Comment Israël nous maintient en sécurité

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Nous avons un président qui a un problème avec Israël.

Image à la une Amérique pas d’inquiétude Israël est derrière devant toi

Par Karin McQuillan

Penseur américain

Dans une colonne à la mi-Janvier du New York Times titrée «Ne le faites pas, Bibi, » Obama a exigé de Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, une promesse qu’Israël ne bombarderait pas l’Iran dans les prochains mois.

Obama ne veut pas d’une flambée des prix du pétrole avant l’élection présidentielle.

La menace d’électeurs mécontents est plus importante pour Obama qu’un Iran nucléaire.

Il est plus préoccupé par sa réélection qu’une bombe sale dans les mains d’un terroriste qui pourrait s’attaquer à l’une de nos villes, qu’une déstabilisation du Moyen-Orient, ou qu’une attaque nucléaire sur Israël.

L’indifférence d’Obama à la sécurité d’Israël est un problème moral, mais c’est plus que cela. Il constitue une grave menace pour notre sécurité nationale.

Les Bénédictions d’Israël ne s’arrêtent pas avec les cadeaux que font individuellement des Juifs dans le développement de haute technologie ou l’inventivité médicale israélienne dans ces domaines et qui sont de la plus grande importance militaire pour nous.

En tant que pays, Israël fait plus que n’importe quel autre dans le monde pour garder les Etats-Unis en sécurité

Que fait pour nous Israël ?

Les deux domaines militaires les plus importants du 21e siècle sont l’électronique et le cyberespace.

Israël est le leader mondial dans ces deux domaines. Parce que nous sommes des alliés, Israël partage ses connaissances et son équipement avec nous.

Nous ne serions pas aussi avancés dans la technologie militaire, la sécurité, le renseignement, ou le contre-terrorisme, sans cette alliance stratégique cruciale.

Comparer les avantages de notre alliance avec Israël avec celle que nous recevons de nos alliés en Europe.

L’Europe a choisi de profiter de nous, pour sa protection. La Grande-Bretagne nous soutient, mais n’a pas de grand budget militaire. Leurs systèmes d’armes modernes dépendent de nous. Il n’y a pas de large contrepartie.

Notre alliance avec Israël est non seulement vaste et mutuelle, mais elle est essentielle.

Drones?

Israël est le leader mondial dans le développement de systèmes de drones, y compris les drones (inventé par un Israélien) pour la collecte du renseignement, et a partagé avec nous sa technologie militaire, sa doctrine et son expérience vitale.

Pensez aux guerres en Irak et en Afghanistan.

Nous utilisons un système de radar tactique israélo-américain pour améliorer la protection des forces.

Israël est le leader pour la protection des véhicules blindés, que nous utilisons pour sauver les vies de nos soldats.

Israël a inventé le système de missile de défense à courte portée, nous l’utilisons dans ces deux guerres.

Israël a fait part de ses avancées robotiques militaires avec nous.

Les armures de sauvetage installées sur des milliers de véhicules blindés MRAP utilisés en Irak et en Afghanistan sont connues pour être des innovations révolutionnaires, y compris les capteurs, la technologie de pilotage des véhicules aériens, l’équipement de surveillance et des dispositifs de détection pour rechercher des engins explosifs improvisés « chaîne israélienne. » – Tous en provenance d’Israël.

Les entreprises américaines et israéliennes travaillent ensemble pour produire conjointement un système de contre-missile.

Défense antimissile?

Israël est le partenaire le plus averti et le plus expérimenté en matière de défense antimissile, nous aidant pour l’innovqtion et pour programmer des déploiements et des exercices conjoints de formation.

Les Etats-Unis ont déployé un système de radar de pointe en bande X en Israël avec plus de 100 militaires américains stationnés là-bas, dans le cadre de notre structure de défense antimissile pour protéger les forces américaines et nos alliés en Europe, la Méditerranée orientale, et le golfe Persique.

Notre Marine la Force aérienne?

Israël nous a fourni un casque de vue révolutionnaire qui est aujourd’hui la norme dans presque toute la force de première ligne aérienne pour les avions de chasse.

Israël nous fournit un système de canon pour la défense des navires de guerre contre les dériveurs des terroristes et des essaims de petits bateaux.

Israël dispose d’un port d’escale pour la Sixième Flotte.

