Alain Legaret In : Commentaire d’un article de Figaro.fr

Alain Legaret
Alain Legaret

1) Expliques-moi pourquoi tu considères que c’est Israël qui a pris la terre aux Palestiniens, alors que c’est la Jordanie qui occupe 80% de la Palestine ?
 
2) Expliques-moi pourquoi tu considères logique que la Palestine soit aux Palestiniens, alors qu’il ne t’est jamais venu à l’esprit que la Judée puisse être aux Juifs ?
 
3) Expliques-moi pourquoi, tandis qu’un Arabe peut se promener tranquillement à Tel-Aviv et à Haïfa alors qu’un Juif qui s’égare à Ramallah ou à Shehem (Naplouse) fait l’objet d’un lynchage, c’est Israël que tu accuses d’apartheid ?

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4) Expliques-moi pourquoi tu trouves normal qu’il y ait des Arabes vivant en Israël mais qu’il t’est impensable qu’un seul Juif puisse vivre dans un état palestinien ?
 
5) Expliques-moi pourquoi c’est seulement après qu’Israël ait pris Gaza à l’Egypte et la Judée-Samarie à la Jordanie, que tu as commencé à les appeler « les territoires palestiniens » ?
 
6) Expliques-moi pourquoi les Palestiniens n’ont jamais cherché à créer un état dans ces fameux territoires tout le temps qu’ils étaient sous domination arabe ?
 
7) Expliques-moi enfin pourquoi tu dédaignes de répondre à ces questions de peur de comprendre que ton soutien indéfectible à la cause palestinienne contre Israël n’est rien d’autre que l’expression humaniste de ton antisémitisme déguisé?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour https://eli-d-ashdod.com/

Réussir son entreprise en Israël

מדינת ישראל

המשרדלקליטת העלייה

מרכז עסקי לעולים ולתושבים חוזרים

 

LE TRAIT D’UNION DES FRANCOPHONES

En partenariat avec

  Le Ministère de l’Intégration, TUT Communication et ISRADROIT

 

Vous invitent à un COLLOQUE D’INFORMATION GRATUIT :

REUSSIR SON ENTREPRISE EN ISRAEL

 

Le MARDI 10 DECEMBRE 2013 à 18H00

MATNASS SAFRA – 4, RUE AV –YOUD BET A ASHDOD

 

17h30: Accueil et inscription des participants

            Collation – café et boissons

 

18h: Discours d’ouverture – Madame Larissa Kanonov Directrice du département   développement  commercial – Ministère de l’intégration –  Région sud et Jérusalem.

 

18h15: « REUSSIR SON ENTREPRISE EN ISRAEL ».

           Présentation du Projet MAALOT par Mme Yael Maroni,

Conseillère Marketing &  Communication,  Représentante exécutive  de la société   « Tut Communication « .

ü    Conseil en entreprise – marketing, finances, fiscalité.

ü    Préparation de plans d’entreprise et recrutement de fonds.

ü    Séminaires commerciaux professionnels.

 

18h45: « FINANCES et FISCALITE EN ISRAEL ».

            Présentation par M. Patrick Cohen  Conseiller Financier, représentant     

            de la société « Tut Communication ».

              

19h15: « LES ASPECTS JURIDIQUES DE LA CREATION D’ENTREPRISE EN ISRAEL

             ET LES ACTES JURIDIQUES COURANTS QUI EN DECOULENT ».

             Présentation d’ISRADROIT par Sandrine Dray, Avocat et Notaire en Israël

 

20h00: Fin du colloque (Questions – réponses)

 

              Vous souhaitez vous mettre à votre compte, créer une société en Israël,

Vous avez déjà passez le pas mais vous avez besoin de conseils, d’informations…

 

Ce colloque vous est dédié.

 

Avec le concours de nos intervenants, vous trouverez les bonnes réponses !

 

PLACES LIMITEES !!!

Réservation & Inscription Obligatoire auprès de Pnina: 054-4867023 ou Gérard: 050-5430678

71ème anniversaire de la déportation des Juifs de Tunisie

EMOTION A YAD VACHEM!!!

