Israël-Gaza : Réveillez-vous camarades! Marceline Loridan-Ivens

Israël-Gaza : Réveillez-vous camarades!
Marceline Loridan-Ivens

Voici un texte inspiré. Et un texte qui, de surcroit, prend tout son poids quand on le rapporte á la personnalité de son auteur.
Cinéaste française, née dans une famille de juifs polonais qui entra dans la Résistance dès le début de la Deuxième guerre mondiale, Marceline Loridan a été déportée à Auschwitz (et a, d’ailleurs, tiré de ce pan de sa vie un de ses plus beaux films.
La Petite prairie aux bouleaux, ainsi qu’un livre Ma vie balagan).
Epouse du cinéaste Joris Ivens, figure et conscience morale de la gauche et de l’extrême gauche pendant des décennies, mêlée à tous les combats du dernier demi-siècle pour la justice et contre l’oppression, elle est un
exemple pour beaucoup.

Mais qu’est-ce que vous a fait Israël ?
Quel est ce chœur unanime de condamnations contre Israël ?
Quel est cet ensemble vertueux qui désigne Israël comme LE coupable absolu ?
Quel est ce tribunal planétaire où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète ?
Il y aura même eu un imam iranien pour affirmer que l’éruption du volcan islandais était la punition divine des crimes du « régime sioniste ».
De Dominique de Villepin à Noam Chomski tous se sont précipités dans les télévisions pour dénoncer
« l’incroyable crime » commis par les soldats israéliens !
Trop de bonne conscience tue la conscience.
Trop, c’est trop !
Qu’est ce que nous dit cet accablement ?
Qu’il y aurait un Etat de trop sur la terre ?
Non, bien sûr! Israël possède de nombreux amis qui lui écrivent des lettres d’amour, pleines de conseils en forme d’épitaphe. Il y a même une célèbre journaliste américaine qui conseille aux Israéliens de rentrer
« chez eux ».
Chez eux ?
En Pologne.
En Russie.
En Algérie !
Pourquoi pas à Auschwitz tant qu’on y est !
Tant de sollicitude touche la vieille dame juive que je suis. Je crois que tous les Israéliens doivent être contents du constant intérêt qu’on leur témoigne et tous les juifs sont heureux de cette empathie sans cesse renouvelée.
J’avais fait, il y a longtemps, le choix de la pensée universelle. Bien que je fûs déportée parce que j’étais juive, j’ai cru que l’humanité, l’idée d’humanité, était plus forte que la charge des origines.
Près de soixante ans plus tard dois je faire le constat de mon erreur ?
Dois je constater qu’être juif vous désigne jusqu’à la fin des temps comme le coupable des nations ?
De quoi Israël est il coupable ?
Même si la politique de son gouvernement est critiquable, est-ce de cela dont il est question ?
Est ce vraiment parce que cette opération militaire a été conduite et s’est mal terminée qu’il faille désigner ces soldats israéliens comme d’horribles assassins face à des agneaux turcs ?
Pourquoi une telle mauvaise foi planétaire ?
Pourquoi cette bonne conscience européenne à vil prix ?
Pourquoi est-ce de l’Europe que fusent les critiques les plus virulentes ?
De quelle morale cette Europe peut elle se prévaloir ?
Quelles bonnes grâces veut-elle s’attirer ?
Et puis il y a la gauche, ma famille politique ! Qu’est ce que c’est que ces alliances, ces rencontres avec ces fanatiques qui crient
« Israël partira, Palestine vaincra ! »
Quels sont ces supposés trotskystes qui font cortège commun avec ceux qui font la prière en pleine rue ! La gauche a-t-elle perdu la tête ?
Croit-elle vraiment que le Hamas va émanciper les classes laborieuses comme on disait jadis ?
Croit-elle vraiment que l’islamisme défend la liberté de conscience ?
Croit-elle vraiment que dans les banlieues la haine des juifs fait partie des contradictions admissibles au sein du peuple ?
Il y a de la folie dans le moment présent. Il y a une haine qui ne dit rien de bon, qui n’annonce rien de bon et je crains que la tolérance planétaire à l’égard de ce président iranien ne ressemble à l’accueil tolérant qui fut fait à Goebbels à la SDN en 1938.
Combien de temps reste-t-il avant d’autres horreurs programmées ?
Des larmes compassionnelles les juifs et les Israéliens n’ont que faire.
C’est pour cette raison qu’ils ont créé Israël. Est-ce cela qui vous dérange tant ?

Marceline Loridan-Ivens, cinéaste
Numéro tatoué sur le bras gauche à Auschwitz-Birkenau : 78750

D’Eichmann à aujourd’hui, les Juifs et les autres

Hainaut Elisabeth 26 avril 19:07
Au moment où se déroule en Israël les cérémonies pour le jour de la Shoah et où en Norvège se tient le procès Breivik, me revient en mémoire une discussion avec un ami de la fac de médecine. Chacun se souvient du procès Eichmann qui débuta le 11 avril 1961. Cette page de témoignages sur l’histoire a fortement marqué les esprits, depuis les conditions rocambolesques de l’enlèvement d’Eichmann par un commando d’agents du Mossad dirigé par Isser Harel, jusqu’au 1er juin 1962, date de son exécution par pen-daison. David Ben Gourion avait souhaité un « Nuremberg du peuple juif » pour que ce procès provoque une véritable catharsis amenant à « inscrire la Shoah dans le code gé-nétique israélien ».
Dans la France des années 60, l’étendue de la Shoah et la monstruosité de son carac-tère systématique et industriel n’était guère connues du public non juif. Les premiers frémissements des trente glorieuses, la volonté quasi générale d’oublier les années noires de l’occupation et la mystificatrice geste gaullienne d’une France résistant comme un seul homme à l’envahisseur nazi s’accommodaient mal de récits au sens propre inimaginables. En Israël même, de nombreux jeunes sabras ne comprenaient pas que des millions de juifs se soient « laissés conduire à l’abattoir ». Les règles de sécurité pendant le procès furent extrêmes pour éviter son suicide ou un meurtre par vengeance : aucun des 22 gardiens recrutés n’était ashkénaze — i.e. susceptible, lui ou sa famille, d’avoir été déporté. La nourriture arrivait scellée et les plats d’Eichmann étaient goûtés par les gardiens pour éviter un empoisonnement. Les conditions du procès furent extraordinaires : trois juges au lieu d’un jury, film intégral par les télévisions du monde entier qui découvre en direct Eichmann dans sa cage de verre blindé écoutant sans émotion aucune les innombrables et tragiques témoignages de survivants.

