Al Dura, couverte par les plus hautes instances françaises dans le but d’obtenir une paix intérieure précaire.

Que fait l’ONU, pourquoi ne revient-on pas sur cette mascarade de vote de la Présidence des droits de l’homme ?

Va t-on nommer une commission GOLDSTONE afin d’analyser les responsabilités dans cette affaire ?

Celle ci va t-elle publier un compte rendu nous expliquant qu’il s’agit d’un groupe d’ignorants débitant des élucubrations, et que devant la réprobation bon enfant du Père du peuple (ça ne vous rappelle rien) ? Ce groupe conscient de ses erreurs a préféré mettre fin à son action en se faisant hara-kiri lors d’un suicide collectif.

Eli d’Ashdod

on se réveille ? hélas pas encore

En Alsace, la République nous a demandés d’abandonner notre langue… et elle accepte maintenant l’arabe !
Lundi 15 janvier 2010,
Comme vous, j’ai été choqué de voir que de plus en plus de commerces de notre ville de Mulhouse affichent désormais leurs publicités dans la langue arabe : boucherie halal, coiffeur, bazar.
Le « marché du canal couvert » est devenu Bab el oued. Cela est pour moi Alsacien, particulièrement insupportable car dans ma jeunesse dans l’après-guerre
pour des raisons d’intégration. Or, en ce qui nous concerne nous avions été ballottés entre les Allemands et les Français et notre langue maternelle était l’Alsacien un mélange des deux en quelque sorte. Moi même, je ne parlais pas le français jusqu’à ce que je sois
scolarisé !
L’Alsace s’est donnée à la France et les Alsaciens ont fait tous les efforts nécessaires pour être des Français à part entière et ce même si encore aujourd’hui une partie de la population sait encore parler l’alsacien ce qui est d’ailleurs un avantage quand nous allons chez nos voisins suisses ou allemands ! Il n’y a pas d’inscriptions en alsacien sur les devantures et
! Nous sommes fiers d’eÌ‚tre Français meÌ‚me si parfois nous voyons avec effarement que tout fout le camp ! Récemment mon ophtalmologue m’a prescrit des gouttes de chibro-cadron et j’ai constaté avec stupéfaction que le mode d’emploi était trilingue : – français (ouf) – anglais (langue internationale) – arabe !!!

Compte tenu de notre passé alsacien, je me suis senti agressé, et discriminé car si déjaÌ€ une troisieÌ€me langue devait figurer sur le mode d’emploi cela aurait du eÌ‚tre l’alsacien ou l’allemand que nous comprenons aussi.
J’ai donc écrit à la haute autorité contre les discriminations (Halde), et cette dernière m’a envoyé promener. J’ai écrit à deux députés en leur transmettant le fichier en annexe et je n’ai jamais obtenu de réponse (un de droite et un du centre).
Ce n’était pas la peine d’écrire à la Mairie de Mulhouse qui promotionne la 6 ème mosquée de la ville avec boucherie halal et école coranique le tout avec des subventions bien grasses !
L’Eurabie est en marche et on voit bien que tout le monde s’en fout.
L’autre jour votre pétition contre le voile et la burqa franchissait péniblement la barre de 5.000 alors qu’on nous annonce 65.000.000 d’habitants. Les musulmans votent et les politiques les cajolent. Je suis consterné devant cette invasion rampante et je vois arriver
avec des guerres civiles comme il y en a eu dans l’ex Yougoslavie où l’Europe a d’ailleurs fièrement installé et promotionné sur son sol une république islamique dans laquelle aujourd’hui même les chrétiens doivent fuir.
Je suis anxieux pour l’avenir des mes enfants et petits enfants.
La politique professionnelle nous fait tanguer, rien ne va plus : Démocratie morte (Où est notre choix ? UMPS ?) Déficits abyssaux, dette à plus de 75% du PIB, chômage galopant, immigration énorme, mort de notre industrie, appauvrissement et dans 50 ans la France sera un pays sous développé. une libanisation de l’Europe.
Pauvre France où vas-tu ?
Francis Burgard

16/02/2011 Multiculturalisme et guerre civile en Europe

« Le Canada dénonce l’hypocrisie de l’Iran | Accueil | Iran : les mollahs organisent une manifestation de « haine » »

Un reportage de CBN News sur l’immigration incontrôlée et le multiculturalisme comme causes de guerres civiles :

PARIS – Dans un quartier du nord de Paris, une brave marchande, Marie-Neige Sardin, garde son magasin de journaux comme un fort militaire. Comme femme blanche, elle est une minorité dans ce secteur à majorité musulmane de langue arabe.