 

LE TRAIT D’UNION DES FRANCOPHONES et YAD VACHEM

Vous invitent

leLundi 9 décembre 2013

a participer au

71éme Anniversaire de la

 Déportation des juifs de Tunisie

et des événements du 9 décembre 1942

Départ d’Ashdod à 07h00 de Safra – city à 7h15 devant les toboggans

Au programme:

7h00-9h00:       Visite guidee du musee Yad Vachem

10h30-11h:      Accueil – Pause café      

11h00 -12h30: Ouverture du Colloque en présence de personnalités

                                Mme DORIT NOVAK- directrice de Yad Vachem

                              Mr Avi Rosenthal – Directeur des organisations des rescapes de

                                 la shoah en Israel

                Pr. Mr Efraim Hazan- Président de l’association El Griba

                              Pr. Mr André Attal – Chercheur de l’histoire des juifs de Tunisie

                         Madame Nadine Chili : Conférence concernant les reflets des

                              Evénements du 9 décembre 1942 sur la famille juive en Tunisie

                          Fermeture du colloque: Musique réalisée par YOUVAL TAIEB

12h30-13h30:      Cerémonie commémorative et recueillement  au OHEL YIZKOR

13h30- 14h00:     Visite du passage YAD LAYELED

14h30-16h30:      Pause Déjeuner libre au KANION MALHA

* 71 ans plus tard notre devoir de mémoire n’en est que plus urgent et nécessaire pour notre génération à venir et pour empêcher que la haine continue de régner autour de nous.

Ainsi, je tiens par la présente à remercier Mr Sydney Arous pour son implication et l’aide qu’il nous a apporte pour l’organisation de cette journée enrichissante !!! 

Nous souhaitons vous voir présents et nombreux à cet hommage qui sera rendu à nos frères et connaitre ainsi l’histoire des juifs de Tunisie ! Nous les oublions pas!

 

P.A.F 25  shekels par personne

 

Les places seront attribuées dans le bus par ordre d’inscription

          Inscriptions : Gérard 050-5430678 Adrienne 052-6080927

Genève : le Nobel de l’incompétence décerné pour un accord bâclé

Jusqu’à quel point la diplomatie américaine bâclée renforcera l’Iran ?

Israël est loin d’être le seul acteur régional à conclure que les négociateurs de Genève méritent le prix de l’Incompétence pour leurs cafouillages, et que les premières conséquences catastrophiques de leur amateurisme goguenard sont en train de se mettre en place avec la précision dévastatrice d’un métronome.

obama-rohani

Après tout ce tintamarre médiatique autour de “l’accord » entre l’Iran et les puissances mondiales, de dimanche, il est devenu évident, mercredi, que l’agrément en question n’est pas du tout finalisé. Non seulement, l’accord intérimaire de six mois n’est pas encore prêt de devenir effectif, mais, si cela ne suffisait pas, l’Iran est parfaitement libre de poursuivre son programme nucléaire à plein régime, jusqu’à ce que les « détails techniques » de l’accord final soient ultérieurement étudiés, comme l’a déclaré la porte-parole du Département d’Etat américain Jen Psaki, l’air vaguement embarrassée.

Psaki s’est exprimée jeudi, quelques heures à peine, après que le Ministre iranien des Affaires étrangères Mohammed Javad Zarif ait annoncé, triomphant, que l’accord intérimaire que son pays a signé avec le G P5+ 1 ne l’oblige pas à stopper la construction de son site de production d’eau lourde, à Arak, qui pourrait être utilisé pour produire le plutonium nécessaire à la fabrication d’une bombe atomique. C’était, pourtant, le point d’achoppement du « refus français » provisoire de la semaine précédente, qui s’est volatilisé la fois suivante… Zarif a déclaré que l’accord impose seulement à l’Iran de suspendre la production d’eau lourde sur ce site. Et comme il n’est pas encore fonctionnel, cela peut attendre…

Divers experts ont aussi affirmé que l’accord publié par la Maison Blanche laisse aux Iraniens la capacité de fabriquer des composants essentiels de leur programme nucléaire, à l’extérieur de l’installation d’Arak et de les y installer dès que le site sera rouvert. C’est ce qui est apparu, un peu plus tard, en pleine lumière, lorsque le Ministère iranien des affaires étrangères a annoncé que l’accord que Washington a publié n’était pas celui qu’il avait signé. Si cela n’était pas aussi tragique, l’amateurisme de ces grands enfants d’Américains et de leurs comparses du P 5+1 pourrait même en être comique.