Depuis l’aube de l’humanité les hommes se penchent sur la question du destin et de la responsabilité. Depuis la mort d’Eichmann, il y a exactement un demi-siècle, on ne cesse de se poser la question du degré de culpabilité, tant des hommes que des institutions, dans la réalisation de la Shoah. Historiens, philosophes, sociologues et psychanalystes apportent chacun leur contribution pour tenter de comprendre l’inexplicable. Toutes ces théories sont précieuses qui permettent de mieux cerner l’impénétrable.

Anna Arendt, philosophe juive émigrée aux Etats-Unis, qui couvrit le procès Eichmann pour le New Yorker, développa le concept de « banalité du mal » pour tenter d’expliquer la participation d’Eichmann — et par extension celle de tous les criminels nazis — à l’entreprise planifiée de mort industrielle qu’est la Shoah. Selon elle, Eichmann n’avait rien d’un monstre assoiffé de sang. C’était un homme banal, petit fonctionnaire étriqué mais zélé qui ne faisait qu’appliquer les ordres pour grimper les échelons de sa carrière au sein de l’armée. Il en irait de même pour la plupart des criminels nazis indépendamment de leur rang dans la chaîne de commandement. Ainsi, l’explication d’Arendt refuse toute interprétation pathologique. Le crime de ces hommes reposerait sur leur incapacité à l’empathie et à la pensée : ils seraient ainsi incapables de se mettre à la place de l’autre, position qui leur permettrait « de ne pas infliger à autrui ce qu’ils n’aimeraient pas qu’on leur infligeât à eux-mêmes ».

A l’appui de cette thèse de la banalité du mal, on peut citer la passionnante expérience de Milgram qui, autour des mêmes années, tentait d’évaluer expérimentalement le degré d’obéissance d’un individu à une autorité estimée par lui légitime. Les résultats font froid dans le dos et nous apprennent sur la psyché humaine des éléments peu plaisants mais indispensables à la connaissance. D’autres auteurs contestent cependant ce point de vue sur la banalité du mal, et insistent sur le fanatisme et la perversité d’Eichmann qui, à la toute fin de la guerre, insista pour que les juifs hongrois fussent tous exterminés. Il prononça cette phrase : « Je descendrai dans la tombe le sourire aux lèvres à la pensée que j’ai tué cinq millions de Juifs. Cela me procure une grande satisfaction et beaucoup de plaisir ». En réalité, cette perversité fanatique n’est en rien contradictoire avec le portrait du petit fonctionnaire banal et zélé.

Je voudrais à présent insister sur un épisode particulièrement évocateur lors du procès. Un des juges pose une question à Eichmann qui, oubliant de se lever, répond dans son micro. Le juge, dévasté depuis longtemps par la succession des témoignages insoutenables des survivants, s’emporte et intime à Eichmann sur un ton excédé : « Levez-vous quand vous vous adressez à la cour ! ». Alors ce dignitaire nazi, qui fut parmi les promoteurs de la solution finale à la conférence de Wannsee et un des plus hauts responsables de l’extermination industrielle et systématique des Juifs, cet accusé de crimes contre l’humanité qui jusqu’à cet instant n’a montré aucune émotion à l’écoute des insupportables récits, n’a ressenti ni haine ni culpabilité face aux témoins qui se succèdent, n’a manifesté aucun regret et encore moins de remords au regard des faits pour lesquels il est jugé, cet homme se lève en rougissant et bafouille des excuses, visiblement très troublé par la prise de conscience du fait qu’il vient de commettre une faute très grave. Comment comprendre un tel paradoxe ?

Nous possédons tous en nous une instance psychique qui juge en termes de morale nos pensées, conscientes ou inconscientes, et nos actes : on la nomme le surmoi. Le surmoi est le siège des mécanismes de renoncement à la satisfaction des pulsions, renoncement sans lequel toute vie en société serait impossible. Le surmoi, héritier du complexe d’Oedipe, nous permet d’assumer les interdits réclamés par la vie sociale. L’expérience nous oblige à reconnaître que nous ne sommes pas tous égaux face notre surmoi. Certains se sentent en permanence accablés par lui et passent leur temps à se faire d’amers reproches pour les moindres vétilles. D’autre s’en affranchissent aisément pour se vautrer dans les délices des transgressions de tous ordres. Tous les intermédiaires sont bien sûr possibles en fonction de notre histoire personnelle et de nos identifications.

Cet épisode du procès d’Eichmann nous indique qu’il existe des surmois dotés de propriétés différentes. En deçà du surmoi élaboré décrit plus haut existe un surmoi archaïque qui ne fait pas appel au jugement moral mais à la peur du gendarme, à l’exclusion de toute donnée éthique. C’est ce surmoi archaïque qui fait s’excuser Eichmann dans la grande contrition d’avoir commis une faute épouvantable lorsqu’il a omis de se lever pour répondre à la cour.