Sardin a été victime de dizaines d’actes criminels : elle a été violée, elle a été volée, et de l’acide a été lancé sur elle parce que les résidents veulent l’inciter à partir. Fille d’un soldat français, Sardin appelle sa petite boutique « un morceau de terre française dans un territoire occupé » et elle dit qu’elle ne partira pas : « Je ne peux pas supporter l’idée de dire à mes futurs petits-enfants que je n’ai rien fait pour préserver nos valeurs françaises. Rester ici, c’est marquer notre territoire ».

La chancelière allemande Angela Merkel a récemment admis que le multiculturalisme a échoué, ainsi que le Premier ministre britannique David Cameron. Ils parlaient spécifiquement des immigrants du monde musulman.

Le rêve multiculturel de la gauche voulait donner à l’islam une place particulière dans la société, sans exigence d’assimilation. Mais plutôt que l’harmonie sociale, le multiculturalisme a encouragé le radicalisme et la propagation de la charia. Et il crée un nouveau tribalisme organisé en fonction des ethnies et des religions.

Des « zones interdites » aux Européens de souche

Dans des villes à travers l’Europe, seule une présence policière massive empêche la guérilla urbaine ouverte entre les groupes. La police de Paris doit garder une vigilance constante comme ses homologues en Suède, au Danemark et en Grande-Bretagne. La France a quelques 751 « Zones interdites ». Le gouvernement français parle de «zones urbaines sensibles » où il est dangereux d’aller pour les blancs et les non-musulmans.

L’écrivain français Guy Millière dit que même les autorités locales n’entrent pas dans ces zones : « Cela signifie que c’est la partie du pays où la police ne va pas. Les pompiers n’y vont pas et même les médecins et les ambulances n’y vont pas, sauf s’ils n’ont pas le choix. Et c’est comme ça parce que ces parties du pays sont aux mains de trafiquants de drogue, de gangs et d’imams ».

Cela a conduit à la formation de groupes qui veulent s’opposer à l’islam et protéger les Français de souche blancs. A Nice, Philippe Vardon dirige l’un de ces groupes appelé Bloc Identitaire. Il a dit à CBN News que les membres sont formés au combat corps-à-corps : «Notre gouvernement, nos politiques nous mènent à la guerre ». Vardon dit que le gouvernement traite la majorité en France comme une minorité. Ils ont été marginalisés politiquement et sont victimes de la criminalité des immigrants. « Il y a, d’une part, le discours politique qui dit, ‘Oh, tout va bien. C’est génial de sentir la différence, de vivre ensemble, tout est fantastique. Nous vivons en harmonie. C’est la communion. C’est parfait’, explique Vardon. Et d’autre part, il y a la réalité de ce que les gens ressentent. Ils se sentent comme des étrangers dans leur propre pays ».

Des mesures « anti-islamisation » purement cosmétiques ?

Le gouvernement français a adopté des mesures de haut niveau contre l’islamisation, comme l’interdiction du voile. Mais à Marseille, CBN News a vu des femmes musulmanes portant le voile intégral devant des officiers de police français qui n’ont pas réagi. L’équipe de CBN News a également vu des musulmans bloquant les rues illégalement pendant la prière du vendredi.

Marseille est la deuxième ville de France et aujourd’hui, environ le quart de sa population est musulmane. Mais des parties de Marseille sont complètement musulmanes. En fait, certaines « zones interdites » fonctionnent comme des micro-Etats régis par la charia ou sous son influence.

Le sombre avenir de la France

Le journaliste et écrivain français Alexandre del Valle dit que la société se divise lentement et fait face à un avenir sombre : «Nous constatons que notre société se divise entre les musulmans, les Noirs et les Blancs. Au lieu que l’Etat rapproche les gens, les gens se divisent. C’est la guerre civile. Ce ne sera pas une guerre civile comme en Espagne sous Franco. On aura des sortes de guerres civiles locales. En fait, je pense qu’un jour ce sera tellement insupportable que l’Etat sera obligé d’envoyer l’armée.»