Dans le premier communiqué, Psaki a tenté d’expliquer qu’il n’y avait aucune date-butoir un tant soit peu claire, disant quand l’Iran devrait commencer à respecter l’accord intérimaire signé. Si c’est vraiment le cas, celui qui en est responsable, au sein de l’équipe de négociation américaine, mérite vraiment le premier prix d’incompétence – ou alors a t-il sciemment cherché à tromper l’opinion publique.
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Hormis le profond mépris qu’éprouve le Premier Ministre Benyamin Netanyahou pour cet accord intérimaire, et sa relation devenue ouvertement problématique avec le Président Barack Obama, du fait de cette crise aiguë, certains pays arabes, en particulier ceux qui appartiennent au camp saoudo-égyptien, constatent que la gestion pitoyable de ces négociations avec l’Iran s’inscrit dans une tendance plus générale. La Maison Blanche, disent-ils, fait preuve du plus total amateurisme et d’une maladresse incorrigible, dès qu’elle tente la moindre ingérence au Moyen-Orient. En 2010, le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs déclarait que l’Administration n’avait aucune intention de permettre à l’Iran de poursuivre son enrichissement d’uranium. Mais, en novembre 2013, sous les termes de l’accord intérimaire – qui autorise l’Iran à poursuivre l’enrichissement à 5% – Washington consent à ce qu’il en soit ainsi, à la grande joie du Président iranien Hassan Rouhani, du Guide Suprême Ali Khamenei et de tous les autres dirigeants iraniens.

Il n’y a pas que la question nucléaire qui inquiète différents pays de la région, notamment l’Arabie Saoudite. « Les pays du Golfe persique se préoccupent, maintenant, du fait que les Etats-Unis soutiennent, ouvertement,l’hégémonie iranienne dans la région et qu’il n’y ait rien qu’ils parviennent à faire pour les en empêcher », explique le Professeur Asher Susser, du Département d’Histoire moderne du Moyen-Orient et du Centre Moshe Dayan des Etudes moyen-orientales et africaines de l’Université de Tel Aviv. « Un changement historique important est, maintenant, en train d’atteindre son paroxysme. Le point névralgique du Moyen-Orient s’est déplacé des pays arabes vers le Golfe persique. Et quand les Etats-Unis favorisent l’hégémonie iranienne, cela se répercute sur toutes les autres zones de la région, sur la situation en Syrie, en Irak, au Liban et ailleurs. L’actuelle bataille de Qalamoun, à quelques encablures de la frontière libano-syrienne, démontre à quel point les renforts du Hezbollah et des Gardiens de la Révolution iranienne sont décisifs pour circonvenir les bastions rebelles, qui savent pertinemment qu’aucune armée arabe ou occidentale ne viendra jamais à leur rescousse.

Depuis que la question irakienne n’a jamais été clairement résolue, -ou seulement au profit de l’Iran- l’Arabie Saoudite se sent encerclée par la subversion chi’ite iranienne sur son territoire et à toutes ses frontières. Elle s’attend, avec un profond désarroi, à ce que sa situation générale n’aille qu’en empirant.

De quoi donner des sueurs froides aux monarchies du Golfe et en contraindre certaines, la mort dans l’âme, à prendre le chemin de Damas et de Téhéran.

Le Ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, n’a pas perdu une minute pour se rendre auprès des Ayatollah et envisager favorablement la présence de l’Iran aux négociations sur la Syrie, en janvier 2014. Le Bahrein invite les Iraniens à son sommet de Manama, sur la sécurité régionale.

L’Arabie saoudite aura besoin d’Israël pour repenser sa sécurité, mais il lui sera nécessaire de garder secrets les termes de cette entente objective, pour conserver son statut, aux yeux du monde arabe. Il ne faut donc pas s’attendre à des « révélations » tonitruantes sur ce volet, hormis par les campagnes de déstabilisation opérées par les supplétifs de l’Iran.

Existe t-il des solutions alternatives pour sortir de la quadrature du cercle, dans laquelle ce mauvais accord a plongé toute la région ?

L’une d’elle consisterait à consentir à la participation des principales puissances régionales, soit les premières concernées, à ces prochaines discussions entre le P5+1 et l’Iran, pour qu’elles puissent faire part de leurs objections. Il s’est murmuré, ainsi, qu’Israël, et pourquoi pas, l’Arabie Saoudite pourraient faire entendre leurs voix.

Pour autant que l’on prétende à des « négociations », elles ne pourront réellement avoir lieu que si les principaux impliqués font valoir leurs droits, leurs soupçons ou les craintes pour leur propre sécurité.

Il devrait en aller de même, concernant la situation en Syrie, où l’Iran, qui n’a aucune frontière commune avec ce pays, mais, par contre, dont les troupes sont ouvertement et directement impliquées dans ce bain de sang, est courtisé, afin d’en être partie prenante.