Israël fournit les nacelles que nous utilisons sur des centaines d’avions d’attaque maritime de l’US Air Force, et l’US Navy.

Les menaces nucléaires?

Il a été très utile qu’Israël ait empêché l’Irak de développer une capacité nucléaire par bombardement (Osirak en 1981).

En 2007, Israël a empêché la Syrie de développer une capacité nucléaire en bombardant l’installation nucléaire secrète d’al-Kibar.

Washington ne savait pas que la Corée du Nord construisait un réacteur jusqu’à ce que Meir Dagan, le chef du Mossad, le service de renseignement d’Israël, visite le conseiller du président George W. Bush pour la sécurité nationale et le lui dise.

Et nous nous appuyons évidemment sur Israël pour empêcher l’Iran de devenir une puissance nucléaire – un travail difficile et dangereux que nous devons faire, mais que nous ne sommes pas disposés à faire nous-mêmes.

La guerre contre le terrorisme?

Israël fournit la partie formation sécuritaire pour les ministères américains de sécurité et de police des aéroports à travers le pays.

Ils ont travaillé pour nous et nous aident dans la planification anti-terroriste pour sauver des vies et préserver la sécurité nationale lors de catastrophes naturelles ou d’attaques terroristes.

Israël nous aide à lutter contre le terrorisme grâce aux renseignements et à la coopération pour faire échouer des opérations terroristes du Hamas, du Hezbollah, et d’al-Qaïda…

Nous avons en commun la formation et des exercices des forces spéciales, nous collaborons sur des objectifs partagés, la coopération est étroite entre la sécurité permanente des américains et israéliens pour les actions de prévention et de dissuasion.

Nous comptons sur les progrès israéliens pour renforcer nos capacités de défense de notre cyberespace contre le sabotage.

Les avancées israéliennes protègent nos services bancaires, les communications, les services publics, les transports et les infrastructures internet.

Israël n’est pas un cas de charité.

Les présidents américains ont juré de protéger et de défendre l’Amérique, pas Israël.

Soixante ans de coopération étroite ont été maintenus parce qu’elle est à notre avantage.

C’est le président Eisenhower qui, le premier a reconnu qu’Israël était un atout stratégique dans la guerre froide, puis a suivie ensuite la politique de Kissinger et Nixon. Après le 11/09, c’est encore plus vrai que jamais en ce qui concerne les nouvelles menaces auxquels sont confrontés nos citoyens.

La relation américano-israélienne facilite le travail de nos militaires.

Notre Département d’Etat n’est pas disposé à affronter les mensonges arabes au sujet d’Israël sur la cause de la violence islamique.

Il n’y a pas de coût réel d’être allié avec Israël, et les avantages sont incommensurables.

Malheureusement, notre Département d’Etat a peu de la vision de Kissinger qui peut voir au-delà de la propagande arabe et sur les réalités d’intérêt national.

Israël est un allié très efficace dans notre lutte pour défendre et protéger l’Amérique.

Les Israéliens font plus que n’importe quel autre pays au monde pour s’opposer à la vision djihadiste.

L’Europe succombe. Obama suivra.

Le reste d’entre nous savons que notre alliance avec Israël nous aide à rester en sécurité.

Adapté par Aschkel pour Israël-flash americanthinker
Copyright © Israël Flash – Reproduction autorisée avec la mention et un lien vers la source

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Israël pays d’Apartheid 3 vu par les arabes

Le 7 Juin 2011, deux chroniqueurs saoudiens – Khalaf Al-Harbi libérale, du quotidien saoudien Okaz, et Fawaz Al-‘Ilmi, du quotidien saoudien Al-Watan – ont publié des articles comparant la situation d’Israël à celle des pays arabes . Al-Harbi a estimé que le secret du succès d’Israël réside dans son régime démocratique et son respect pour les droits humains de ses citoyens, alors que Al-‘Ilmi écrit que la prospérité d’Israël était dûe à son investissement dans l’éducation et la science.

Il faut noter que ces articles sont un phénomène très rare dans la presse du gouvernement saoudien.