Aujourd’hui l’Europe compte de nombreuses victimes du multiculturalisme comme Sardin – des personnes sans voix politique qui ont peur de quitter leur maison. Mais elle jure de ne pas céder : « Voulons-nous un avenir où nos filles portent le voile ? Voulons-nous vivre sous la charia ? Voulons-nous que la lapidation soit pratiquée ? Non, ce n’est pas possible. Je veux être le symbole du « Non », le symbole du « Stop ».

Source : Europe’s Multiculturalism Leading to Civil War?, CBN News, 12 février 2011

Rédigé le 16/02/2011 dans Europe, Infiltration, Multiculturalisme Lien permanent

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Au premier jour de l’hiver

invitation à une rencontre culturelle
shakinnir schakhine simon
je sais que c est un peu eloigne d’Ashdod (à propos pourquoi ne pas en faire une à Ashdod) mais on vous lit certainement aussi dans la shefela aussi je vous serai reconaissant de publier cette invitation
shakinnir
Invitation
le Lundi 28 février à 20h30

au 151 rehov Hanassi, Herzliya Pitouah

Je présenterai à l’occasion de sa sortie en français mon livre

 » Au Premier Jour de l’Hiver »

(יום ראשון של חורף édition Yedioth ahronoth)

« Un livre qui parle de nous et se veut une arche de

compréhension entre les aliyahs et les générations »

J’espère vous y rencontrer

Simon Schakhine nir Shakinnir.com

telephone pour confirmer 099570970

Jérusalem n’est pas reconnue par la France!!!

Faut-il sourire ou pleurer ?

Ruth Baratoux Dimanche, 13 Février 2011

Il y a plusieurs semaines, je fais pour une amie, une demande d’extrait de naissance, via internet.
Ma requête est enregistrée, mon amie recevra son document dans un délai de deux semaines.
Le temps imparti s’étant largement écoulé,
je fais une réclamation. Un courrier électronique m’informe que le papier en question a été expédié et que sans aucun doute le courrier s’est perdu.
Mon interlocutrice, très gentille, me propose alors de refaire un envoi et de l’adresser au Consulat de Jérusalem, par la voie de la valise diplomatique. J’accepte évidemment.
C’est là que les choses se compliquent. Un nouveau message m’apprend alors que dans le dossier « intranet » du ministère, il n’y a pas de Consulat à Jérusalem, et on ne fait pas mention non plus de valise diplomatique pour Jérusalem. Ma correspondante est désolée, elle enverra mon papier au Consulat de Tel Aviv.
Je ne peux en rester là et me remets devant mon clavier pour lui donner alors les coordonnées du Consulat de Jérusalem et lui dire également que nous avons déjà utilisé cette fameuse valise diplomatique. Et comme je n’ai rien à perdre, je me risque à lui donner une explication : La France ne reconnaît pas Jérusalem comme capitale et peut-être même comme ville israélienne, puisque nous avons déjà reçu du courrier administratif français libellé « Jérusalem – Palestine ».
Cette dame est vraiment charmante. Elle comprend que la situation est compliquée. Elle re-vérifie. Sa recherche reste négative. Il n’y a même pas de trace du personnel de ce Consulat et elle ne peut téléphoner au numéro que je lui ai indiqué, puisque ce numéro ne fait pas parti des numéros à l’étranger qu’elle peut appeler. Mais elle ne veut pas en rester là. Elle va se renseigner et me promet de me tenir au courant.
Et ma gentille interlocutrice tient parole. Quelques heures plus tard, elle me transmet le fruit de sa recherche, elle s’est effectivement renseignée.
Voici son message :
« Après renseignement, j’ai analysé mon erreur, je situais Jérusalem en Israël alors qu’il est enregistré dans la rubrique « territoires palestiniens ». Mea culpa.
En vous priant de bien vouloir accepter mes excuses pour mon ignorance. »
Là, je ne souris plus du tout.
Ruth Baratoux – Jérusalem en Israël

La Paix après Moubarak Par José Maria Aznar

Si José Maria Aznar n’existait pas, il faudrait l’inventer.

J’ai déjà dit de lui qu’il faudrait le reconnaître comme Juste parmi les Nations.

