Le comportement à avoir vis à vis de la famille évoqué par la Torah

Parasha Ytro

Au cours d’une parasha précédente Ytro un prêtre qui a pratiqué toutes les religions idolâtres, vit dans le désert de Midian, il a accueilli Moïse l’Hébreu qui se sauvait d’Egypte, et lui a donné sa fille en mariage.

Moïse qui avait été élevé par la sœur du Pharaon pratiquait de ce fait dès sa plus tendre enfance le culte idolâtre égyptien. Confronté à des Hébreux, il découvre alors son ascendance et en est tout ébranlé dans ses convictions religieuses.

 Lors de l’Exode, Ytro l’idolâtre, accompagné de sa fille Tsiporah et de ses deux enfants Gershom et Eliézer, vient voir Moïse, le prophète du Dieu unique, qui sort de sa tente à sa rencontre en signe de déférence.

Le comportement de Moïse à cette occasion déclencha chez Aaron et ses fils, un comportement identique, les autres Hébreux les ont imités, et Ytro fut l’objet de grands honneurs. (A rapprocher de l’accueil réservé par Donald Trump à Benyamin Netanyahou lors de sa visite du 15 février 2017 à la Maison Blanche, qui contraste par rapport à l’accueil réservé par l’islamiste Barack Hussein Obama lors de la première visite que lui a rendu le Premier Ministre israélien il y a 8 ans reparti par la porte de service pour ne pas être raccompagné).

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Au cours de l’année où il demeura dans le camp des Hébreux, Ytro se rapprocha de la Torah, lorsqu’il repartit chez lui, il était apte à en enseigner les principes.

La Torah nous apprend donc qu’il faut se comporter avec déférence envers son prochain, fut-il d’une autre croyance, et ce d’autant plus s’il s’agit de son Beau-Père. Beaucoup devraient s’inspirer de ce texte, lorsqu’on voit les dégâts causés au sein des familles par le rejet de l’autre au prétexte qu’il n’est pas dans le droit fil de son propre comportement.

A partir du moment où le comportement intra-familial laisse à désirer, il ne faut pas s’étonner de telles dérives entre des voisins voire assez éloignés, le rejet de l’autre entrainant toutes les actions barbares que connaît notre époque avec l’apparition d’une radicalisation de l’Islam.

Nous avons connu depuis des temps plus anciens à de nombreuses reprises une telle attitude vis à vis des Juifs. Sans remonter au temps des Assyriens,  L’Inquisition française fut la première, ensuite, l’Inquisition espagnole a été terrible, mais l’Inquisition portugaise le fut encore plus. De la fin des Inquisitions à ce jour, la violence ne fut pas au rendez-vous d’une manière aussi systématique à l’exception de l’épisode douloureux de la Shoah. Dans les pays musulmans on assista ponctuellement à des pogroms tels que les Juifs en ont connu également dans les pays d’Europe de l’Est.

Malgré ce calme apparent, un rejet des Juifs a toujours été constaté dans une bonne partie de la population européenne, les récents votes à l’Unesco prétendant que Jérusalem et le Kotel n’ont rien à voir avec le judaïsme, ne sont que la résurgence de cet anti-judaïsme qui profite de l’arrivée massive de migrants musulmans, foncièrement hostiles aux Juifs et à Israël; aujourd’hui personne ne se cache plus, en France, une grande partie de la gauche, la quasi totalité de l’extrême gauche, ainsi que les verts ont rejoint cette ligne faisant avec les nazislamistes un front commun, on a vu défiler des élus de gauche lors de manifestations où on criait « mort aux Juifs ». On retrouve cette idéologie nauséabonde à l’extrême droite, une petite partie de la droite traditionnelle, et surtout chez les Catholiques intégristes, et les Catholiques les plus pratiquants.

La France déroule le tapis rouge à un négationniste de la Shoah qui rêve d’obtenir un pays judenrein qu’il bâtirait sur la terre historique multi-millénaire des Juifs, les méthodes spoliatrices de l’Inquisition, adoptées par les nazis, sont reprises aujourd’hui par des barbares ne se hissant sur la scène internationale que grâce à la crainte qu’ils inspirent d’un soulèvement d’une cinquième colonne implantée dans toute l’Europe.