La question reste de savoir ce qui, chez certains, bloque l’évolution psychique au stade de surmoi archaïque sans les faire accéder au surmoi élaboré permettant de distinguer le bien du mal. Une piste est donnée par les impasses du narcissisme : quand l’autre n’est pas reconnu comme un autre humain, donc un autre soi-même, mais comme une chose à utiliser pour sa propre satisfaction, toutes les manipulations, utilisations, déqualifications et déshumanisations sont possibles. C’est alors le règne de la perversité qui se nourrit de la confusion des valeurs.

C’est précisément ce qui eut lieu dans toute l’Europe de la Shoah, quand les nazis furent bien aidés par l’indifférence des nations, quel que soit le nombre de justes honorés à Yad Vashem.

C’est précisément ce qui se passe aujourd’hui dans l’ignoble délégitimation de l’Etat-nation d’Israël, dans sa dénonciation en tant qu’Etat soi-disant nazi pratiquant l’apartheid. Cette inversion perverse des valeurs, cette corruption du sens par ce nouvel avatar de la haine antijuive qu’est l’antisémitisme islamique, ses idéologues et ses idiots utiles, en est une illustration tragique.

Alors que, étudiants en médecine, nous discutions ensemble de ce procès et de ses implications, mon ami Christophe Dejours — qui a lui-même travaillé les stratégies de défenses dans la banalisation du mal — avait suggéré l’idée suivante : au lieu de prononcer une sentence de mort pour Eichmann, le Tribunal aurait dû le condamner à vivre — sous de draconiennes conditions de surveillance pour éviter un suicide ou un meurtre et dans un isolement affectif total — le restant de sa vie dans un kibboutz, dans la pleine renaissance du peuple qu’il avait souhaité anéantir.

Christophe Bigot Ambassadeur de France en Israël victime d’une attaque terroriste

Rend un service à Jean, il te le rend en ch….

Provenance Albert SOUED.

Christophe-Bigot

L’Ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, a été attaqué durant le week-end dans le désert de Judée à Nabi Musa, une région proche de la ville de Jéricho et sous le contrôle de l’AP. Son téléphone portable et son portefeuille lui ont été dérobés. Il a été laissé, abandonné dans le désert sans possibilité de communiquer avec l’extérieur.

Otez-moi d’un doute, ne reprochons nous pas au Quai d’Orsay sa politique pro-arabe et franchement hostile à Israël? Nabi Musa sous contrôle de l’AP ne devrait-elle pas être une zone accueillante pour le premier représentant français?

Qui sont les responsables de cette agression inqualifiable, va-t’on nous expliquer que « ce sont des membres incontrôlés »?

La réalité de la situation, c’est que les arabes ne parlent pas d’une seule voix, il y a ceux qui parlent avec l’occident en anglais,avec un discours apaisant et en arabe pour leur foule en disant exactement le contraire, et il y a ceux qui refusent tout dialogue pensant que seule la lutte armée leur permettra d’arriver à leur but « l’éradication d’Israël ».

Les premiers conscients d’avoir échoué dans des guerres successives, ont choisi dans un premier temps l’intifada, et son cortège d’attentats suicides, devant l’échec constaté de cette deuxième solution en raison de l’édification « du mur » qui n’en est pas un dans la totalité de sa longueur, (ce mur décrié par les biens pensant qui l’appellent le mur de la honte, le comparant à celui de Berlin, ce dernier empêchait les Allemands de l’Est de venir à l’Ouest tout simplement pour vivre libres, le second nous enferme volontairement afin d’empêcher les arabes de venir nous agresser. Ne fermez-vous pas votre porte lorsque vous rentrez chez vous)?

La troisième étape a été la délégitimation d’Israël en nous reprochant de créer un pays d’apartheid, et toutes les occasions sont bonnes pour y arriver: faux évènements filmés montés de toutes pièces, dont le plus célèbre est l’affaire Al Dura habilement démontée par Philippe Karsenty, que l’Etat Français n’a toujours pas dénoncé, le dernier connu est l’incident de ces derniers jours avec l’altercation d’un militant Danois de l’ISM ong basée à Ramallah.

Après deux heures de discussions sans fin avec l’armée qui voulait faire circuler des « protestataires pacifiques » car cet axe stratégique sous le contrôle de l’armée ne doit sous aucun prétexte être bloqué, l’agresseur danois a frappé le Lieutenant-Colonel Shalom Eisner à l’aide du manche de sa pancarte, lui fracturant deux doigts.

Shalom Eisner se fit soigner, puis revint parlementer, les fauteurs de troubles ne voulant pas obtempérer, le ton est monté, et Shalom Eisner excédé a bousculé le danois du plat de sa mitraillette, ISM a publié uniquement le coup de plat de mitraillette et le film a causé la cassation d’un militaire de haut rang coupable d’avoir exécuté ses ordres, (ne pas laisser bloquer cet axe stratégique). Il faut plaire à l’Occident à tout prix.

Dans le même temps, au Danemark, une importante force de police a embarqué à coups de matraque de nombreux manifestants qui effectuaient un sitting sur un axe fréquenté, personne n’en a parlé, les médias aux ordres n’ont pas publié, deux poids deux mesures.

Le second groupe d’arabes refuse le dialogue, certains de ses membres ont attaqué l’Ambassadeur de France, le Ministre des Affaires Etrangères Alain Juppé ne peut traiter cette pécadille, car il s’occupe activement de la campagne électorale Présidentielle, il ne faut pas géner les arabes votant en France (peut-être y en aurait-il quelques uns qui n’écoutent pas leurs Imams)!!!

Quelle peuvent en être les raisons?