Eli d’Ashdod

La Paix après Moubarak

Par José Maria Aznar, ancien 1er ministre d’Espagne, président de Friends of Israel Initiative Newsletter, [email protected]
Paru dans le Wall Street Journal le 11/02/11
Traduit par Albert Soued, http://soued.chez.com pour www.nuitdorient.com

« Ceux parmi nous qui croient aux sociétés ouvertes, à la démocratie et à la liberté ont l’obligation d’aider à ce que les bouleversements qui se déroulent au Moyen Orient ne tournent pas l’aigre ».
Le choix entre la liberté et un dictateur autocratique se fait de lui-même, la liberté finit par l’emporter. C’est pourquoi nous n’avons pas besoin de verser de larmes pour la chute du chef égyptien Hosni Moubarak. Cependant il serait erroné de penser que son départ apportera automatiquement la démocratie à l’Egypte, car une vraie démocratie ne se limite pas à des élections libres. Elle implique un réseau d’institutions publiques indépendantes et libres de toute ingérence gouvernementale, allant du judiciaire aux médias et profondément ancrées dans une culture de tolérance.
La liberté dans le monde arabe n’est pas un rêve impossible, pourtant nombreux sont ceux qui souhaiteraient un statu quo, à commencer par les islamistes. Si nous voulons vraiment aider l’Egypte à vivre l’aube d’un régime de liberté d’expression et de tolérance religieuse, il est important pour nous de ne pas faire l’erreur d’accepter au nom de la « tolérance », la présence d’une composante intolérante dans les nouvelles institutions publiques. Et pour éviter que l’Egypte ne devienne un second Liban, les Frères Musulmans ne devraient pas approcher du pouvoir.

Pour commencer, la communauté internationale devrait demander à la nouvelle Egypte de réaffirmer son engagement de respecter ses obligations internationales, notamment le traité de paix avec Israël. Se conformer à ce traité évitera des dépenses militaires coûteuses et le risque d’une nouvelle confrontation dans la région.
En 1974, les dépenses pour la défense d’Israël représentaient 30% du Pnb, aujourd’hui ce pourcentage n’atteint pas les 8%, du fait d’une paix de 30 ans obtenue par les accords de Camp David en 1979. Pendant toutes ces années, aucun des 2 pays n’a eu à se préoccuper de problèmes de frontières. La meilleure façon pour l’Egypte de se concentrer sur une plus grande prospérité, c’est de se conformer aux termes du traité de paix signé avec Israël. La meilleure façon pour la Communauté Internationale de garantir la stabilité de la région, c’est de faire en sorte que l’Egypte comprenne juste cela.
En fin de compte, l’Egypte ne pourra jamais devenir une démocratie véritable et paisible si elle ne met pas un terme à la pratique de l’enseignement de la haine du peuple juif et de blâmer Israël pour ses propres erreurs. Comme il n’y a jamais eu à Sharm el Sheikh
de requins entrainés par le Mossad, de même Israël n’a jamais été « une puissance impérialiste » cherchant la domination…La démocratie n’est pas compatible avec la recherche continue d’un ennemi extérieur, qu’on blâme en toute occasion, pour faire diversion des vrais problèmes. Une Egypte démocratique n’est pas compatible avec une culture de la haine qui encourage la violence contre Israël et le peuple juif. La démocratie requiert un changement d’attitude à l’intérieur comme à l’extérieur, et, par conséquent une mentalité différente et une nouvelle approche de l’éducation.

Hosni Moubarak est tombé, mais cela ne signifie pas que l’Egypte aussi doive tomber nécessairement. Si nous voulons vraiment aider l’Egypte, la meilleure chose à faire est de lui montrer un chemin clair vers la démocratie, en lui montrant les ornières. La première étape est de montrer du respect à la seule démocratie stable de la région, Israël.

