L’étau voulu par Obama se resserre sur Israël

28 novembre 2012 | Classé dans: Israël,Présidence Obama | Posté par: Guy Millière

Tout se passe au Proche-Orient comme l’administration Obama le souhaite.
Israël a dû arrêter ses opérations contre le Hamas à Gaza, ce qui permet à celui-ci de crier victoire, de se réapprovisionner en armes, et de bénéficier d’une légitimation internationale de plus en plus visible : dans tous les pays occidentaux, il se murmure maintenant que, dès lors que des négociations ont été menées avec le Hamas pour obtenir l’accord d’armistice, d’autres négociations avec le Hamas doivent avoir lieu (il se dit même que des négociations se mènent présentement entre le gouvernement israélien et le Hamas).
Mohammed Morsi, conforté par le rôle clé d’intermédiaire qui lui a été confié par Obama lors des négociations entre les Etats-Unis et le Hamas, et conforté aussi par les aides financières qu’il a reçu en récompense, s’est arrogé les pleins pouvoirs et instaure en Egypte la dictature des Frères musulmans : des manifestations et des émeutes ont lieu, mais il va de soi que manifestants et émeutiers recevront aucun appui et aucun soutien de qui que ce soit.
Erdogan en Turquie reçoit un appui militaire de plus en plus net de la part des Etats-Unis, et des engrenages se mettent en place aux fins d’accentuer la pression sur le régime Assad en Syrie : l’objectif est de dessiner les contours d’une arrivée au pouvoir dans le pays des islamistes sunnites, menés par les Frères musulmans là encore. Ce qui se trouve négocié, avec Morsi et Erdogan, par l’entremise du Qatar est le sauvetage des alaouites et la préservation de la base russe de Tartous.
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Ce qui se trouve négocié aussi, par l’entremise du Qatar, toujours, est la préservation des intérêts iraniens et de ceux du Hezbollah au Liban.
Quand la Syrie aura basculé, il ne restera plus qu’un seul pays modéré sur le flanc Est d’Israël, la Jordanie, mais une entente entre le roi et les Frères musulmans semble être sur l’horizon.
La continuité qui se dessine prend les contours d’une sorte de califat sunnite ressemblant à celui auquel aurait pu rêver Hassan El Banna.
Cette continuité, dès lors que les intérêts iraniens seraient préservés en Syrie, et que les intérêts du Hezbollah seraient préservés au Liban, permettrait, songe-t-on à la Maison Blanche, de surmonter l’hostilité entre shiites et sunnites au nom de la souveraineté de l’islam sur ses terres et d’une victoire de l’islam radical.
Des négociations, directes celles-là, sont menées par Valerie Jarret au nom d’Obama avec des dignitaires iraniens : au Qatar, bien sûr.
Mohammed Morsi s’est déjà rendu à Téhéran. Les dirigeants du Hamas remercient l’Iran pour son aide et le régime iranien félicite le Hamas pour son glorieux combat.
Le régime iranien est ami de la Russie et de la Chine. Mohammed Morsi fait son possible lui-même pour se rapprocher de la Chine.
Cela ne fait pas l’affaire des Etats-Unis, direz-vous, et les positions de l’administration Obama sont étranges. N’avez-vous pas compris qu’Obama veut un monde post-américain et pense qu’un monde post-américain serait un monde meilleur ?
Cela ne fait pas l’affaire d’Israël, direz-vous aussi. Et Israël a concédé une victoire au Hamas, sous pression des Etats-Unis. C’est exact. Et je ne sais ce qui se prépare autour de Netanyahu. J’aimerais le savoir. Et si des négociations ont effectivement lieu entre Israël et le Hamas, je crains qu’elles ne soient un marché de dupes pour Israël.
Le durcissement de l’aile droite du Likoud qui s’est mis en place dans la perspective des élections de janvier me laisse penser que des Israéliens partagent mes craintes et, tout en continuant à penser que Netanyahu fait au mieux avec la situation effroyable du moment, je pense que ce durcissement est une excellente nouvelle.
Ce que je viens de décrire ne fait pas l’affaire de l’Arabie Saoudite ? L’Arabie Saoudite est effectivement sur la défensive présentement et se sent trahie par Obama. Les dirigeants saoudiens craignent une déstabilisation. Ils craignent les Frères musulmans d’une part, l’Iran d’autre part.
Ce que je viens de décrire ne fait pas l’affaire de l’Autorité Palestinienne non plus, ajouterez-vous. Les positions de l’Autorité palestinienne sont affaiblies, effectivement, mais l’administration Obama garde en tête la possibilité d’un rapprochement entre celle-ci et le Hamas. Je dirai que le Hamas pourrait s’accommoder des gens de l’Autorité palestinienne si ceux-ci font acte d’allégeance. Des gestes en direction de l’allégeance se sont faits ces derniers jours, de la part de dirigeants du Fatah, principal composante de l’Autorité palestinienne. Le Hamas soutient la démarche de Mahmoud Abbas parti aux Nations Unies obtenir la position d’Etat associé. Les dirigeants du Hamas ont même dit être prêts à accepter, transitoirement, les « frontières de 1967 ». Exactement les frontières dont veut Mahmoud Abbas, et exactement les « frontières » évoquées plusieurs fois par Obama.
Obama a des réserves sur la démarche de Mahmoud Abbas aux Nations Unies : c’est simplement parce qu’il voudrait être celui qui apporte la paix au Proche-Orient, celui qui fait plier Israël, celui qui fait naître un Etat palestinien dans le cadre d’un nouveau califat.
Ce nouveau califat ne prévoirait pas de place pour Israël ?
Les dirigeants israéliens le savent, tout particulièrement les dirigeants de l’aile droite du Likoud. J’y reviendrai.
Obama le sait. Mais il fera comme s’il ne savait pas. Les électeurs juifs américains votent pour lui.
Les dirigeants européens le savent. Ils feront eux aussi comme s’ils ne savaient pas. Pour eux, l’électorat juif est quantité négligeable, même s’ils ne veulent pas adopter ouvertement un attitude salissante. L’électorat musulman, lui, est une force qui monte.
Et puis, croyez-vous que le Qatar se contente de tirer les ficelles au Proche-Orient ?
Vous me pensez pessimiste ? Il y a des gens qui me pensaient pessimiste au début de 2009, quand Obama est arrivé au pouvoir.
Tout ou presque s’est passé au Proche-Orient depuis 2009 comme l’administration Obama l’a souhaité, jusqu’à présent, et mes descriptions du début de 2009 se sont avérées pertinentes.
Seul Binyamin Netanyahu est parvenu à déjouer les projets d’Obama : jusqu’à présent.
Et à présent, je suis inquiet.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info