Premièrement: la France s’est impliquée contre l’Iran dans des sanctions économiques en raison de sa construction de la bombe nucléaire. Tiens donc depuis 10 ans nous dénonçons ce fait, il fallait parlementer. La dernière réussite de la peu glorieuse Duchesse Ashton, c’est d’être très heureuse de s’être faite rouler dans la farine par les Iraniens lors des dernières discussions très importantes qui ont aboutties à « fixer un prochain rendez-vous dans 5 semaines », pourquoi pas dans cinq minutes? Les Iraniens qui ont demandé ces discussions ne savent-ils pas de quoi ils veulent parler?

Ils veulent seulement deux choses qu’on lève les sanctions économiques, et qu’on leur laisse du temps (pour fabriquer leur bombe), Lady Ashton a donné une fois de plus du temps. Il en faut aussi à Barack Hussein Obama qui souhaite se faire réélire, surtout pas de guerre avant. Le pétrole pourrait augmenter.

Deuxièmement: la France s’est également faite remarquer en raison de sa position vis à vis de la Syrie alliée de l’Iran. Nous devons discuter, il n’y a eu que 11.000 morts selon Assad, le triple selon ses opposants. Cette répression n’est-elle pas disproportionnée? La France ne s’est pas posée de question pour la Libye, les Américains échaudés par ces résultats n’ont pas voulu retourner au charbon.

Troisièmement: la France vient de se livrer à un ratissage en bonne et due forme à la suite de l’attentat meurtrier raciste de Toulouse, l’intervention des forces de police suivie dans le monde entier, se terminant par la mort du forcené, a vu la revendication de nombreuses personnes soutenant l’acte d’un chien enragé formé par les talibans et les islamistes. Les cités, territoires de non droit, ne pouvant plus vendre leur drogue en raison de la traque effectuée ont comparé leur situation à Gaza!!! L’Iran grand argentier de tous ces mouvements veut punir la France.

Quatrièmement: l’Iran verrait d’un bon oeuil la chute de Nicolas Sarkozy et l’élection de François Hollande qui s’appuie sur le vote musulman.

La boucle est bouclée, quand donc la France comprendra t’elle que la guerre est déclarée, c’est une guerre de religion avouée par les islamistes, tout ce qui n’est pas islam doit se convertir à l’islam ou périr, pour fêter l’avènement de la charia.

Il est regrettable qu’une personnalité aussi sensible, et pleine de bonté qu’est Christophe Bigot ait subi les outrages de ces malfaisants, c’est ce qu’on appelle un dommage collatéral, Alain Juppé trouvera t’il ceci disproportionné?

Quoiqu’il en soit, Alain Juppé ne sera plus à ce poste dès le soir du 6 mai, si le suffrage permet à Nicolas Sarkozy d’être réélu, il devra former un nouveau gouvernement qui sera fonction de la nouvelle Assemblée issue du scrutin du 17 juin. Gageons qu’alors la politique étrangère soit infléchie.

Eli d’Ashdod

Contre la désinformation, l’information par Israël

Dora Marrache 25 avril 01:10
Un excellent message de l’Ambassade d’Israël en France. Une excellente initiative, un exemple à suivre

Nous sommes heureux de vous annoncer que nous commençons à voir les premiers signes forts du succès d’un programme, crée il y a huit mois, pour l’amélioration de l’image d’Israël en France.

Depuis quelques mois, l’Ambassade avec l’aide de nombreux contributeurs, des scientifiques, des professionnels, des étudiants de différents domaines, a mis en place plusieurs canaux d’informations indépendants, crédibles et de qualité dans le but d’équilibrer le traitement déséquilibré et obsessionnel de la majorité des médias français traditionnels envers Israël.

Le projet comprend non seulement la production de contenus et d’information de qualité, mais il comprend aussi un aspect technique rigoureux et innovant. Les deux aspects permettant à la réalité israélienne de se faire une place parmi les géants de l’information. En d’autres termes, si les medias français ne parviennent pas à exposer la réalité israélienne, la réalité israélienne s’exposera d’elle-même.

Vous êtes invités à rejoindre les dizaines de milliers d’internautes, consommateurs d’information qui ont déjà découvert coolisrael.fr, siliconwadi.fr et coolturel.fr comme une véritable source de nouvelles sur la société, la culture, les sciences, les technologies et le business en Israël.

Dans les prochains jours, nous lancerons la deuxième étape de ce projet unique, qui permettra à ceux pour qui l’image d’Israël est importante, de devenir un Ambassadeur digital d’Israël.

Tenez-vous informés !

Département des Relations publiques
Ambassade d’Israël en France

Pikoud Haoref Service de défense passive à Ashdod

Chers Amis,
Nous nous permettons d’insister sur l’importance de la conférence sur la sécurité et le stress durant les alarmes.
Alors venez nombreux le :

LUNDI 23 AVRIL
CONFERENCE SUR LA SECURITE ET LE STRESS DURANT LES ALARMES

Par Mme Stéphanie SHARE et Le Dr Israël FELDMAN, Psychologues que nous citons:

« LeHamas, le Djihad islamique et autres se comportent de façon barbare enessayant de massacrer notre peuple à Sederot, Ashkelon, Ashdod, Béer Shéva, etc…par l’envoi régulier et massif de « kassams » et de « Grads »sur ces villes du sud d’Israël. Nous savons, nous les spécialistes, que les personneschoquées peuvent développer des symptômes post-traumatiques, après cesbombardements dévastateurs d’artillerie incessants. Comment pourront-ilsdépasser ces traumatismes? Nous aborderons le travail des personnelsspécialisés, et des associations qui s’efforcent de traiter ces traumatismes,par des
Thérapies et par des groupes deparole, ce qui permettra de soigner cette population. »
Cette conference sera accompagnee d’une demonstration de la pose des masques a gaz par un delegue du Pikoud Ahoref

Dans nos bureaux à 19h30. Entréegratuite

Myriam Berger
SHAVEI TSION
25, rue Sinai – Ashdod
Tel 08-852-73-62
שבי ציון
רח’ סיני 25 – אשדוד
טל: 08-852-73-62

Myriam Berger
SHAVEI TSION
25, rue Sinai – Ashdod
Tel 08-852-73-62
שבי ציון
רח’ סיני 25 – אשדוד
טל: 08-852-73-62

Le peuple palestinien : une fiction politique.