Peace after Mubarak
By José María Aznar, Wall Street Journal, 11/2/2011
Friends of Israel Initiative Newsletter, [email protected]
©2011 Translated by Miryam Lindberg

« Those of us who believe in open societies, in democracy and in freedom, have the obligation to help see that the changes unfolding in the region head in the right direction ».
The choice between an autocratic dictator and freedom is a no-brainer: freedom trumps. Hence, we need not shed any tears for the fall of the Egyptian leader Hosni Mubarak. However, it would be disingenuous to think that his departure will automatically deliver democracy to Egypt. True democracy is much more than just general elections. It requires a framework of independent institutions, free of government interference, ranging from the judicial to the press and ingrained in a culture of tolerance.
Freedom in the Arab world is not an impossible dream, but there are many who would like it to remain that way –radical Islamists, for a start–. Therefore, if we really want to help Egypt bring about the dawn of a regime that allows freedom of expression and religious tolerance, it is important not to make the mistake of accepting in the name of tolerance the presence of intolerant people in public institutions. For Egypt to avoid the fate of becoming a second Lebanon, the Muslim Brotherhood must not attain power.
To begin with, the international community must demand that Egypt reaffirms its commitment to its international obligations under the peace treaty with Israel. Compliance with this treaty will help avoid unnecessary military costs and the risk of a new confrontation in the region. In 1974, Israel’s defence expenditure accounted for 30% of GDP; today it does not even reach the 8% mark, mainly because of the 30-year peace with Egypt attained with the Camp David Accords in 1979. Neither Egypt nor Israel have had to worry about their shared borders during all these years. The best way for Egypt to guarantee a better focus on the prosperity and well-being of its citizens is for its leaders in Cairo to comply with the terms of the peace treaty with Israel; the best way for the international community to guarantee stability in the region is to make Egypt understand just that.
Finally, Egypt will never be a real and peaceful democracy if it does not bring to an end the practice of teaching hatred against the Jewish people and putting the blame for its own errors on Israel. Just as there are no sharks in Sharm el-Sheik trained by the Mossad, neither is Israel an imperialistic power that only seeks regional domination. Democracy is incompatible with the eternal search for a foreign enemy on whom to blame everything. A democratic Egypt is incompatible with a culture of hatred that urges violence against Israel and the Jewish people. Democracy requires an inward and outward change of attitude, which, in turn, also requires a change of mentality and a new approach to education.
Hosni Mubarak has fallen, but that does not necessarily mean that Egypt must fall, too. The best help we can give Egypt is to show it a clear path to democracy, explaining what it must and must not do. The first step should be to show respect for the only stable democracy in the region: Israel.

Stéphane HESSEL:la protestation de Yohann TAIEB

rideau1

Stéphane Hessel : « Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c’est insupportable» :

Appel à la mobilisation contre la maison
d’édition de Stéphane Hessel et Stéphane
Hessel lui-même pour propos anti-sémites
source : mazaltop ©

Vous trouverez ci-joint copie de ma lettre de protestation à la maison d’éditions de M. Hessel, concernant une affirmation clairement antisémite, sans aucune ambiguïté possible de ce dernier, à la page 18 de son livret « Indignez-vous ».

Lors de la parution de ce livret je pensais que nos dirigeants communautaires et nos intellectuels relèveraient cette affirmation antisémite et prendraient les mesures adéquates pour que M. Hessel présente ses excuses à la communauté juive de France et au Peuple Juif.

Hélas, à mon grand regret et devant le laxisme patent de nos dirigeants, j’ai envoyé le 5 février dernier un mail à la maison d’éditions de M. Hessel pour qu’elle présente conjointement avec ce dernier des excuses.

A ce jour n’ayant aucune réponse de leur part, je décide donc de publier ma protestation sous forme de lettre ouverte, afin que vous preniez connaissance de la gravité des propos tenus par M. Hessel.

Ni ses prétendues origines juives, ni le fait qu’il était déporté à Buchenwald, ne lui permettent d’attaquer le Peuple Juif, comme il l’a fait dans cette phrase assassine.

Nous ne pouvons ni ne devons laisser passer de tels propos antisémites nauséabonds, d’un homme qui grâce à la complicité des médias, se fait passer pour la conscience, la morale de la France, et en profite sournoisement pour délégitimer un état démocratique, l’Etat d’Israel, en soutenant activement et chaleureusement le mouvement pro-palestinien du BDS.
Réagissez ! Indignez-vous !
écrivez massivement à la maison d’édition de M. Hessel pour qu’ils s’excusent conjointement au niveau national d’avoir offensé de la sorte les juifs.