Netanyahou : la raison du Cessez-Le-Feu

Le Premier ministre israélien Binyamin Netayahou a accepté un cessez-le-feu mettant un terme à l’opération israélienne de huit jours à Gaza, mercredi 21 novembre, à la suite de la promesse personnelle du Président Barack Obama qu’il commence à déployer des troupes américaines dans le Sinaï égyptien, dès cette semaine, révèle Debkafile.

La conversation, qui a, finalement, fait pencher la balance dans le sens du cessez-le-feu, s’est déroulée sur une ligne sécurisée, mercredi dirigeants américain et israélien s’expliquaient.

La promesse d’Obama répondait à l’exigence la plus pressante d’Israël, pour tout forum de discussion concernant Gaza.

Le principal but de l’opération « Colonne de Nuée » consistait à provoquer un arrêt total du flux d’armes et de missiles iraniens vers la Bande de Gaza.

Ils sont transférés depuis le Soudan et la Libye, à travers le Sud jusqu’à sans succès de persuader Israël d’accepter la garantie personnelle du Président égyptien Mohamed Morsi qu’il commencerait à lancer des opérations efficaces contre les trafiquants avant la fin de ce mois.

Le trio menant la campagne de Gaza, étrangères Avigdor Lieberman, voulaient vraiment prendre Morsi au mot, sinon que les chefs de la sécurité et des renseignements israéliens leur assuraient que l’Egypte n’était pas prête d’obtenir les capacités de sécurisation et de renseignement nécessaires à mener de telles opérations.

Lorsque la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton est arrivée de Bangkok à Jérusalem, mardi, elle a, à nouveau, essayé de rassurer Netanyahou sur le fait que le Président Obama avait décidé d’accélérer la construction de barrières de sécurité dotées de systèmes électroniques américains très élaborés, tout le long du Canal de Suez et du Nord du Sinaï.

Ils couvriraient également la route Philadelphie, par laquelle les armes sont introduites dans la Bande de Gaza.

Il faudrait déployer des unités de la sécurité militaire et civile américaines dans le Sinaï égyptien pour contrôler la barrière et la rendre sufisamment opérationnelle en tant que contre-mesure active permettant de faire obstruction aux fournitures d’armes iraniennes.

Le Premier ministre a déclaré qu’il accueillait positivement la proposition du Président d’accélérer le projet de clôture électronique, mais que cela prendrait des mois, avant qu’on obtienne une autorisation égyptienne.

Pendant ce délai, les Palestiniens aurait largement le temps de reconstituer leurs stocks d’armes, affectés, à la suite de la campagne israélienne contre Gaza.

Il était, par conséquent, trop tôt pour arrêter cette campagne à ce point ou suspendre une opération terrestre.

Clinton s’est montrée sensible à cet argument.

Peu après, le Président Obama était au téléphone avec Netanyahou, lui donnant l’assurance que des troupes américaines seraient sur place dans le Sinaï, dès la semaine à venir, après l’obtention du consentement du Président Morsi, de façon à ce qu’ils puissent entrer immédiatement en action contre les réseaux clandestins iraniens.