Voici des extraits des deux articles:

Al-Harbi: «Pouvons-nous vraiment encore croire qu’Israël est une entité temporaire appelée à disparaître? »

Al-Harbi a écrit:. «Quand nous étions jeunes, les enseignants nous ont fatigué en réitérant que Israël est, sans conteste, un pays temporaire et transitoire. Quand nous sommes devenus assez vieux pour lire les journaux et des livres, on a rempli nos têtes avec les raisons pour lesquelles Israël ne pouvait pas continuer à exister dans son environnement arabe. Pendant toutes ces années, nous avons attendu le moment où Israël allait disparaître, et nous sommes ici, aujourd’hui, a assister à l’instant où les pays arabes commencent à tomber, les uns après les autres.

« Il y a quelques jours a été le 44e anniversaire de la défaite dans la guerre de 1967, la naksa, quand Israël a englouti les terres arabes … Il y a une semaine ou plus, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a prononcé un discours brillant, devant le Congrès américain dans lequel il a souligné qu’Israël ne reviendrait pas aux frontières de 1967. Cette déclaration signifie qu’ Israël a atteint un tel degré de complaisance et la tranquillité qu’il n’est plus disposé à négocier, même sur ces terres qu’il a admis occuper en 1967, et certainement encore beaucoup moins sur les terres qu’il occupait en 1948. Allons-nous vraiment encore croire qu’Israël est une entité temporaire appelée à disparaître?

«Peut-être qu’Israël disparaîtra dans 100 ou 200 ans, comme personne ne peut prévoir ce qui va arriver dans l’avenir. Toutefois, en regardant l’état actuel de ses voisins arabes, je vois des pays pourris, des entités politiques qui n’ont pas la capacité de maintenir leur l’unité nationale, et les armées qui ne cherchent pas à détruire Israël, mais plutôt à effacer leurs propres peuples …

« Le secret de la survie d’Israël, en dépit de tous les grands défis auxquels il a dû faire face, réside dans la démocratie et le respect de la valeur de l’individu, indépendamment du racisme israélien et de la brutalité vis-à-vis de ses ennemis arabes. Le secret de l’effondrement des pays arabes, l’un après l’autre, réside dans la dictature et l’oppression de l’individu … Il est impossible pour un pays arabe, un voisin d’Israël, de réussir la libération de la Palestine en niant la dignité des individus dans ses propres frontières.

Israël a gagné guerre après guerre, et conquis des terres arabes plus grands qu’Israël lui-même en taille et en population. Ils ont ensuite développé la fabrication, l’industrie, et l’invention. Le revenu moyen y est deux fois la moyenne des revenus dans les pays arabes voisins. Israël s’est établi par lui-même comme un fait incontournable. A toutes les étapes de son développement, il tirait sa puissance de l’honneur qu’il accorde à ses citoyens, tandis que ses voisins arabes piétinaient les propres citoyens sous des bottes militaires.

« Si seulement nous pouvions entrer en contact avec nos professeurs de l’époque pour leur faire savoir qu’Israël existe toujours, alors que les Arabes se dirigent vers la destruction. Afin de savoir qui restera et qui va périr, il faut toujours vérifier qui a la démocratie, les droits humains , et la justice sociale. « [1]

[1] Okaz (Arabie Saoudite) 7 Juin 2011.

Al-‘Ilmi: Israël est à l’apogée de la recherche scientifique, les Arabes à son nadir

Al-‘Ilmi écrit: «… Tawasul [2] est le site officiel du ministère israélien des Affaires étrangères, et, contrairement aux sites arabes, il met à jour ses entrées toutes les 12 minutes autour de l’horloge et les offre en arabe, en hébreu, en persan, en anglais, français et russe. Le 20 Janvier, le site a publié un rapport qui a révélé que le seul registre au monde pour les Arabes donneurs de moelle osseuse est situé dans le Centre médical Hadassah, associé à l’Université hébraïque de Jérusalem.
Il est à noter que les Arabes vivant en Israël ne sont pas plus de 1,2 millions sur les 400 millions d’Arabes vivant dans le monde.
«Le rapport, préparé par Avigayil Qadesh, note que le Dr Amal Bishara, qui supervise les dons d’organes au Centre médical Hadassah – une femme arabe avec un doctorat en sciences de la vie et de l’immunologie – a simplement visité plus de 60 villes et villages arabes depuis que le registre de moelle osseuse a été fondé en 2008. Elle l’a fait d’elle-même pour poursuivre ses propres recherches et compléter le registre juif, qui a été créé à l’hôpital il y a 22 ans. Grâce à des conférences et des réseaux sociaux, cette femme arabe médecin a ajouté 9000 noms de donneurs arabes de moelle, permettant ainsi la réalisation de six transplantations grâce au don de cette moelle osseuse … Il faut noter que 60% des Arabes qui ont besoin de ces transplantations trouveront des donateurs au sein de leurs familles, et que 90% des demandes de greffes de moelle osseuse sont pour des enfants arabes qui souffrent de maladies héréditaires dûes aux mariages consanguins.