Voici les coordonnées de la maison d’éditions :
Indigène Editions,
1 impasse Jules Guesde
34080 Montpellier
Mail : [email protected]
Fax : 04 67 10 03 43

cadrehessel
M. Yohann TAIEB
2 rue P. C…
94000 CRETEIL

A l’attention de Mme CROSSMAN et M. BAROU,

Madame, Monsieur,

Si je vous écris aujourd’hui c’est pour vous faire part de mon indignation, en tant que citoyen français de confession juive, d’un passage de votre best seller « indignez-vous ! » de M. Hessel.

Mon indignation ne concerne pas le fait que Stéphane Hessel apporte sa caution morale et son soutien à l’organisation pro-palestinienne, BDS, qui milite activement pour un boycott total de l’Etat d’Israël. C’est tout-à-fait son droit de s’indigner ou de critiquer les gouvernements israéliens quant à la question du conflit israélo-palestinien.

Toutefois je m’indigne avec force d’un passage honteux et indigne dans ce livret, à la page 18 :

« Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c’est insupportable»

Comment un diplomate de haut rang, un homme prétendant avoir œuvré à la rédaction de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, un homme si cultivé, peut-il écrire noir sur blanc une telle ignominie, un amalgame dangereux et nauséabond, et une ineptie totale ?

Que l’on ne vienne pas me rappeler les origines juives de Stéphane Hessel, que l’on ne vienne pas me rappeler qu’il fût déporté à Buchenwald, rien ne saurait excuser ce qu’il à écrit.

Comment votre respectable maison d’édition à t-elle pu accepter de laisser passer une telle affirmation abjecte ?

Les amalgames peuvent être génocidaires, comme ce fût le cas lors du génocide contre les juifs ou contre les Tutsis au Rwanda.

Les amalgames peuvent être criminels comme ce fût le cas lors du lâche et ignoble meurtre d’Ilan Halimi, ou ses tortionnaires et bourreaux amalgamaient « juifs = argent » ou lorsque Daniel Pearl, journaliste juif américain fût décapité à cause de l’amalgame « juifs = tueurs d’enfants », en référence à la prétendue mort du petit palestinien, Mohamed Al Dura.

Je dis bien prétendu mort, car la justice française, grâce à l’abnégation d’un homme, M. Karsenty, a reconnu, après des années de batailles judiciaires que la « mort » de ce jeune palestinien était en fait une mise en scène.

Même l’organisation pro-palestinienne, le BDS, sur son site internet prend bien soin de ne pas sombrer dans ce genre d’amalgame, et distingue clairement « juif », « sioniste » et israélien ( 1 ) en précisant : « La guerre au Proche-Orient n’est ni raciale, ni religieuse, ni communautaire. La religion des individus et même, dans une certaine mesure, leur idéologie nous importe peu et mérite d’être protégée au titre de la liberté de conscience. Ce qui nous motive est la défense de la justice, du droit international et, en particulier, des droits des Palestiniens. Ceux-ci ne sont pas opprimés par « les Juifs » mais par un Etat, l’Etat d’Israël… »

L’Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes (EUMC) (remplacé en 2007 par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne) affirme que tenir les Juifs comme collectivement responsables de l’action de l’Etat d’Israël relève d’une rhétorique antisémite. ( 2 )

De plus l’amalgame nauséabond et douteux de M. Hessel est une ineptie totale, l’armée israélienne est une armée composée de juifs, de chrétiens, d’arabes et de druzes.

Je vous demande donc de condamner l’amalgame de M. Hessel, de façon officielle dans un journal national comme par exemple Le Monde ou Le Figaro, ainsi que dans le journal de référence de la communauté juive française, « Actualité Juive ».

Je vous demande également, à titre personnel, de demander à M. Hessel de m’adresser ses excuses pour m’avoir offensé et avoir offensé le peuple juif.

Je vous demande également de demander à M. Hessel de présenter ses excuses au peuple juif pour ses propos dans un journal national comme par exemple Le Monde ou Le Figaro, ainsi que dans le journal de référence de la communauté juive française, « Actualité Juive ».

A défaut et sans réponse de votre part sous 15 jours, je me verrai contraint de saisir le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, le CRIF et la LICRA pour faire condamner votre maison d’édition et M. Hessel, pour ses propos inadmissibles.

En vous remerciant par avance de l’attention que vous porterez à ce mail.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations les plus distinguées.