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Netanyahou a répondu en acceptant qu’un cessez-le-feu soit annoncé au Caire, cette nuit-là, par Clinton et le ministre égyptien des affaires étrangères, et qu’il suspendait la mise en mouvement des milliers de réservistes qui attendaient sur la frontière de Gaza.

Les sources militaires de Debkafile révèlent que les premiers avions de transport de troupes convoyant des forces spéciales américaines doivent atterrir sur la base aérienne militaire de Sharm el Sheikh, dans le sud du Sinaï dans les prochaines 48h (soit dimanche soir) et qu’elles entreront en action sans délai contre les trafiquants d’armes.

Cette évolution est significative sur le plan stratégique, pour trois raisons :

1. Une fois que les cargaisons d’armes et de missiles quittent les ports iraniens et les baazars et dépôts d’armes libyens, Téhéran n’a pas de contrôle direct sur leurs voies de transit, de port en port, à travers l’Egypte, jusqu’à ce qu’elles atteignent le Sinaï et leur destination à Gaza.

De la même façon, une opération des forces spéciales américaines contre le segment de route clandestin du Sinaï profitant à l’Iran compterait comme la première frappe américaine ouverte contre les intérêts militaires iraniens.

Netanyahou, Barak et Lieberman sont impressionnés par le changement que l’Administration Obama a entrepris depuis la réélection du Président.

Jusque-là, il refusait d’entendre parler d’aucune action militaire contre l’Iran et insistait sur le fait qu’on ne pouvait faire face à Téhéran que par le biais de l’arène diplomatique.

2. Le Président Morsi, en ouvrant la porte du Sinaï à un déploiement de troupes américaines se consacrant à la défense d’Israël, reconnaît que les forces américaines assurent aussi la sécurité d’Israël contre l’éventualité que le Caire cherche à révoquer ou refuse d’honorer le traité de paix que l’Egypte a signé avec Israël en 1979.

3. Face à cet accord américano-israélo-égyptien, le Hamas ne peut pas continuer, de façon crédible, à proclamer avoir « gagné » sa dernière passe d’armes contre Israël, ni qu’il a obtenu des garanties contraignant Israël à mettre un terme au blocusde Gaza.

Effectivement, les dirigeants du Hamas à Gaza seront forcés d’observer comment des troupes américaines présentes dans le Sinaï, juste de l’autre côté de leur frontière, brisent les réseaux de contrebande, qui alimentent leurs arsenaux et très probablement, qu’elles mettent la main sur les stocks de réserve qu’ils conservent sous bonne garde des trafiquants dans le Nord du Sinaï, hors de portée de l’armée israélienne.

Cela signifie que le blocus de Gaza a été renforcé et que la zone de combat s’est déplacée de Gaza vers la Péninsule du Sinaï.

Adaptation : Marc Brzustowski/Israel Israel Magazine.co.il

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Reportage Exclusif de DEBKAfile 23 Novembre 2012

Les enfants de guerre de 6 ans chez les Arabes

Le Dailymail anglais choqué par les « enfants de guerre », ces palestiniens de 6 ans armés
23 novembre 2012 | Classé dans: Terrorisme | Posté par: Jean-Patrick Grumberg

Dans un article paru aujourd’hui, le quotidien anglais Dailymail (2 millions d’exemplaires chaque jour) titre :

« Children of war: How boys ‘as young as six’ brandished guns in ceasefire celebrations »

« Enfants de guerre: comment des garçons de 6 ans brandissent des armes lors de la célébration du cessez-le-feu »

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« Des images choquantes émergent d’enfants dans les rues de Gaza et de la West Bank », titre le journal qui publie ces photos.

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« les garçons, certains pas plus vieux que 6 ans, brandissant des armes automatiques, et des AK47 »

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« A Hebron, un enfant soutient le Hamas en levant une mitrailleuse »

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Ci dessus, le fils d’un terroriste des brigades al-Qassam, aux funérailles d’un « combattant », dans le village de Mugharka.

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Un enfant tient un lance roquettes des brigades al-Qassam lors d’un enterrement

Je suppose que les enfants de guerre ne sont pas un sujet qui intéresse les défenseurs de droit de l’homme, puisqu’au média français n’en parle. Surtout depuis que le terrorisme est devenu un comportement acceptable, à condition qu’il soit dirigé contre les israéliens.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

ARTE nid de collabos !!!

Arte et ses minables accommodements

G.W. GOLDNADEL
Avocat et essayiste.
Président de Avocats sans frontières.