Manifestation anti-juive à Sarcelles
Manifestation anti-juive à Sarcelles

C’est contre ce cancer qui ronge le Monde, que les Britanniques ont voté pour le Bréxit, c’est une des raisons qui a motivé l’élection de Donald Trump, en réaction à la politique nocive que conduisit Barack Hussein Obama pendant 8 années terribles. C’est le même débat qui agite la classe politique hollandaise à la veille du scrutin du mois de Mars , et c’est l’enjeu de l’élection française de Mai prochain.

Si les Médias faisaient un réel travail d’information, ils analyseraient ces raisons et les commenteraient au lieu de curer les égouts pour faire passer leurs idées d’une époque révolue.

Sur cette première vidéo à visionner jusqu’au bout, vous verrez des phénomènes inexpliqués, la forme de cette ellipse que forment les nuages ainsi que les formes à l’intérieur de celle-ci, et surtout les sons inexpliqués venus du ciel trompettes et schofars. A la fin une étrange trainée lumineuse qui se répand en pluie de feu.

Sur cette seconde vidéo on entend nettement mieux les Schofars puisqu’il n’y a pas de commentaires.

Enfin ici les nuages font un étrange ballet de personnages.

Après le Shofar, nuages sur Jérusalem
Après le Shofar, nuages sur Jérusalem

Pour les religieux, nous sommes dans les temps (arrivée du Messie).

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour https://eli-d-ashdod.com/

La science bluffée par la Torah

UN SCIENTIFIQUE PROUVE QUE DANS LA TORAH, TOUT EST LIE

Par YOCHEVED MIRIAM RUSSO

Tout est parti d’une simple question. “Depuis des années, elle titillait ma curiosité : régulièrement, je me demandais si la valeur numérique des noms de couleurs apparaissant dans la Bible pouvait avoir un rapport quelconque avec leur fréquence d’onde”, raconte Haïm Shore, professeur à l’université Ben Gourion du Néguev. “Question extravagante en vérité. Pourquoi en serait-il ainsi ? En fin de compte, pour m’amuser, j’ai vérifié. Et les bras m’en sont tombés ! Il pouvait s’agir d’une sacrée coïncidence, mais toujours est-il qu’il existait bel et bien un lien linéaire : le nom hébraïque des couleurs reflète leur fréquence d’onde !”

La méthodologie employée était simple : Shore a pris les noms des cinq couleurs mentionnées dans la Bible, le rouge (“adom”), le jaune (“tzahov”), le vert (“yerakone”), le bleu (“tchélète”) et le violet ou magenta (“argamane”) et il a calculé leur valeur numérique en additionnant pour chacun la valeur de ses lettres : aleph correspondant à un, beth à deux, etc. Puis il a réuni le tout dans un graphique : la fréquence d’onde de chaque couleur, établie scientifiquement, sur l’axe vertical, la valeur numérique du nom de ces couleurs sur l’axe horizontal.

“Je n’en ai pas cru mes yeux”, se remémore le scientifique. “Les cinq points du graphe formaient une ligne droite ! Autrement dit, les noms des couleurs correspondaient à leurs fréquences d’ondes respectives ! Et je n’avais manipulé aucun chiffre ! En voyant cela, j’étais comme un lion en cage, je faisais les cent pas dans mon bureau, je ne parvenais pas à y croire. Par la suite, j’ai pris d’autres mots de la Bible hébraïque et j’ai comparé leur valeur numérique avec ce que la science nous apprenait d’eux. Et cela m’a mis dans tous mes états… J’ai découvert un nombre époustouflant de ‘coïncidences’, où le nom hébreu cité dans la Bible était en rapport direct avec les propriétés physiques de l’entité qu’il désignait. J’ai tout recensé et j’ai présenté une vingtaine de ces analyses dans un livre.”

“Je ne cherche pas à expliquer ce que ces informations signifient”, affirme-t-il, “ni à imposer ma propre interprétation. J’ai soumis le fruit de mes recherches, voilà tout. En tant que scientifique, j’estimais de mon devoir de le faire pour susciter la discussion.”