«Avant que ces donneurs arabes soient enregistrés, le centre médical Hadassah avait largement échoué à élargir son registre de donneurs, ou à organiser les dons de moelle des Juifs aux Arabes ou vice versa. Mais, grâce à ce médecin arabe, les perceptions ont changé, et les Arabes et les Juifs sont prêts à faire don de moelle osseuse de l’un vers l’autre, afin de sauver la vie de quelqu’un qu’ils ne connaissent même pas.

«Cette année, Israël a publié de nombreuses études scientifiques qui le placent à la première place mondiale en termes de nombre d’études publiées par habitant – 12 études par 10.000 habitants, les Etats-Unis, en deuxième place, avec 10 études par 10.000 habitants, suivie par la Grande-Bretagne, avec neuf études par habitant.
Les pays arabes, eux, sont tous à l’extrémité inférieure de la liste.

«Les études sur les lacunes en science et technologie entre les Arabes et Israël montrent que les dépenses annuelles pour l’éducation du citoyen arabe a chuté à $340 alors qu’en Israël il est à plus de $2500. Au delà de mesurer les indices concernant les revenus, l’éducation, d’autres indices placent pour la qualité dans le domaine de la santé Israël à la 23e place mondiale, tandis que l’Egypte a baissé au 199e rang, la Syrie au 111e, la Jordanie au 99e et au Liban au 82e.
Par opposition, la qualité de la santé s’est beaucoup améliorée en Cisjordanie et à Gaza. En ce qui concerne le nombre de scientifiques engagés dans la recherche, Israël a 1395 par million de citoyens, par opposition il y en a 136 par million d’habitants dans le monde arabe … Les statistiques de l’UNESCO indiquent que, en moyenne, les dépenses de recherche scientifique dans les pays arabes ne dépassent pas 0,2% du budget annuel, alors en Israël, le chiffre est de 4,7%, le plaçant dans le monde à la première place. ..

«Depuis maintenant dix ans, Israël a su nouer des liens stratégiques avec des pays scientifiquement avancés en vue de fusionner ses centres de recherche avec leurs centres de recherche, et afin d’encourager ses scientifiques à prendre part à des programmes de développement international. Aujourd’hui, il y a 21 centres internationaux de science en Israël … Ils obtiennent avant tout le monde les résultats des études de ces centres, et récoltent leurs fruits et en utilisant leur expertise scientifique pour faire avancer les inventions israéliennes.

«La stratégie israélienne dans la science et la technologie est basée sur la recherche de nouvelles approches dans la recherche scientifique et de l’invention technologique par la formation de nouvelles générations de scientifiques – en particulier en physique, chimie et les sciences naturelles et sociales. Israël est convaincu que ces sciences lui permettront de contrôler le monde et diriger sa course.

« Depuis 1949, Israël a établi des instituts pour la géologie marine et le nucléaire, des instituts de physique, ainsi que des instituts pour l’étude des régions désertiques et des technologies de l’information. Israël fait usage de la recherche scientifique et du développement technologique pour sécuriser ses côtes et répondre à ses besoins stratégiques de défense et de sécurité, et aussi afin de protéger l’environnement, de découvrir et de développer les ressources naturelles et de les utiliser avant les autres, pour produire des alternatives énergétiques pour l’électricité, les communications et technologies de l’information et de la recherche…. »[ 3]
(1) Ecrivains en Arabies Saoudite article sur http://www.terrepromise.net/?p=14399
Notes:

[1] Okaz (Arabie Saoudite) 7 Juin 2011.

[2] Altawasul.com

[3] Al-Watan (Arabie Saoudite) 7 Juin 2011.