C’est seulement sous le prisme de l’idéologie gauchiste en majesté que l’on peut comprendre comment une partie de la population peut préférer un groupe islamiste, homophobe, fascisant, terroriste, sexiste, antisémite, révisionniste, clairement en position d’agresseur, à un pays démocratique mais qui a le malheur d’incarner un Etat-nation occidental et d’avoir recours à des soldats casqués.
C’est ainsi que la chaîne franco-allemande Arte a présenté lundi le chef militaire du Hamas, Jabaari, éliminé par Israël, comme un « résistant », lui qui se proposait d’éliminer tous les « rats » ennemis jusqu’au dernier et à qui on attribue cette formule savoureuse : « J’ai goûté à la chair des juifs, et je l’ai trouvé bonne. »
Si l’on veut se donner une chance de décrypter ici le terme de « résistant », on doit comprendre que, pour les enfants dociles des enfants indociles mais un peu bas du front qui ont crié « CRS SS », le militaire occidental demeure dans leur inconscient collectif, l’héritier en extrême droite ligne du Waffen-SS.
C’est la cruelle ironie dont l’Etat juif fait les frais depuis plusieurs décennies. Voilà pourquoi la chaîne la plus obsédée par la Shoah est sans doute l’une des plus prévenue contre l’Etat juif. J’ai écrit quelque part que ceux qui adorent le juif en pyjama rayé, l’abhorrent en uniforme kaki.
Voilà également pourquoi les écervelés, ou plutôt les décérébrés d’Anonymous ont décidé — sans rien savoir du conflit — de prendre cybernétiquement fait et cause en faveur de ceux qui apprécient la chair des juifs.
Sur le fond de ce nouvel épisode opposant Israël à la radicalité palestinienne en action, on constatera, une fois de plus, la spécificité française. Alors que l’Amérique d’Obama, le Canada, l’Australie, l’Union européenne (Allemagne, Pologne et Grande-Bretagne en tête) n’ont pas hésité à incriminer l’agression islamiste, le président de la République, lui, a cru devoir indiquer qu’il n’était pas urgent d’accuser.
Je gage que lorsque les agences de presse internationales — largement représentées à Gaza pour des raisons de sécurité par des militants au service du Hamas — pourront montrer des boucliers humains sacrifiés au moloch de la guerre médiatique (ce qui n’est pas étonnant lorsque l’on place des batteries lance-roquettes à 94 mètres d’une maternelle) ou des femmes en fichu prenant les cieux à témoin de l’injustice qui leur est faite tout en proposant leurs fils comme nouveaux martyrs, alors il deviendra urgent de condamner. Mais qui ? Israël, bien sûr !
De même, alors que l’ensemble des chancelleries des pays démocratiques reconnaissaient le droit à l’agressé de se défendre en employant les moyens adéquats, Laurent Fabius faisait entendre une musique légèrement discordante en reconnaissant ce droit tout en ajoutant « que la violence ne réglerait rien ». Manifestement, M. Fabius n’applique pas ce noble principe lorsqu’il s’agit d’armer l’opposition syrienne ou d’envisager une reconquête du Mali. Je croyais notre ministre sorti de l’ENA, j’ignorais qu’il avait fait ses classes au collège de La Flèche.
Comment faire comprendre à ce gouvernement et plus largement, à la société française, que le combat contre l’islamisme radical et haineux ne saurait s’accommoder d’accommodements ? Que ce qui est survenu il y a quelques semaines à Toulouse, à Sarcelles, aurait — peut-être — été évité si la classe intellectuelle et politique n’avait pas jeté un voile pudique sur l’antijudaïsme pathologique qui sévit dans de larges pans de la société arabo-musulmane depuis des années. Que cette haine ne s’arrêtera désormais pas plus aux frontières de la France que le nuage de Tchernobyl, si cette pollution de l’âme et des esprits n’est pas clairement identifiée…

G.-W. Goldnadel, le 21 novembre 2012

La presse arabe et Pilier de défense

Lorsque nous publions des informations, elle peuvent être sujet à caution car nous revendiquons notre attachement à Israël.

Aujourd’hui, c’est la Presse arabe qui donne le ton, d’après elle, l’armée israélienne est plus clémente qu’Assad.

Les analystes arabes estiment que l’Iran et l’Autorité palestinienne sont les grands perdants de l’opération Pilier de défense.

En marge des titres sur la  »victoire de la résistance » à Gaza, l’ancien ministre jordanien Saleh al-Kalab écrit notamment dans le très distribué journal Asharq al-Awsat qu’Israël  »a gagné de cette guerre, notamment alors que les Palestiniens ont l’intention de saisir l’Onu.

Maintenant, l’Europe et les Etats-Unis sont plus convaincus que les roquettes tirées par le Hamas sur les villes et villages israéliens attestent que la création d’un Etat palestinien en Cisjordanie ou à Gaza, ou dans les deux ensemble, ressemblera à la pose d’une bombe à retardement pouvant exploser à tout moment ».

La chaîne saoudienne Al-Arabiya a quant à elle souligné que Tsahal était plus clémente que l’armée d’Assad.

 »Tsahal est plus clémente par rapport à ses ennemis palestiniens que l’armée d’Assad affublée du titre de  »protecteur de la patrie » par rapport à ses civils et rebelles ».

La chaîne fournit même des chiffres :  »En 8 jours, Israël a réalisé plus de 1500 raids aériens, dans lesquels il a tué 160 Palestiniens. Durant le même laps de temps, le régime syrien a tué 817 Syriens ». Source GUYSEN.