Ecrit en anglais, le livre Coïncidences in the Bible and in Biblical Hebrew (Coïncidences dans la Bible et dans l’hébreu biblique) expose des dizaines de mots hébreux de la Bible qui dissimulent des informations sur les objets ou les personnages qu’ils représentent, informations qui, dans la majorité des cas, ne pouvaient être connues avant l’époque moderne.

Logarithmes et données de la NASA

“Il ne s’agit pas de guématria”, précise Shore. “La guématria, adoptée par les rabbins et les commentateurs juifs de la Bible, suggère que deux termes hébreux ayant la même valeur numérique sont nécessairement reliés par un ‘secret’. Non, moi, j’ai simplement constaté, par exemple, que le mot ‘héraïone’, ‘grossesse’, a la même valeur numérique que la durée de la grossesse de la femme, soit 271 jours.”

Shore met encore les choses au point : “Il ne s’agit pas non plus d’un quelconque ‘code biblique’ qui aurait des allures de prophétie. Ce que j’ai tenté de faire, d’une façon aussi simple et non-technique que possible, c’est de proposer plusieurs analyses quantitatives qui démontrent que certaines grandes propriétés physiques sont probablement reflétées dans la valeur numérique des termes hébreux.” Les couleurs étaient une chose, les objets célestes, une autre : la lune, la terre et le soleil. “Dans la littérature kabbaliste, on dit que les lettres de l’alphabet hébraïque ont été créées les premières, puis que Dieu s’en est servi pour former tous les mondes. Diverses sources juives anciennes confirment cette idée”, explique Shore. “Ainsi, en hébreu, lune se dit ‘yaréach’, terre, ‘eretz’ et soleil, ‘shémesh’. L’un des traits qui distinguent ces trois corps célestes est leur taille, exprimée par leurs diamètres. J’ai donc utilisé les diamètres fournis par la NASA et j’ai tracé un nouveau graphe, comme avec les couleurs.

“Sur l’axe horizontal, j’ai placé la valeur numérique du mot hébreu et sur l’axe vertical, les diamètres indiqués par la NASA (sur une échelle logarithmique). A mon grand étonnement, le phénomène s’est répété : les trois points se sont retrouvés alignés. Un rapport mathématique rigoureusement exact aurait donné une correction linéaire de ’1′ ; celle de ces trois points était de ’0,999′. Là encore, la coïncidence avait de quoi ébranler !” Shore n’est ni un illuminé, ni un fanatique. Mais un scientifique des plus rationnels, voire sceptique. On ne peut dire que sa formation intellectuelle le préparait à de telles découvertes. “Mon domaine professionnel porte sur les modèles statistiques et sur l’ingénierie en matière de qualité et de fiabilité”, explique-t-il. “Je suis diplômé du Technion en ingénierie et management industriels, j’ai un Master de recherche opérationnelle et une maîtrise de philosophie et de psychologie, ainsi qu’un doctorat en statistiques à Bar-Ilan. J’ai travaillé comme consultant en gestion, j’ai enseigné à l’université de Tel-Aviv, puis j’ai été nommé à l’université Ben Gourion en 1996. Mais je suis un ingénieur avant tout. Je refuse de croire qu’une chose est vraie tant qu’elle n’a pas été soumise à une analyse quantitative. Sans cela, tout est discutable.”

“Mais cela, non !”, soutient-il. “Il existe, en ingénierie, un principe universel selon lequel, quand deux séries de données, placées dans l’ordre croissant, avec la première sur l’axe horizontal et l’autre sur l’axe vertical, donnent une ligne droite, cela signifie qu’elles mesurent la même chose, mais à des échelles différentes.”

Shore n’a pas non plus pris comme point de départ de ses recherches les paroles des Sages, à savoir que les termes hébreux renferment un second niveau d’informations qui nous est caché, mais que l’on peut découvrir à l’aide de leur valeur numérique.