Deux chroniques étonnantes dans les journaux en Arabie: le secret du succès d’Israël

Les occidentaux appellent les pompiers

Les occidentaux commencent à évoquer dans la presse française le problème de l’Iran, qui est occulté depuis fort longtemps par les Ministres des Affaires Etrangères ou conseillers spéciaux pour le Proche-Orient, dont les Chefs d’Etat savent si bien s’entourer.

Lors de sa visite en Iran il y a 5 ans, Bernard KOUCHNER nous avait déclaré que l’Iran était un pays stabilisateur de la région.

Pour Alain JUPPE, les problèmes majeurs au Moyen-Orient sont aujourd’hui par ordre décroissants : La Syrie, puis les constructions en Judée et en Samarie.

Dennis ROSS ex conseillé de Barack Hussein OBAMA pour le Moyen-Orient, estime pour sa part que les mesures internationales adoptées pour sanctionner la poursuite par l’Iran de son programme nucléaire fonctionnent.

Hier, Mahmoud Ahmadinedjad a annoncé que le site de NATANZ qui possédait 6.000 centrifugeuses s’en était vu doté de 3.000 supplémentaires de nouvelle génération.

Nous lisons par ailleurs que tous les pays Iran compris, condamnent fermement les attentats récents contre les ambassades israéliennes dans le monde, où chaque fois des iraniens sont soupçonnés voire inculpés.

Les médias occidentaux claironnent que les israéliens vont intervenir en Iran, afin de mettre fin à l’avancée du pays dans l’industrie nucléaire militaire.

Depuis 7 ans déjà, Israël attire l’attention de l’AIEA, de Washington, de Paris, de Londres sur ces avancées, rien n’y a fait. Depuis trois ans, nous avons la preuve que l’Iran s’équipe de missiles d ‘une portée en augmentation constante.

Comme à l’accoutumée les gouvernements occidentaux diplômés « es langue de bois » ont trainé les pieds pour des raisons d’approvisionnement pétrolier.

Après avoir accueilli à Neauphle-le-Château un Islamiste notoire, alors que l’Amérique poussait le Shah à la porte, allumé le feu pendant des années avec leurs déclarations ambiguës sur le Moyen-Orient où ils n’ont jamais rien compris, sans tenir compte de l’histoire, ils ont apporté leur soutien au printemps arabe pour s’inquiéter ensuite de l’arrivée des islamistes au pouvoir.

Conscients aujourd’hui des avancées de l’Iran dans le domaine des lanceurs et du nucléaire, ils appellent les pompiers en criant au feu, car la France se rend compte qu’elle n’a aucune capacité à projeter une action lourde à 6 ou 7000 Km de chez elle, ayant du pour l’affaire Libyenne intervenir depuis l’Italie.

Les Médias se souviennent alors que pour Entebbe les israéliens avaient surpris le monde pour l’audace et la réussite de leur intervention si loin de leur base. Les occidentaux doivent savoir qu’on ne peut pas renvoyer son service de nettoyage, pour ensuite réclamer à ceux qu’ils agressent verbalement depuis 1967 à longueur de journaux télévisés de venir faire les éboueurs à leur place.

Dans la vie, lorsque l’on a des alliés, on ne les rejette pas pour des raisons bassement matérielles : il y a eu 1967 « un peuple sur de lui, dominateur, à la nuque raide », puis par Dhimitude à cause des nombreux squatters installés en Europe, pour ensuite se rendre compte qu’Israël est le seul pays à tenir tête à ceux qui veulent éradiquer notre civilisation et notre mode de vie occidental.

Il est temps que l’antisémitisme latent qui se déguise vaguement sous forme d’antisionisme soit reconnu comme tel, et puni comme il se doit.