 

Ci-dessous un extrait du discours du ministre de l’intérieur du Hamas, Fathi Hamad diffusé le 23/3/2012 sur la chaine Al-Hekma.
Il se plaignait du manque d’aide octroyée par les pays arabes aux Palestiniens, soulignant :
« …Quand nous demandons l’aide de nos frères arabes, nous ne cherchons pas leur aide pour manger, vivre, boire, nous habiller, ou vivre une vie de luxe. Quand nous demandons leur aide, c’est pour continuer le Jihad .
Mais enfin qui Sont les Palestiniens ?
Mes frères, la moitié des Palestiniens sont des Egyptiens et l’autre moitié des Saoudiens.
Nous avons beaucoup de familles appelées Al-Masri, dont les racines sont égyptiennes. Egyptiens ! Ils peuvent être d’Alexandrie, du Caire, de Dumietta, du Nord, d’Assouan, de la Haute Egypte.
Nous sommes des Egyptiens. Nous sommes des Arabes. Nous sommes des Musulmans. Nous sommes une partie d’entre vous.
Allah Akbar. Faisons l’éloge à Allah. Allah Akbar (Dieu est le plus Grand) .
Comment pouvez-vous rester silencieux, oh Musulmans, quand les gens de Gaza meurent ?
Vous observez depuis ces lignes sans leur fournir la chose la plus simple, que vous donnez à l’occident pour un prix bien plus maigre.
Oh, mais quand il s’agit du devenir des citoyens de ce Pays arabe dont ils sont venus, alors ils sont tous  » Palestiniens » et doivent être traités comme des lépreux pour protéger leur propre nation, bien sûr.
Vous oubliez que le nationalisme arabe palestinien ne reflète pas d’identité nationale Palestinienne inhérent mais plutôt une fiction politique créée seulement au vingtième siècle pour détruire le Sionisme….. »

On ne pourrait être plus explicite …..Cette affirmation de la bouche d’un Ministre palestinien devrait faire réfléchir tous ceux qui, de par le Monde, parlent du « Peuple palestinien et de son droit sur la Palestine ».

L’excellent livre de Guy MILLIERE « Comment le peuple palestiien fut inventé » www.editionsdavidreinharc.fr explique et démontre exactement la même chose, n’hésitez pas à l’acquérir pour 9,90 €.

Bonne lecture.

Eli d’Ashdod

Gaza révélation d’un trafic d’organes

A tous les menteurs arabes, sachez que chaque fois que vous accusez Israël d’un crime, nous recherchons et prouvons que vous l’avez commis.

Quand aux gogos européens, arrétez un peu de penser au pétrole, et n’ayez pas peur de votre cinquième colonne, si vous tapez fort, ils comprendront.

Gaza révélarion de trafic d’organes.

Eli d’Ashdod

Stéphane JUFFA de la MENA à Ashdod le 17 avril 2012

L’Espace Francophone organise dans le cadre de ses « Carrefours de l’Actualité »,

une Conférence – débat

avec

Stéphane Juffa

Rédacteur en chef et analyste stratégique de la MENA,

la célèbre agence de presse israélienne, la Metula News Agency *

le mardi 17 avril 2012 à 20h

dans les locaux de l’Espace Francophone (27 Ha’Orgim, Ashdod)

Au cours de cette soirée, Stéphane Juffa traitera pour nous le thème suivant:

Israël, dans une logique d’affrontement

Thème d’une actualité brulante, au moment ou l’islamisme radical gagne de plus en plus de terrain et ou les stratégies terroristes se déploient tout azimut.

Au Nord, le Hezbollah n’attend que les ordres de ses commanditaires pour porter ses attaques et a Gaza le Hamas se réarme pour un nouvel affrontement.

Et cela, pendant que l’Iran poursuit sa folle course au nucléaire.

Israël sera-t-il acculé à une attaque préventive ?

Faut-il attendre que les lignes rouges soient franchies pour attaquer l’Iran et si oui lesquelles ?

L’existence de l’Etat d’Israël et la vie de ses habitants sont-elles « négociables »?.

PAF:20 Nis Renseignement auprès de Jacques 054 209 29 84

Dora MARRACHE: l’Imprécatrice.