La France quand à elle se démarque de cette analyse, dès le début de cette crise, elle a renvoyé dos à dos l’agresseur terroriste et l’agressé démocrate et allié.

Que la France ait une politique équilibrée paraît logique, mais qu’elle prenne parti contre un Etat membre de l’ONU, en faveur d’un ramassis de barbares qui en contradiction avec la Convention de Genève, s’abrite derrière la population civile qu’elle prend en ôtage comme bouclier humain dépasse l’entendement.

Que ce soit un gouvernement socialiste qui se démarque ainsi de la communauté internationale qui reconnaît que le Hamas est un mouvement terroriste, et refuse tout dialogue avec lui, inverse les valeurs d’humanisme dont les socialistes se réclament, JAURÈS doit se retourner dans sa tombe.

Quand à ZOLA, il écrirait un nouveau j’accuse, non pas pour défendre le Capitaine DREYFUS, mais aujourd’hui l’Etat d’Israël que la France a décidé d’éradiquer, tout en prétendant qu’elle défendra son intégrité.

Pendant 19 siècles nous avons été les Juifs des autres, tour à tour accueillis, tour à tour persécutés, les cycles de 60 ans entre chaque déménagement ont été la règle, aujourd’hui nous avons un Etat fort qui est le seul qui nous défendra toujours.

Tous nos gouvernants qu’ils soient de gauche ou de droite se sont employés à garantir notre sécurité, de toutes les guerres que nous avons connues, la plupart ont été menées sous des gouvenements de gauche, nous reprocher aujourd’hui d’avoir un gouvernement de droite guerrier est une malhonnêteté intellectuelle sortie tout droit du dogmatisme socialiste.

A Toulouse, le 1er novembre tout a été résumé en deux phrases: Benyamin NETANYAHOU s’adressant à la communauté Juive de France, lors de la commémoration de l’attentat ignoble d’Or Thorah, lui avait dit que l’Etat d’Israël était là pour les défendre, François HOLLANDE avait rétorqué que c’était le rôle de la France.

En sous entendu il fallait comprendre pour le premier, venez vous installer en Israël vous n’y serez jamais persécutés, alors que le second sachant ce que la perte des Juifs représenterait pour la France lui répondit que c’était à la France de garantir la sécurité des Juif Français.

François HOLLANDE avait raison dans l’absolu, mais l’histoire lui donnait tort, et les évênements récents également.

Empêtré dans sa politique pro-arabe, la France ne peut tenir une politique étangère digne de ce nom. Elle vient encore de se fourvoyer, hier soir Laurent FABIUS multipliait les déclarations:

18 h 47 Laurent FABIUS est favorable à la demande « Palestinienne à l’ONU.

20 h 52 la France pourrait soutenir « la Palestine » à l’ONU.

Hier premier jour du cesser le feu, Les Olim de France (immigrants en provenance de France) étaient conviés à faire la fête prévue de longue date pour marquer le 11ème anniversaire du petit hébdo, et le 90.000 ème Olé de France, accueillis par Daniel HAIK rédacteur en Chef d’Hamodia qui a précisé que ce qui qualifiait notre peuple c’était que sitôt les moments difficiles passés, la fête était de la partie.

Ayoub KARA, un héros qui a mené la lutte contre Ariel SHARON, lors de la destruction du GOUSH KATIF, est un Druze, et c’est le plus grand sioniste de la Knesset, il est plus fidèle à la terre d’Israël que la plupart des Députés juifs, il m’a confié à l’occasion de cette fête lors d’un entretien, que les occidentaux veulent se méler de la politique Moyen-Orientale sans rien connaître des arabes.

Que sans les Occidentaux qui ont partitionné le pays, puis qui veulent le repartitionner à nouveau, le conflit israélo-arabe n’existerait plus depuis longtemps.

J’écrivais hier un article qui disait exactement la même chose Gaza cesser le feu ou chiffon de papier?

Eli d’Ashdod

Gaza cesser le feu ou chiffon de papier?

Le cesser le feu est donc effectif, signé pour 21 heures, des conditions hors norme ont été accordées au Hamas qui pourra tirer pendant une heure de plus!!!

Il ne s’en est pas gêné, nous pourrions même dire qu’il s’est défoulé jugez-en: 13 roquettes tirées sur le villes du Sud jusqu’à 22 h 55, les alertes ont retenties jusqu’à 23 h 08 à Shaar Haneguev.

Les réservistes rentrent frustrés à la maison après 8 jours de longue attente.

Le front arrière gronde, les Maires se sont déjà fait entendre, quand aux administrés, ils ont manifestés spontanément contre cet oukase des Occidentaux que nous comparons au Munich de 1933, avec une mention particulière envers la France qui nous a délégué son Daladier version 2012, tout infatué.

j’avais déjà écrit que cette affaire n’était qu’un leurre afin de permettre aux donneurs d’ordres iranien de gagner du temps comme ils savent si bien le faire depuis 10 ans afin de finaliser leur bombe atomique, voir Les Elucubrations de Laurent FABIUS.