Gesticuler en coulisse, produire des discours de colère ou compter sur un veto temporaire d’un pays comme la France, en minorité face aux « grandes puissances » (Etats-Unis, Chine, Russie) ne sert qu’à obtenir un sursis illusoire. Israël a exigé des sanctions, fait connaître, de l’extérieur, ce que seraient ses lignes rouges. Mais Jérusalem a trop remis son destin, – à travers les conséquences, aujourd’hui, flagrantes, d’un tel accord-, entre les mains d’un Conseil de sécurité formé de puissances éloignées, en comptant sur l’Amérique pour fixer le problème. Les résultats de cette stratégie de rémission ne peuvent avoir, au bout du compte, qu’un goût particulièrement amer.

C’était le sens d’un article de l’ancien chef du Mossad, Ephraïm Halévy, « la chaise vide », suggérant qu’Israël devrait être présent, et pour cela, revendiquer sa place, dans chaque consultation concernant la sécurité régionale, où ses intérêts sont nécessairement en jeu.

Ce sera, bientôt le cas au Conseil des Droits de l’homme de l’ONU, grâce à son intégration dans le bloc des pays occidentaux et autres, là où il est, si souvent, le seul à être vilipendé, sans même pouvoir se défendre, ni faire front avec d’autres alliés (Canada, etc.), moins timorés que d’autres…

D’ores et déjà, Zarif, l’émissaire de Khamenei a fait savoir que l’Iran se retirerait de toute négociation où un représentant de « l’entité occupante » (Israël) serait présent.

A moins que l’on souhaite vraiment que la confrontation ait lieu en grandeur réelle… Mais, en ce cas, il n’est pas utile de prétendre au titre de Conseil de « Sécurité ».

Marc Brzustowski.

Source : AVI ISSACHAROFF 29 Novembre 2013, 9:14 am

Avi Issacharoff, analyste du Moyen-Orient au Times of Israel et pour Walla, portail internet en Israel. …

timesofisrael.com

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OBAMA : UN FRERE… MUSULMAN

Le monde anti occidental a du imaginer dans ses rêves les plus fous l’arrivée à la Maison Blanche d’un président capable de détruire les Etats-Unis sur le plan politique afin de les réduire à la taille d’une « impuissance » secondaire. Les échecs d’Obama se succèdent face au monde musulman. Son retrait d’Irak laisse percer les effets nocifs  de sa politique et les attentats se succèdent quotidiennement dans l’indifférence générale. Son retrait d’Afghanistan permettra aux Talibans de reprendre le pouvoir alors même qu’il négocie avec eux. Son échec patent en Libye où l’ambassadeur US a été traité comme un Kadhafi  d’opérette est un drame cuisant.  L’indécision et l’incapacité de réagir en Syrie prouvent encore la misère de la politique américaine dans le monde arabe. A moins que tout cela ne soit pas la faiblesse d’un dirigeant US mais la fermeté d’un président musulman !

C’est une tradition profondément ancrée parmi les démocraties occidentales que de se coucher face aux dictatures les plus sanglantes.

Cet Obama a effectué son premier voyage officiel en Egypte pour déclarer que les USA sont un grand pays musulman ; il a abandonné son « ami » Moubarak et  a soutenu Morsi contre les militaires. Il a  entravé les efforts israéliens pour mettre fin à la nucléarisation militaire de l’Iran, effectue toutes les pressions possibles pour aider à disséquer l’intégrité territoriale d’Israël.

C’est une tradition profondément ancrée parmi les démocraties occidentales que de se coucher face aux dictatures les plus sanglantes. De Genève à Munich, il n’y a qu’un pas que les occidentaux ont franchi allégrement. Consciemment ou non, les « alliés » (de qui ?) ont donné un blanc-seing à l’Iran pour courir vers l’obtention d’une arme nucléaire. Il n’était que  de voir la liesse entourant le retour à Téhéran du négociateur iranien pour savoir qui était le vainqueur. Les déclarations victorieuses n’ont d’ailleurs pas tardé à fuser de Téhéran stipulant que rien n’était changé. L’enrichissement  de l’uranium est désormais reconnu tout comme restent secrets les sites cachés que nul observateur n’ira contrôler. Le premier ministre perse a raconté que lors de précédentes négociations, il avait réussi à rouler dans la farine les occidentaux ! Il a réitéré sans aucune difficulté cet exploit puisque Genève, n’a pas donné lieu à la signature d’un contrat ou d’un traité mais simplement d’un chiffon de papier, un « document » sans aucune obligation réelle.