> Un texte magnifique, à lire absolument jusqu’à la fin ….et à diffuser
>
>
>
> Tout ce que les médias occultent sur Israel
>
> mardi 13 mars 2012,
>
>
>
>
>
> « La pensée n’est pas le fait d’un homme isolé. Les découvertes de tous
> entraînent l’évolution de chacun. » Louis Aragon
>
>
>
> Il est de bon ton aujourd’hui de s’indigner. Et je ne ferai pas exception,
> mais mes motifs d’indignation sont tout à fait à l’opposé de ceux de Hessel.
>
>
> Je suis indignée de constater que, si j’ose affirmer ma position en faveur
> d’Israël, je me fais des ennemis.
>
> Même parmi mes amis juifs, si je parle d’Israël en présence de non-juifs, il
> en est qui me demandent de me taire ou qui s’éloignent de moi.
>
> Je suis lasse de cette campagne antiisraélienne, orchestrée par les medias,
> les milieux politiques – qu’ils soient d’extrême gauche ou d’extrême droite
> – et par de nombreux intellectuels, parfois juifs et israéliens de surcroît
> ; lasse de devoir quémander un traitement plus équitable dans les medias et
> de me battre contre des moulins à vent ; lasse d’entendre dire qu’Israël est
> un Etat d’apartheid, qu’il est le pays le plus dangereux pour la paix
> mondiale ou encore qu’il présente des similitudes avec l’Allemagne des
> années 30.
>
> Non seulement lasse, mais en colère parce que l’on remet en question jusqu’à
> son droit à l’existence et que l’on lance des appels à sa destruction sans
> que cela puisse choquer les nations.
>
> Face à tous les mensonges propagés par des gens qui font pourtant partie de
> l’élite, il faut que des voix s’élèvent, non seulement pour détruire les
> accusations perfides portées contre Israël, mais aussi, et je dirai même
> surtout pour diffuser d’Israël une image à l’opposé de celle que véhiculent
> les medias, une image valorisante parce qu’Israël a tout pour susciter
> l’admiration, parce qu’Israël est un joyau dont nous pouvons être fiers.
>
> Or, comme il n’existe que peu ou pas d’ouvrages présentant de façon
> objective la réalité israélienne, c’est à nous qu’il revient de rétablir les
> faits, d’informer, et ce en dépit de la réticence que nous éprouvons, nous
> les Juifs, à parler de la réussite d’Israël.
>
> Et c’est à vous, vous mes « amis » non-juifs qui faites partie de l’élite
> intellectuelle que je voudrais m’adresser. A vous qui me reprochez
> à-demi-mots mes prises de position très tranchées en faveur d’Israël, mon
> manque de compassion envers les Palestiniens, mon manque d’objectivité quand
> je traite du conflit.
>
> Permettez-moi de vous dire que je ne comprends pas que des intellectuels
> puissent se laisser berner et adhérer à des mythes comme celui qui veut que
> les Israéliens aient volé la terre des Palestiniens quand des documents
> d’historiens attestent de la présence juive en Palestine depuis des
> millénaires.
>
>
>
> Dois-je vous rappeler qu’avant de jeter l’opprobre sur Israël, vous feriez
> bien de regarder votre passé ? Vous savez mieux que quiconque que les
> Israéliens ne sont pas des colons, qu’ils n’ont rien en commun avec les
> Français, les Belges, les Anglais ou les Portugais.
>
> Vous qui formez les hommes de demain, vous vous dites pour la paix et animés
> de valeurs humanistes. Sans doute ne donnons-nous pas à ces mots la même
> acception. Sinon comment pouvez-vous, en même temps, défendre la création
> d’un Etat palestinien et remettre en question le droit à l’existence de
> l’Etat d’Israël ?
>
> Sinon, comment expliquer votre silence face à l’appel de détresse lancé par
> les Syriens ?
>
> Pourquoi cette politique de deux poids deux mesures ?
>
> J’ai du mal à croire que vous, si prompts à condamner Israël pour le moindre
> geste d’auto-défense qu’il pose, restiez silencieux face à la tragédie du
> peuple syrien et, devrais-je ajouter, face aux menaces d’anéantissement
> d’Israël que brandit l’Iran ? Sont-ce là les valeurs que vous défendez ?
>
> Une conclusion s’impose : ni la vie d’un Syrien ni celle d’un Palestinien
> n’a d’importance à vos yeux.
>
> Ce qui vous anime, ce n’est pas la compassion pour les Palestiniens, ce qui
> vous anime c’est une haine inextinguible pour le peuple juif au complet,
> haine que vous avez transférée sur Israël, et non sur son gouvernement que
> vous n’êtes pas à même de juger.
>
>
>
> LA HAINE DES JUIFS ET D’ISRAËL
>
> « La jalousie est le signe du manque de fatuité, du sens critique, de
> l’intelligence. » Paul Léautaud
>
> Pourquoi cette haine ? Evidemment, elle ne date pas d’hier. De tout temps,
> depuis l’époque des pharaons, partout où ils allaient, partout où ils
> tentaient de s’installer, les Juifs suscitaient la haine.
>
> On les accusait de tous les maux, surtout quand un pays traversait une crise
> économique ou politique.
>
> Ils étaient le souffre-douleur des populations, leur bouc émissaire.
>
> Comme les chrétiens craignaient de voir leur doctrine -le christianisme-
> détruite par les Juifs, ils les présentaient comme des gens dangereux, des
> gens à mettre au ban de la société.
>
> On leur en voulait également parce qu’ils étaient différents des autres
> peuples, on les voyait comme « le corps étranger » à extirper.
>
> Proscrits, les Juifs étaient incapables de comprendre les causes de cette
> haine. Les Juifs ont développé un sentiment de culpabilité et ils ont choisi
> de se fondre dans la masse, de cesser d’exister en tant que Juifs, de