Une fois de plus, les Occidentaux totalement muets pendant les 12 dernières années pendant lesquelles Sdérot était bombardée quotidiennement, ne se manifestent que lorsque les suppôts de Satan sont sur le point de perdre, nous les entendons pérorer haut et fort que la réaction ne devait pas être disproportionnée.

Otez moi d’un doute, les Britanniques bombardés à outrance par les V2 n’ont ils pas réglé la question à Dresde 130.000 morts? Le régime iranien et ses séides Hamas et Hezbollah imitent en tout point les nazis, que voulez-vous ils sont nazislamistes!!!

Les Américains lassés de la résistance nippone n’ont-ils pas bombardé Hiroshima et Nagasaki 160.000 morts.

Les Jordaniens 20.000 morts avec Septembre noir pour éviter une guerre civile avec renversement de régime.

Les Occidentaux n’ont jamais raté une occasion de nous empêcher de finir une guerre, intervenant inopportunément. Alors qu’ils ont guerroyés pendant des siècles, ils devraient savoir qu’une bonne paix durable ne peut-être établie que lorsque la guerre est finie.

Une guerre est finie lorsqu’il y a un vainqueur et un vaincu, et que le vaincu rend les armes et se met à la merci du vainqueur qui fixe ses conditions.

Le vaincu prend alors la mesure de son erreur causé par sa haine irrédentiste de l’adversaire, et envisage au lieu de s’armer, de construire pour le bonheur de sa population assurée de la paix, elle s’instruit au lieu de s’abêtir.

Les Occidentaux nous ayant empêché de gagner la guerre n’ont aucun droit à la parole pour nous imposer de faire la paix.

Lorsque les Arabes auront considéré qu’ils ont perdu dans leur désir de nous jeter à la mer pour nous éradiquer, qu’ils nous reconnaîtront pour un pays juif et démocratique, une paix réelle pourra intervenir.

Je suppose que nos dirigeants ont pris toute la mesure de cette décision, qui n’est que momentanée, nous devons nous préoccuper de notre bien le plus cher qui ne peut être différé, nous avons ce dimanche les Primaires du Likoud, et le 25 janvier l’Election à la Knesset.

Nous serons alors en mesure d’aller couper la tête de l’hydre en espérant qu’il ne sera pas trop tard.

Je vous souhaite à tous un Shabbat Chalom.

Eli d’Ashdod

L’occident se soumet au Hamas et à l’islam radical par Guy Millière

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La façon dont les grands médias européens rendent compte de la réaction d’Israël à l’agression lancée par le Hamas n’est pas surprenante.

Elle est imprégnée du relativisme moral qui imprègne l’atmosphère : l’agresseur et l’agressé sont placés sur un plan d’équivalence.

“La dimension terroriste et génocidaire du Hamas se trouve totalement laissée de côté.”

Le fait qu’il y ait, d’un côté, un pays démocratique qui entend vivre en paix et de l’autre une entité totalitaire imprégnée de haine destructrice, d’antisémitisme et de volonté de tuer n’importe pas une seule seconde.

C’est à peine s’il est dit qu’Israël n’a fait que riposter à des tirs de roquettes et de missiles incessants depuis trois ans et qui se sont accélérés au cours des jours qui ont suivi la réélection de Barack Obama.

L’attitude des dirigeants politiques européens n’a pas été surprenante, elle non plus.

Après avoir approuvé la volonté israélienne de se défendre face au Hamas, ils ont mis en garde Israël, chacun à leur manière, contre le risque d’une riposte « disproportionnée », puis ils se sont agités pour trouver une possibilité de trêve et de retour aux négociations.

Comme ils se refusent à dialoguer directement avec le Hamas, ils sont passés par l’intermédiaire de Mahmoud Abbas, qui n’a aucune prise sur la situation, et du gouvernement égyptien.

Nul ne peut douter que derrière les apparences, des pressions ont été exercées sur le gouvernement israélien.

Les signes d’amitié de dirigeants européens envers Israël sont, en général, aussi sincères que les baisers de la mort donnés par des dirigeants mafieux à ceux qu’ils veulent assassiner ou faire assassiner.

L’attitude de l’administration Obama a été, tout bien pesé, du même ordre que celle des dirigeants européens, et si elle a pu sembler un peu plus chaleureuse que celle des dirigeants européens, c’est que le peuple américain reste plus favorable à Israël que les peuples européens.

Obama ne pouvait faire autrement que soutenir Israël: imaginez, un Président des Etats Unis soutenant le Hamas !

Obama, à la différence des dirigeants européens, n’a pas parlé de risque de riposte « disproportionnée », mais c’est tout comme : il a déclaré qu’une action militaire au sol serait sans doute malencontreuse et malvenue.

Il n’a, comme les dirigeants européens, pas entamé de dialogue direct avec le Hamas, mais il est passé par les mêmes intermédiaires qu’eux.