Eli d’Ashdod

Le Protocole des Sages de Sion est le fidèle reflet du judaïsme

MEMRI Middle East Media Research InstituteDépêche Spéciale n° 4417 Une historienne palestino-libanaise : Le Protocole des Sages de Sion est le fidèle reflet du judaïsme et de l´idée sioniste Le 27 décembre 2011, l´historienne libano-palestinienne Bayan Nuwayhed Al-Hout signait un article du quotidien libanais Al-Akhbar, abordant notamment le sujet du Protocole des Sages de Sion et de son lien au judaïsme, au mouvement sioniste et à l´Etat d´Israël. (1) Dans son article, Al-Hout affirme que le Protocole est le fidèle reflet de l´idéologie sioniste et de la pensée juive, son essence véritable étant l´aspiration juive à diriger le monde de diverses manières. Ainsi selon elle, « la question de l´authenticité des Protocoles n´est plus pertinente ». Al-Hout écrit : « Ceux qui jugent les Protocoles par le texte même pourraient y voir un conte imaginaire impraticable plus qu´un programme politique. Toutefois, ceux qui jugent le Protocole par leur esprit, et leur essence générale, s´apercevront qu´ils sont la reproduction exacte des déclarations et des écrits de dirigeants sionistes passés et présents, et des principes du mouvement sioniste. » Selon Al-Hout, « l´idée sioniste et les plans sionistes avant l´époque d´Herzl, pour ne rien dire de ce qu´il y eut après, comme [les plans de] Ben Gourion et de Begin, sont imprégnés de l´esprit des Protocoles et de leur essence générale. L´atteinte à la démocratie et l´éloge de la dictature sont les pierres angulaires de l´Etat selon Herzl. L´utilisation de l´argent à des fins politiques est sa méthode. Les médias, ou « la presse », selon le langage des Protocoles, ont été utilisés par Herzl et le sionisme, comme ont le voit dans (…) les médias occidentaux, notamment américains, actuellement sous contrôle sioniste. » Concernant le lien entre judaïsme et Protocoles, Al-Hout écrit : « [Les Protocoles] collent parfaitement [à la ligne] des grands rabbins à travers les âges, et au Talmud lui-même. Le Peuple élu est un concept talmudique fondamental ; celui-ci serait élu pour diriger et dicter. » Al-Hout tenait des propos similaires dans son ouvrage Palestine : cause, peuple et culture, publié en 1991. Son présent article entend réagir au propos d´Assad Abu Khalil, professeur de sciences politiques de l´Université de l´Etat de Californie, qui a dernièrement publié un article critiquant l´ouvrage de Gilbert Achcar Les Arabes et l´Holocauste. Il évoque aussi le livre d´Al-Hout. (2) Abu Khalil accuse Al-Hout de fonder sa thèse sur les Protocoles, dont l´authenticité est mise en cause, ajoutant qu´elle suit la voie tracée par son père, Ajjaj Nuwayhed, également grand admirateur des Protocoles. Il convient de noter qu´Ajjaj Nuwayhed fut le premier à traduire les Protocoles en arabe dans son livre Le Protocole des Sages de Sion : textes, leaders et fondements talmudiques. Sa fille, Al-Hout, note dans son article qu´ « il fut l´un des premiers à révéler la nature raciste du sionisme ». Ajjaj Nuwayhed était connu pour ses liens avec le mufti Hajj Amin Al-Husseini, qui en avait fait son secrétaire général du Conseil islamique supérieur, ainsi que l´inspecteur général des tribunaux de la charia en Palestine. Nuwayhed fut également membre de la délégation palestinienne, dirigée par Al-Husseini, au sommet arabe de la Mecque de 1924. Il fut arrêté à plusieurs reprises par les autorités du mandat britannique en raison de ses opinions nationalistes et du contenu de ses ouvrages. (1) Al-Akhbar (Liban), le 27 décembre 2011(2) Al-Akhbar (Liban), le 17 décembre 2011 Pour adresser un email au MEMRI ou faire une donation, écrire à : [email protected] Pour consulter l´intégralité des dépêches de MEMRI en français et les archives, libres d´accès, visiter le site www.memri.org/french. Le MEMRI détient les droits d´auteur sur toutes ses traductions. Celles-ci ne peuvent être citées qu´avec mention de la source. Don’t want to receive these emails?Click Here powered by NetMailer Newsletter

Le commentaire d’Eli d’Ashdod

Bayan Nuwayhed Al-Hout en tant qu’historienne doit donc avoir totalement raison surtout lorsqu’elle dit que le sionisme et le judaïsme sont une atteinte à la démocratie, il est vrai que le coup d’état permanent de la Syrie sur le Liban est une preuve de très grande démocratie.

Le Hezbollah qui a pris le relai et menace tous ceux qui sont démocratiquement élus de mort s’ils ne plient pas devant ses exigences est un parangon de démocratie.