> rejeter leur identité ontologique.
>
> Tentative vaine : l’antisémitisme était là, et même si les Juifs se
> voulaient pareils aux autres, on leur rappelait sans cesse qu’ils ne
> l’étaient pas.
>
> Alors, dans l’espoir d’être mieux acceptés, ils ont choisi de se distinguer
> dans tous les domaines : scientifique, artistique, économique, etc., à une
> exception près peut-être : le sport.
>
> Erreur ! Leur situation n’a fait qu’empirer, la haine des autres n’a fait
> que croître et, portée à son paroxysme, elle a conduit à l’extermination de
> 6 millions de Juifs.
>
> Très tôt, bien avant la Shoah, beaucoup de Juifs se sont dit que pour
> échapper à cette bête immonde qui les pourchassait, il n’y avait qu’une
> solution : fonder leur propre Etat.
>
> Mais l’antisémitisme a la vie dure. Et la création de l’Etat juif n’a fait
> que le renforcer, un peu comme une tempête gagne en puissance et se renforce
> en ouragan.
>
> Bien sûr, je vous entends déjà me répondre que vous n’êtes pas antisémites,
> que vous n’êtes qu’antisionistes, que c’est Israël qui suscite la haine.
>
> En fait, la haine du juif s’est focalisée sur Israël, sur le sionisme.
> L’antisémitisme, qui est répréhensible, a pris un autre nom qu’on juge «
> politiquement correct » : il s’appelle l’antisionisme. Il a pris à un autre
> visage : Israël.
>
> Et « la question juive » dont parlait Sartre est devenue « la question
> israélienne ».
>
> Mais vous savez aussi bien que moi que l’on ne peut dissocier Israël du
> peuple juif. Exception faite des Neturei Karta et des Juifs qui souffrent de
> « la haine de soi » (les self-hating jews), tout juif se reconnaît en
> Israël.
>
> Par ailleurs, ne nous y méprenons pas : l’antisionisme est en réalité
> infiniment plus dangereux que l’antisémitisme puisqu’il ajoute à
> l’antisémitisme conventionnel une opposition farouche au sionisme, donc au
> droit de tout Juif de pouvoir vivre sur sa terre , même s’il s’agit là d’un
> droit inaliénable accordé à tous les peuples.
>
> C’est ce qui me permet de dire que l’antisionisme est l’antisémitisme porté
> à son paroxysme. Et comme il vise l’élimination d’Israël, l’antisionisme est
> la pire forme de racisme qui puisse exister.
>
> Donc, soyons clairs : quelle que soit la terminologie que vous adoptiez sous
> les pressions du « politiquement correct », quand vous haïssez Israël, c’est
> son peuple, et l’ensemble du peuple juif que vous haïssez.
>
> En fait, vous les antisionistes pouvez tolérer le Juif – je dis bien «
> tolérer » – dans le statut de victime, de Juif errant et, quand vous le
> croyez voué à disparaître, il peut même vous inspirer de la sympathie.
>
> En revanche, quand il se distingue, il suscite la jalousie, et la jalousie a
> pour corollaire la haine.
>
>
>
> – Pourquoi serait-on jaloux d’Israël ? Jaloux de ce petit pays ! me
> direz-vous.
>
> La cause ? Je devrais dire les causes, car la jalousie d’élection n’explique
> pas tout. Peut-être en veut-on d’abord aux Juifs d’avoir résisté à toutes
> les tentatives d’éradication. La survie du peuple juif, ses victoires contre
> les 200 millions d’ennemis, tout cela ne vous semble-t-il pas tenir du
> miracle ?
>
> En fait, vous devez bien admettre que la seule résurrection incontestable,
> ce n’est pas celle de Jésus, la Résurrection, c’est celle de ce pays dont le
> peuple presque anéanti a réussi à renaître de ses cendres.
>
>
>
> « L’Etat d’Israël a cumulé plus d’histoire au cours de ses 62 années que de
> nombreux autres pays de la planète n’ont eu en six cents ans. Il y a
> beaucoup de choses surprenantes à propos de cette minuscule, héroïque,
> courageuse nation de la taille du Pays de Galles, mais le plus étonnant,
> c’est qu’elle a survécu à tout. » Ces propos, ce n’est pas moi qui les
> tiens, mais Andrew Roberts, un membre du Parlement du Royaume Uni, lors d’un
> discours qu’il a prononcé à la Chambre des communes.
>
> Mais surtout on en veut aux Juifs et on calomnie Israël parce que l’on est
> jaloux de la réussite de ce pays. Dans la vie individuelle, on dénigre celui
> qui a du succès et on l’isole pour lui préférer celui qui souffre.
>
> Il en est de même entre les peuples, entre les Etats. Israël aussi est isolé
> et dénigré par ceux qui sont jaloux de sa réussite, du potentiel de son
> peuple qui a changé un désert en un jardin d’Eden et qui, en un demi-siècle,
> a bâti un pays dont le développement a été phénoménal, un pays qui est une «
> success-story ».
>
> Ce peuple qui rayonne cause à tous les antisionistes un malaise certain :
> Israël, « start-up », dérange, il faut bien en convenir.
>
> Pendant que les pays européens se débattent avec une crise économique sans
> précédent, pendant que les pays arabes sont en proie à des révolutions,
> Israël continue son petit bonhomme de chemin et surprend tout le monde en
> affichant des résultats qui font pâlir d’envie non seulement ses voisins,
> mais bien des pays européens.
>
> Alors, nombreux sont ceux qui voient en Israël un rival qu’il faut
> combattre, qu’il faut éliminer, un peu comme si le succès d’Israël se
> faisait à leurs dépens.
>
> Que les masses adoptent un tel raisonnement, cela se conçoit aisément. Il ne
> s’agit pas de les excuser, mais de justifier.
>
> En revanche, je suis littéralement scandalisée quand des gens intelligents
> et cultivés, qui appartiennent à des pays au coefficient éducatif élevé,