M. Yohann TAIEB.

Stop à la colonisation

Suite à l’article :

http://eli-d-ashdod.over-blog.com/article-vous-avez-dit-colonisation-64829690.html

Il faut réclamer que toutes les colonies arabes doivent être évacuées :

Les arabes étant issus de l’Arabie, ont envahi tout le Maghreb, tout le Moyen-Orient, Une bonne partie de l’Europe, Ils sont présents également quasiment dans le monde entier.

Cette colonisation devient insupportable pour les habitants de tous ces pays, il est temps qu’une motion de l’ONU remette de l’ordre dans cette affaire qui n’a que trop durée, demandant aux colons de libérer ces populations oppressées.

Une région est plus particulièrement encombrée par ces colons, il s’agit de la Palestine, qui de temps immémoriaux a toujours été peuplée de juifs.

Dans l’article ci-dessus nous avons vu que cette contrée nommée Royaume d’Israël d’une part, et Royaume de Juda d’autre part a été renommée par les Romains Palestine.

La première visite des arabes date de 717, soit 2.500 ans après Abraham.

Les Croisés renomment la région : Royaume latin de Jérusalem. Après leur défaite au XIIème puis au XIIIème siècle, les arabes reviennent. Puis vint la domination Ottomane qui prit fin après la première guerre mondiale. La gestion de la région est confiée alors par la Société des Nations à la France et à l’Angleterre qui reçoivent le mandat selon l’accord Sykes-Picot.

Les troubles qui ont suivis sont causés par la duplicité des Britanniques qui promettent tour à tour d’une part la création d’un foyer juif en Palestine (Déclaration Balfour), et d’autres part l’autonomie aux arabes sur une région de la Palestine jusqu’au Koweït.

Au 19ème siècle, la Palestine est quasiment déserte selon Chateaubriand, seuls quelques juifs y subsistent. Puis vint la première Alyah fin du 19ème siècle. Les juifs essentiellement Russes qui reviennent au pays y apporte une certaine prospérité dont les arabes alentour veulent profiter.

En 1922 les Britanniques partitionnent la Palestine qui devait accueillir le foyer juif, 72% des terres à l’est du Jourdain sont prises pour la création de la Transjordanie.

Les colons arabes présents pour les plus anciens depuis la fin du 19 siècle, et pour la plupart arrivés à partir du milieu du 20ème siècle, se comportant d’une manière incivile, envers les occupants légitimes revenus à la maison après en avoir été expulsés, ils doivent être renvoyés dans leur pays d’origine.

C’est à dire l’Arabie, où ils pourront tout à loisir, pratiquer leur religion et leurs coutumes sans s’offusquer que leurs voisins se comportent différemment, puisqu’ils ne seront qu’entre eux.

Les souchiens de tous les pays colonisés par eux, devraient se révolter contre leurs oppresseurs, et imposer leur retour en Arabie.

Lorsque les colons seront tous revenus chez eux, les habitants des pays libérés pourront enfin vivre selon leurs envies et leurs coutumes.

Fini les horaires réservés aux femmes dans des piscines municipales, fini l’imposition de cantines ou de restaurants Halal.

Les nombreuses prisons construites pour accueillir une population carcérale de plus en plus nombreuse où se trouvent de nombreux colons, seront à ce moment là vidées en grande partie de leurs occupants, les locaux pourraient être réaménagés en centre d’accueil pour les SDF en hiver lors des vagues de froid.

Les caisses de sécurité sociale, d’allocation familiale, et tous les services sociaux profitant aux colons, verraient leur déficit diminuer très sensiblement. La CSG, et la CRDS pourront être allégés, voire supprimés.

Revers de la médaille, les autochtones devraient retrousser leurs manches afin d’occuper les emplois libérés par cette population de colons qui repartirait.

Une fois tous revenus au pays d’origine, les anciens colons se rendront peut-être compte qu’ils sont trop nombreux pour vivre sur un pays aussi riche soit-il. I

Ils auront alors tout loisir de réfléchir à une régulation des naissances compatible avec la richesse du pays, et non comme ils le font aujourd’hui, penser que le fait de multiplier le nombre de leur progéniture à l’infini impose automatiquement à un pays d’accueil qu’ils vomissent l’obligation de vider ses caisses pour les nourrir.

Eli d’Ashdod