Les pays arabes dans leur ensemble qui vouent Israël aux gémonies également, surtout depuis qu’ils ont renversé leurs précédents régimes pour s’engouffrer dans l’Islamisme.

Quand à l’Iran, n’en parlons pas, non seulement Ahmadinedjad a trafiqué les dernières élections afin de conserver le pouvoir que les urnes lui avaient oté, non content de vouloir détruire Israël et le rayer de la carte, il a développé un arsenal d’ICBM de porté moyenne en attendant la portée de 10.000 KM afin de menacer l’Europe et les Etats Unis.

Qu’attend on pour lui faire comprendre une fois pour toutes que dans le village planétaire, les mauvais garnements n’ont pas le droit de s’amuser dans la cour de récréation des grands, ils doivent rester au piquet coiffés du bonnet d’ane.

Les 33 ans de pouvoir du régime actuel ont propulsé le pays de la Renaissance au Moyen Age. Les progrès technologiques développés auraient été mieux employés au bonheur du peuple plutôt que créer des engins mortifères. Lorsque le peuple osera se révolter, il sera trop tard, et le pays aura du mal à se relever.

Les Arabes suivis des pays musulmans ont accusés Israël de tous les maux qu’ils mettent eux même en place, et les occidentaux par peur de la cinquième colonne qui a envahie l’Europe se couche dans une attitude de dhimitude complète, quand elle ne renchérie pas, pour nous engager dans des voies que nous ne souhaitons pas.

Le Hamas voulant nous éradiquer et prendre tout Israël, et Abou MAZEN qui prétend vouloir négocier mais ne s’assoit jamais à la table des négociations, n’en veut qu’une partie « pour le moment » c’est ce qu’il explique en arabe. Cette partie, il la veut Judenrein, ce que personne ne relève en Occident, et le reste, il le rélamera comme des tranches de salami.

Ce même terroriste s’est empressé de visiter les plus de mille terroristes libérés par Israël à l’occasion de « l’échange Guilad Shalit » en les traitant de Shahids et en les félicitant pour leurs actions d’assassinats de civils et de divers attentats.

Il a jeté aux orties les accords d’Oslo en pronant là l’Unesco et à l’ONU la reconnaissance unilatérale d’un état n’ayant jamais existé pour un peuple inventé de toutes pièces dans les années 70 par son maître à penser l’infâme Yasser ARAFAT.

Les occidentaux qui sont complètement enfoncés dans la crise, et qui mettent en place des règles draconniennes de gestion de leurs pays sont en train de fomenter des révoltes en Grèce et au Portugal, ils feraient mieux de garder leur argent plutôt que d’arroser inconsidérément des organismes tels que l’UNWRA, et l’AP.

Les arabes ont déclaré que la perte subie par les réfugiés lors de la guerre de 1948 était estimée à 7 milliards de $, les occidentaux ont versé plus de 50 milliards de $. Le seul résultat, c’est qu’ils n’ont rien réglé, et qu’ils ont alimenté le terrorisme.

Pour régler ce conflit, quelques moyens très simples: supprimer l’UNWRA, supprimer tout paiement à l’AP. Vous verrez que les arabes s’assiéront à la table des négociations. Et s’ils ne le souhaitent pas, nous annexerons la Judée et la Samarie qui ont toujours fait partie du Royaume de Juda, et du royaume d’Israël. Les arabes ne perdent jamais une bonne occasion de laisser filer toutes les bonnes occasions.

Eli d’Ashdod

Désinformation anti-israélienne la preuve du montage photo

Ce blog a pour but de lutter contre la désinformation dont est victime Israël.

Voici une nouvelle preuve par l’image de la duplicité des arabes dans leur souci de diaboliser notre pays.

Bien sur tous les gens de bonne foi croient dans notre responsabilité, car la gauche, suivie par les médias, dont la majorité des journalistes se réclament de sensibilité, nous assènent depuis 1967 des contre-vérités toutes acquises à leur motivation pro-arabe.

Pour en savoir plus cliquez ici

Eli d’Ashdod

L’UE constitue un obstacle à la paix au Proche-Orient

L’idée que les localités israéliennes bâties au-delà des lignes d’armistice de 1949 constituent un obstacle à la paix est devenue un dogme chez les diplomates et journalistes européens. Or ce dogme est contredit par trois faits :

1. Le monde arabe était en guerre contre Israël bien avant la construction des premières implantations israéliennes dans les années 1970.