Avec une différence : il a derrière lui ce qui reste du poids des Etats-Unis. Et nul ne peut douter qu’il a lui-même exercé des pressions sur le gouvernement israélien.

Avec une différence là encore : les Etats-Unis étaient jusqu’à une période récente le principal allié d’Israël, et ces pressions sont dès lors de l’ordre d’un lâchage.

L’armée israélienne peut avoir besoin de pièces de rechange pour le matériel militaire d’origine américaine dont elle dispose, et il suffit que ces pièces de rechange ne soient pas fournies, ou pas fournies à temps, pour que les conséquences soient préoccupantes.

Avec Barack Obama, les Etats-Unis rejoignent le relativisme moral à l’européenne, les Etats-Unis, comme les Européens, ne font plus vraiment la différence entre Israël et ses ennemis, tout comme ils ne font plus vraiment la différence entre démocratie et totalitarisme.

Hillary Clinton vient d’être dépêchée par Barack Obama au Proche-Orient, sans aucun doute pour accentuer les pressions américaines et pour obtenir une « trêve ».

Cela doit être dit : une « trêve » dans la situation présente serait un moment de répit très provisoire pour Israël.

Le Hamas considérerait qu’il a obtenu une victoire, car il aura montré avoir disposé de capacités de tirer en direction de Tel Aviv et de Jérusalem.

Il aura montré aussi qu’il est devenu un interlocuteur avec lequel on parle, même indirectement.

Il gardera le pouvoir sur Gaza, malgré les destructions.

Il pourra se réapprovisionner en armes dès lors que la frontière avec l’Egypte restera sous contrôle égyptien, donc sous le contrôle des Frères musulmans dont le Hamas est la branche « palestinienne ».

Il pourra se préparer pour la prochaine guerre.

Il aura affirmé son ascendant sur le « mouvement palestinien », et d’ailleurs, très significativement, des dirigeants du Fatah, principale composante de l’Autorité palestinienne n’ont pas manqué d’affirmer leur soutien aux actions du Hamas ces derniers jours.

La seule issue favorable pour Israël serait celle venant après une défaite sans appel du Hamas, ce qui impliquerait bien davantage de destructions à Gaza.

Elle serait aussi celle impliquant une reprise de contrôle par Israël de la frontière entre Gaza et l’Egypte.

Une prise de contrôle de Gaza par Israël serait une entreprise complexe et coûteuse financièrement et en vies de soldats israéliens.

L’idée, évoquée ici ou là, d’une prise de contrôle de Gaza par Israël aux fins de remettre le pouvoir à Gaza à Mahmoud Abbas me semble absolument absurde : Mahmoud Abbas est aussi crapuleux et sanguinaire que les dirigeants du Hamas, et il a infiniment moins de crédibilité qu’eux aux yeux de la population arabe.

Je crains qu’Israël soit acculé à une issue défavorable. Israël est présentement entouré d’ennemis.

Les deux seuls pays ayant des frontières avec Israël n’ayant pas été pris en main par l’islam radical sont la Syrie ou le combat se mène entre islamistes chiites et islamistes sunnites, et la Jordanie, où les Frères musulmans sont aux portes des palais gouvernementaux.

La façon dont les grands médias européens rend compte de la situation n’est pas surprenante, non. Elle n’en est pas moins absolument indigne.

Quand on place l’agresseur et l’agressé sur un plan d’équivalence, on collabore avec la main de l’agresseur contre l’agressé.

Et en l’occurrence, les grands médias européens collaborent. Ils sont complices des tirs contre Israël, des assassinats d’Israéliens et des destructions en Israël, tout comme ils sont complices de la mort de ceux que le Hamas utilise comme boucliers humains.

Quand on ne rappelle pas que le Hamas est une organisation terroriste, génocidaire, totalitaire imprégnée de haine, d’antisémitisme et de volonté de tuer, on ment sur ce qu’est le Hamas et on contribue à lui donner une légitimité qu’il ne mérite en rien.

On aveugle les populations sur le danger incarné par le Hamas, et on ne permet pas de comprendre la nécessité d’en finir avec celui-ci.

La façon dont les dirigeants européens parlent de riposte « disproportionnée », font pression pour une « trêve », parlent de « négociations » fait d’eux aussi des complices du Hamas, du terrorisme, des intentions génocidaires contre Israël, du totalitarisme et de l’antisémitisme qui règnent à Gaza, de la volonté de tuer qu’on injecte dans la tête des Arabes de Gaza et dans celle des Arabes de Judée-Samarie.

La façon dont l’administration Obama et Obama lui-même se comportent constitue un reniement de toutes les valeurs éthiques qui ont été au cœur des valeurs américaines est une trahison de ce qui a pu souder l’alliance entre les Etats-Unis et Israël.

Le fait que les deux interlocuteurs primordiaux de l’administration Obama et d’Obama lui-même aient été, en cette période, Mohamed Morsi et Recep Tayyip Erdogan, deux islamistes aussi haineux que le Hamas, est significatif.