Nul ne peut ignorer le peu de cas que font les pays de l’islam à l’égard de traités en bonne et due forme et à fortiori aux « documents ».

En fait l’Occident a encore donné le temps à l’Iran de se doter de l’arme nucléaire et bien entendu, les pays arabes menacés comme l’Arabie Saoudite ou les états du Golfe, commencent déjà à exiger leur propre puissance nucléaire.

En fait, les USA de ce Hussein Obama négocient déjà depuis des mois avec les Ayatollah et ce, dans le dos d’Israël. En fait, cela fait des mois que le locataire de la Maison Blanche a levé des sanctions contre Téhéran sans rien en dire. Et je pense que cela fait des années que le grand « frère…musulman » de Washington fait tout son possible pour réduire à néant la puissance américaine et donner une opportunité à la bombe islamique.

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Le plus pernicieux dans son aventure pour saper la stabilité et la sécurité d’Israël est d’avoir utilisé pour ce faire des Juifs ou supposés tels comme celui que Rehavam Zeevi avait appelé le Juif de cour, Indyk,  et l’actuel ambassadeur  US en Israël.

« Vous n’êtes pas seuls »  avait-il déclaré lors de son voyage en Israël. La vérité est qu’il vaut mieux être seul qu’aussi mal accompagné !

Il a amené notre Premier Ministre à présenter des excuses à la Turquie pour défendre ses propres intérêts stratégiques et à offrir des compensations financières à des terroristes musulmans turcs venus se mesurer aux soldats de Tsahal croyant avoir affaire à des humanitaires ! Il a forcé le gouvernement israélien à libérer des terroristes arabes qui ne méritaient qu’un peloton d’exécution et à mettre en danger la vie des civils israéliens.
L’embrassade de Kerry avec  l’antisémite Ashton a scellé les accords favorables à l’Iran.

Une fois de plus, les « grandes » puissances occidentales ont lâchement préféré un répit de courte durée à la solution du problème d’un islam nucléaire. Une fois de plus, comme à Munich, ils ont feint de ne pas entendre le Führer iranien, ce « Guide suprême » déclarer que les sionistes n’étaient pas humains. Une fois de plus les « cinq plus un » se sont félicités à coups de grandes accolades et de baisers d’avoir donné le change et occulté la véritable situation. Et pourtant, le seul résultat tangible de cette tragédie de Genève est de rendre inéluctable l’option militaire. Malheureusement, une fois de plus les Juifs sont en première ligne !

Le régime des ayatollahs iraniens a été sauvé alors que le peuple menaçait de se soulever. Les milliards de dollars qu’Obama et les occidentaux vont déverser et débloquer sur Téhéran permettra aux iraniens de croire en la victoire de leur régime.

Quant à Israël, le moment propice pour une attaque militaire  a été dépassé. Seul Shimon Péres endormait l’opinion publique et tressait des louanges pour Obama qui ne permettrait « jamais » de voir une bombe atomique entre les mains des Perses. Il est vrai que l’homme d’Oslo avait également eu confiance en Arafat !

Benyamin Netanyahou n’a que trop attendu. Les menaces n’ont pas cours au moyen Orient et seuls les gestes forts peuvent imposer une solution.

Israël ne peut compter que sur lui-même et seul Tsahal peut et doit assurer sa sécurité. C’est en étant faible que nous sommes isolés alors que la force utilisée à bon escient nous ramènera au centre des préoccupations internationales en imposant le respect  pour nos idées ou la crainte de nos réactions. Cessons d’être les gentils, polis prêts à toutes les concessions.

En ces jours de Hanoukka, nous savons que les Makabim représentaient un petit nombre face aux multitudes grecques et ils ont vaincu. Quelle belle occasion de rajouter un fait d’armes historique à fêter pour les générations futures.

L’exemple a été donné par le grand Menahem Begin (zal) dans la destruction d’Osirak.

Joyeuses fêtes de Hanouka !

Jacques KUPFER

Pour ce dossier lire également les articles:

La tragie-comédie de Genève

L’accord sur le nucléaire iranien sera un jour cité comme le plus noir de notre histoire

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Voici l'appréciation d'Israël par le Frère Musulman de Washington
Voici l’appréciation d’Israël par le Frère Musulman de Washington

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