2. Le leadership palestinien a rejeté à deux reprises l’offre israélienne (par Ehud Barak en juillet 2000 et par Ehud Olmert en septembre 2008) de démanteler ces implantations en échange d’un accord de paix ;

3. Lorsqu’Israël démantela toutes ses implantations de la Bande de Gaza en 2005, elle reçut à la place de la paix qu’elle escomptait des tirs de missiles incessants.

Bien plus que les implantations, l’un des principaux obstacles à la paix entre Israël et les Palestiniens est la question des réfugiés. Sous couvert de l’euphémisme humanitaire de « droit au retour, » les Palestiniens veulent envahir Israël avec sept millions d’immigrants qui sont les descendants réels ou supposés des quelque six-cent mille Arabes qui quittèrent leurs maisons pendant la Guerre d’Indépendance d’Israël. Le « droit au retour » transformerait Israël en un Etat binational avec une majorité arabe.

Certains relativisent le « droit au retour » comme étant une simple tactique de négociations et un phantasme auquel les Palestiniens eux-mêmes ne croient pas. Et pourtant, c’est bien en vertu de ce « droit au retour » que Yasser Arafat et Mahmoud Abbas rejetèrent les offres de paix respectives d’Ehud Barak et d’Ehud Olmert. Par ailleurs, les médias d’Etat palestiniens ne présentent pas le « droit au retour » comme rêve irréalisable mais bien au contraire comme l’un des principes fondateurs du nationalisme palestinien, un principe dont l’abandon constitue un acte de haute trahison.

Le « droit au retour » perdure entre autre à cause de l’UNRWA (l’office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient), et ce pour deux raisons. D’abord parce que la mission de l’UNRWA (contrairement à la mission du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, ou UNHCR) n’est pas d’intégrer les réfugiés palestiniens dans leurs pays d’accueil mais au contraire de subventionner leur vie de réfugiés. Ensuite, parce que l’UNRWA applique la définition de « réfugié » aux descendants des réfugiés, tandis que l’UNHCR (qui est en charge de tous les réfugiés du monde à l’exception des réfugiés palestiniens) limite cette définition aux réfugiés eux-mêmes.

Du fait de ces différences de missions et de définitions, le nombre de réfugiés dans le monde a décru de soixante millions en 1947 à dix-sept millions aujourd’hui, tandis que le nombre de « réfugiés palestiniens » a accru de six-cent mille en 1948 à sept millions aujourd’hui.

Si les réfugiés palestiniens, comme le reste des réfugiés dans le monde, avaient été la responsabilité de l’UNHCR, le problème des réfugiés palestiniens aurait été résolu depuis longtemps. Des six-cent mille réfugiés de 1948, quelque cent-mille seraient encore en vie aujourd’hui. Au lieu d’être ségrégués dans des camps, ils seraient des citoyens à part entière de pays dont ils partagent l’appartenance ethnique, la langue, et la religion. Démanteler l’UNWRA et faire de l’UNHCR l’agence responsable des réfugiés palestiniens mettrait fin à un obstacle majeur à la paix au Proche-Orient.

La décision récente de l’Union européenne (UE) d’attribuer 72 millions d’Euros à l’UNWRA ne fait que retarder cette réforme nécessaire. Cette contribution à l’UNWRA n’est pas seulement un affront aux Palestiniens eux-mêmes dans la mesure où elle encourage des pays comme le Liban et la Jordanie à ne pas remplacer leur politique de ségrégation par une politique d’intégration. Il s’agit également d’un affront à la cause de la paix.

Tandis que l’UE a réalisé dans ses frontières la vision kantienne de paix démocratique (avec un peu d’aide des Etats-Unis qui protégèrent l’Europe de la menace soviétique), la contribution de l’Europe à la paix en dehors de ses frontières n’est pas reluisante – comme peuvent en témoigner le Rwanda ou l’ex-Yougoslavie. L’aveuglement européen face à un soi-disant « printemps arabe » qui a amené les islamistes au pouvoir est le dernier exemple tragique en date. La décision de l’UE de contribuer au financement de l’UNRWA ne fait pas que confirmer cet aveuglement. Elle fait de l’EU un obstacle à la paix au Proche-Orient.