La gauche israélienne et les ONG fomentent des troubles en Israël

Les manœuvres de la gauche Israélienne, et des ONG pour mettre le feu aux poudres en Israël sont inadmissibles dans un pays en guerre perpétuelle pour assurer sa survie.

Dernièrement, les médias ont rapporté l’affaire des Bédouins qui se sont implantés au fur et à mesure dans des conditions illégales dans des baraques en tôles tout autour de Beershéva.

Trois familles de Bédouins se sont partagé le Néguev, l’une vers l’est jusqu’à la Mer Morte. L’autre vers l’ouest, jusqu’à Gaza. Et la troisième, jusqu’à Eilat. Les Bédouins ont besoin de grands espaces afin de faire pâturer leurs troupeaux.

Le problème vient d’une part de leur développement important qui laisserait à penser que certains arrivent de pays limitrophes, car il ne peut être expliqué par la seule natalité.

D’autre part l’armée se redéploie dans le Néguev en déplaçant ses bases du centre du pays vers le sud, dans des zones désertiques, elle a donc besoin de récupérer des terres qui appartiennent à l’Etat, car très peu de Bédouins peuvent justifier de la possession de terres.

Magnanime, le gouvernement leur a offert un transfert avec construction d’un appartement moderne et une parcelle de terre pour chaque foyer, cette parcelle est équivalente à plusieurs parcelles vendues par l’Etat à chaque foyer juif, c’est ce qui s’appelle de la discrimination positive, rien n’y fait, et nombreux parmi ceux ne pouvant justifier en aucune façon de leur présence en Israël ont refusé la transaction. Leurs villes sont devenues des zones de non droit pour le citoyen lambda, et sont le lieu de tous les trafics. Lors des récentes manifestations, des drapeaux « Palestiniens » ont fleuri et des slogans hostiles aux juifs ont fusé. La loi a du être ajournée.

Autre cas plus récent, Une manifestation monstre de Soudanais et d’Erythréens entrés illégalement en Israël par le Sinaï, avant la construction de la clôture, dont l’édification vient de se terminer. Aujourd’hui la frontière est étanche, alors qu’auparavant les illégaux rentraient par jusqu’à deux mille par mois.

Manifestation du 6 janvier 2014 à Tel-Aviv

Les ONG ainsi que la gauche israélienne s’étaient impliquées dans le trafic, aidant les illégaux dans leur passages en allant les chercher au moyen de bus, l’armée ne pouvant intervenir de peur de blesser des Israéliens. Aujourd’hui plus de 52.000 illégaux d’Eilat, de Tel-Aviv, et même d’Ashdod, travaillent en toute illégalité essentiellement dans l’hôtellerie et la restauration. Les illégaux ont manifesté aux cris de « reconnaissez notre statut de réfugié politique. »

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Manifestation des Migrants à Tel-Aviv, photo signalée par Jean Vercors

Ce statut n’est délivré qu’après une enquête minutieuse, car la plupart des demandeurs ne peuvent justifier de leur identité les papiers ayant été détruits, ils sont attirés par les meilleures conditions de vie d’Israël, ce sont des réfugiés économiques et non politiques.  Dans ce cas aussi les slogans hostiles aux Juifs ont fusé. Ils réclament une reconnaissance que les autorités ne peuvent leur accorder.Ils ont été amenés ici par ceux qui les exploitent, les payant à vil prix pour un travail boudé par les Israéliens.

La collusion entre la gauche Israélienne, les ONG et les pays Arabes est donc flagrante, mais qu’ils n’oublient pas une chose, les Arabes ont quelquefois recours à des alliés temporaires, contre lesquels ils se retournent une fois leur but atteint,

La gauche israélienne et les ONG veulent un pays laïc, et non un pays juif. Ils rejoignent les idées des Arabes qui refusent de reconnaître Israël comme Pays Juif, alors que c’est précisément sur ce critère que la SDN a mandaté la Grande Bretagne en vertu de la Conférence de San Rémo le 26 avril 1920, qui reprenait les préconisations de Lord Balfour de 1917.

La collusion entre la gauche Israélienne, les ONG et les pays Arabes est donc flagrante, mais qu’ils n’oublient pas une chose, les Arabes ont quelquefois recours à des alliés temporaires, contre lesquels ils se retournent une fois leur but atteint, Abou Mazen ne se gène pas de dire qu’il voit son futur pays Judenrein. Ce serait alors une plateforme idéale pour l’éradication d’Israël.

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