C’est, ces derniers jours, tout le monde occidental qui a volé au secours du Hamas et qui est venu agir pour préserver les positions de celui-ci et de ses alliés.

C’est, ces derniers jours, tout le monde occidental qui s’est soumis au Hamas et à ses alliés.

Préserver les positions du Hamas et de ses alliés, et ainsi se soumettre, c’est se placer au service d’un projet de destruction d’Israël et d’extermination du peuple israélien.

C’est se mettre au service, bien au delà du Hamas, de l’islam radical qui est en train de broyer le monde musulman et qui contamine peu à peu le reste du monde.

“Je l’ai déjà écrit, Israël est seul. Mais Israël ne tombera pas. Israël est bien plus fort et bien plus déterminé que ses ennemis ne l’imaginent.”

L’Europe, elle, est déjà tombée, et les artisans de sa déchéance sont aux postes de commande, entraînant les populations vers un suicide collectif qui vient peu à peu.

Les Etats-Unis sont-ils tombés ? Ils sont, en tout cas, entre de très mauvaises mains et, dès lors, en une très fangeuse posture.

Hitler, Staline, Mao, Ben Laden, si l’enfer existe, ont toutes les raisons de se réjouir. Leurs disciples au présent, chez les Frères musulmans et à al Qaida, au Hamas ou au Hezbollah, dans l’Autorité Palestinienne ou en Iran, ailleurs encore, ont toutes les raisons de se réjouir aussi.

Les femmes et les hommes qui savent encore la différence entre le bien et le mal se battent en Israël ou se battent au côté d’Israël, car ils savent où se situe le bien, et où se situe le mal.

© Guy Millière pour www.Dreuz.info

Colonne de nuée Bilan de huit jours d’opérations

Le porte-parole de Tsahal a fait un premier bilan de l’opération « Pilier de défense ».

-1.500 sites terroristes ont été ciblés.

-19 chefs terroristes éliminés.

-980 rampes de tirs de roquettes détruites.

-30 centres de commandement de premier ordre.

-140 tunnels de contrebande d’armes.

-66 tunnels utilisés pour des activités terroristes.

-42 salles d’opération et bases du Hamas.

-26 sites utilisés pour la fabrication et le stockage d’armes.

-Des dizaines de rampes et de sites de lancement de roquette à longue portée.

Parmi les leaders terroristes éliminés se trouvaient :
Ahmed Jabari, chef de la branche militaire du Hamas
Habes Masmah, parmi les dirigeants de la police du Hamas
Ahmed Abu Jalal, chef de la branche militaire du Hamas dans le centre de la bande de Gaza
Khaled Shaer, un des commandants des forces anti-tanks du Hamas
Osama Abdul-Jawad, un leader des cartels d’armement du Hamas dans le sud de Gaza
Ramez Harb, un leader du Jihad islamique, membre de la brigade de la ville de Gaza.

Il convient de rendre un hommage à Tsahal et à toutes les forces impliquées dans cette intervention, ce bilan montre que l’entité terroriste a été durement touchée.

Les cocoricos auquels nous ont habitués les arabes ne nous ont pas surpris.

Tout au long de cette opération, les barbares se sont sentis soutenus par les dirigeants occidentaux qui en bons dhimmis se sont pliés.

Les médias ont été un peu moins partisans cette fois-ci grâce aux publications exhaustives des vidéos de toutes les interventions tweetées systématiquement par IDF nous avons enfin compris que la guerre pouvait être gagnée par la ‘hasbarah.

En conséquence, l’opinion publique internationale excédée par les actions des islamistes dans leurs pays d’accueil nous soutient d’une manière plus importante qu’auparavant, d’énormes manifestations se sont déroulées ou sont prévues ici ou là  7000 manifestants à Paris pour soutenir Israël.

Ce bilan est extrêmement positif même si les Israéliens regrettent l’arrêt prématuré de l’intervention qui n’aurait pu être totalement efficace qu’après extirpation de toutes ces tumeurs cancéreuses, les cellules non traitées ayant tendance à récidiver. Lire:Egalement: L’occident se soumet au Hamas et à l’islam radical par Guy Millière

7000 manifestants à Paris pour soutenir Israël

Manifestation unitaire pour soutenir Israël

Téléchargeables ci-dessous, les fichiers PDF des albums de nos deux photographes, Erez Lichtfeld et Alain Azria.

Les communiqués se suivent et se ressemblent. Presse écrite, télévision, radios, les medias sont unitaires : Aborder l’information quand elle concerne Israël permet l’oubli de toute déontologie journalistique.

En quelques jours 817 tirs palestiniens sur le sud d’Israel, les écoles fermées, les commerces abandonnés, la retenue d’Israël est totale. Le silence des médias de même.

Des armes artisanales une simple pluie de pétards vous dis-je !

Pour voir les vidéos Cliquez ici

Eli D’Ashdod