> laissent libre cours à leur haine des Juifs.
>
> Car ces universitaires sont à même de comprendre ce qui peut échapper au
> peuple, à savoir que la réussite israélienne profite à toute l’humanité,
> sans distinction de race ni de religion.
>
>
>
> LA REUSSITE ISRAELIENNE
>
> Avant de vous dire ce que les medias occultent, c’est-à-dire la vérité sur
> Israël, vérité que vous, antisionistes de tout acabit, ne voulez pas
> entendre, je vous demande de garder à l’esprit ce qui suit : 6 millions de
> Juifs environ vivent en Israël (l’équivalent, grosso modo, de la Suisse) et
> un peu moins de 9 millions en diaspora. Les Juifs, vous en conviendrez,
> représentent à peine 0,2% de la population mondiale, alors que les musulmans
> représentent 20%.
>
> Il y a donc 1 Juif pour 100 musulmans.
>
> Je ne vous apprendrai rien en vous disant que ce pays que vous abhorrez est
> d’abord une démocratie exemplaire, un Etat où toutes les religions, incluant
> celle qui prône son éradication, jouissent d’une totale liberté de culte.
>
> Ce pays, s’il domine, ce n’est pas comme vous le laissez entendre uniquement
> grâce à sa puissance militaire – pour ne pas être jeté à la mer, il a dû se
> doter d’une des meilleures armées du monde, sinon la meilleure- ce pays est
> une puissance médicale, scientifique, technologique, etc. à laquelle
> l’humanité tout entière doit une fière chandelle.
>
> Je sais que mes propos ne peuvent qu’attiser la haine que vous inspirent les
> Juifs, mais peut-être quelques uns parmi vous ouvriront-ils les yeux et
> réaliseront-ils que je dis vrai, que la supériorité intellectuelle et
> pragmatique des Juifs n’est pas un mythe, mais une réalité incontestable.
>
>
>
> 1. LE NOBEL : Les Juifs semblent avoir jeté leur dévolu sur ce prix si
> prestigieux qui récompense l’effort. Juste pour l’année 2011, 5 des 7 prix
> Nobel sont juifs. A titre de comparaison, 1 milliard 500 millions de
> musulmans ont obtenu 3 Prix Nobel sur 747.
>
> Il est donc facile de constater que les Juifs ont raflé
>
> 41% des Prix Nobel en économie
> > 28% des Prix Nobel en physique
> > 28% des Prix Nobel en médecine
> > 18% des Prix Nobel en chimie
> > 13% des Prix Nobel en littérature
> > 9% des Prix Nobel de la paix sont Juifs .
>
>
>
> Et tout porte à croire qu’Israël sera le champion du Nobel au 21ème siècle !
> Si nous faisons un classement équitable, donc per capita, voici le nombre de
> prix Nobel obtenus depuis 2000 par les nationalités récipiendaires du Nobel
> si leurs pays respectifs étaient peuplés de 10 millions d’habitants :
>
> (1) Israéliens (7 prix) (2) Américains (2,5 prix) (3) Britanniques (2,3
> prix) (4) Français (1 prix) (5) Australiens (1 prix) (6) Allemand (0,8 prix)
> (7) Japonais (0,64 prix) (8) Russes (0,35 prix)
>
> C’est vrai qu’il y a de quoi faire des jaloux ! Mais en même temps, pour
> ceux qui sont ambitieux et intelligents, il devrait y avoir là matière à
> émulation. Or, ce n’est pas le cas.
>
> « Trop de Juifs ont reçu le Nobel ! » a-t-on entendu dire.
>
> Voudrait-on laisser entendre qu’ils l’achètent ? A moins qu’on ne veuille
> suggérer d’imposer des quotas aux Juifs.
>
> Non, mieux : on veut interdire aux Juifs le Prix Nobel ! C’est du moins ce
> que suggèrent deux scientifiques, un Suédois et un Américain (on croit rêver
> !).
>
> Dans une lettre ouverte datée du 31 mars 2011, qui est un véritable
> pamphlet, Jan C Biro, professeur honoraire à l’Institut Karolinska de
> Stockholm, et Kevin B. MacDonald, professeur américain, dénoncent ce qu’ils
> appellent « le parti pris juif » du prix Nobel.
>
> Ils se lancent dans des calculs qui leur font dire que l’attribution de ce
> prix n’a pas lieu de façon équitable puisque les Juifs récompensés sont 137
> fois plus nombreux que les non-juifs. Qui plus est, ils lancent un appel à
> leurs collègues juifs pour qu’ils adhèrent à cette prise de position.
> Incroyable, mais vrai !
>
> Ne serait-on pas face à de nouveaux révisionnistes comme il existe de
> nouveaux historiens ?
>
> Au lieu de voir partout l’intervention du « lobby juif / sioniste », les
> antisionistes devraient plutôt s’interroger sur la signification à attribuer
> à ces résultats. Tout comme ils devraient se demander comment en 2010, année
> où il a accédé à l’OCDE, l’Etat juif a réussi à occuper le cinquième rang
> avec un taux de croissance moyenne de 4,5% alors que les 34 autres pays de
> cette organisation atteignaient tout juste 2,8% (1,7% pour l’Europe).
>
> Il est vrai que le gouvernement israélien a été le premier surpris par de
> tels chiffres. « Cette forte croissance témoigne de la hausse du niveau de
> vie des Israéliens », a déclaré le Premier Ministre Netanyahu, ajoutant que
> cette croissance « est le résultat d’une politique responsable ».
>
> Ce ne sont certainement pas les ressources naturelles d’Israël qui
> expliquent ces résultats. Si ressource il y a, la seule dont jouisse Israël
> est la matière grise. Mais une intelligence exceptionnelle que confirme un
> QI qu’on dit au-dessus de la moyenne ne suffit pas à expliquer à elle seule
> la réussite des Juifs.
>
> Il faut y ajouter leur volonté, leur capacité de résilience, leur foi, et
> surtout l’importance qu’ils accordent à la R&D et à l’éducation, n’en
> déplaise à tous les antisionistes.
>
> Par Dora Marrache Chroniqueuse, Radio-Shalom, Montréal