“Pas du tout”, confirme-t-il. “Pendant des années, j’ai été convaincu que ce n’était là que superstition, pur mythe, comme on en trouve dans beaucoup de religions et de cultures. Toutefois, mes découvertes m’ont fait réfléchir à deux fois à ce qui était écrit dans le Talmud, par exemple dans le Midrash Rabah, qui dit : “Ainsi Dieu observa la Torah et créa l’univers” et, dans Berachot, “Bezalel savait comment assembler les lettres avec lesquelles le ciel et la terre avaient été créés.”

Si Shore ne prétend pas que ses postulats ont valeur scientifique, il ne va pas jusqu’à qualifier de coïncidences la multitude de corrélations qu’il a mises à jour. “Au début, je considérais ces découvertes comme des curiosités dénuées de base scientifique. Mais, au fil des ans, j’ai vu ces ‘coïncidences’ évoluer vers autre chose. En 2006, je suis parvenu à la conclusion que le nombre important d’exemples que j’avais rassemblés justifiait une publication.”

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A vrai dire, voir la science et la technologie modernes refléter ou renforcer la terminologie biblique a fini par fasciner Shore. “Par exemple, le mot ‘shana’, année, est numériquement équivalent à 355. Or il se trouve que la durée moyenne de l’année lunaire hébraïque est de 355 jours. Ou encore ‘ozen’, qui signifie ‘oreille’ et qui a la même racine que le terme hébreu pour ‘équilibre’. C’est curieux, car c’est seulement à la fin du XIXe siècle que l’on a découvert que le mécanisme qui contrôle l’équilibre du corps réside dans l’oreille.” Autre curiosité qui a de quoi interpeller, le nom biblique de Laban, l’un des personnages les plus menaçants de la Genèse. Dans la Haggadah de Pessah, on lit : “Vois ce que Laban l’Araméen voulut faire à notre père Jacob. Pharaon ne décréta la mort que des garçons, mais Laban voulut tout exterminer.”

“Laban représente une perte totale de l’identité juive”, explique Shore. “Il voulait que tout soit mêlé, que chaque personne, chaque culture, soit dénuée de traits caractéristiques distinctifs. Il mélangeait ses enfants, ses femmes, sa foi religieuse, sa langue et ses biens. Il idéalisait le concept de ‘village global’, comme on dirait aujourd’hui, où tout et tous sont identiques. Or, comme on le sait, le nom laban signifie ‘blanc’ en hébreu, ce qui est extraordinaire. Laban est le seul personnage de la Bible à porter le nom d’une couleur. Jusqu’en 1666, les scientifiques croyaient tous, comme Aristote, que le blanc faisait partie des couleurs de base. C’est seulement quand Newton a fait passer un rayon de soleil à travers un prisme de verre que l’on a découvert le spectre des couleurs. Le blanc, a alors expliqué Newton, est en fait un mélange de nombreux types de rayons qui sont réfractés à des angles légèrement différents, chacun d’eux produisant une couleur distincte. En fait, le blanc est bel et bien un mélange de toutes les couleurs ! N’est-ce vraiment qu’une coïncidence ? Ne trouvez-vous pas cela bizarre ? Bizarre que, dans la Bible, Laban, l’homme qui voulait que tout se mélange, s’appelle précisément ‘blanc’ ?”, interroge Shore.

Le livre de la Genèse, en particulier l’histoire de la création, a droit a un traitement spécial. En 1985, Shore l’avait analysée, en collaboration avec le professeur Yehouda Radday, et tous deux avaient publié un livre à ce sujet. “Le professeur Radday, décédé le 11 septembre 2001 , était l’un de mes meilleurs amis. Je l’avais rencontré dans les années 1970, alors que j’étais assistant et qu’il était affilié au Technion pour effectuer une analyse statistique des textes bibliques. A cette époque, l’Allemand Julius Wellhausen était très en vogue et nous avons entrepris de mettre à l’épreuve, d’un point de vue statistique, sa théorie, selon laquelle la Genèse aurait de multiples auteurs.”

Un seul auteur pour une Torah unique

Selon Julius Wellhausen (1844-1918), le Pentateuque (les cinq livres de Moïse) n’aurait pas été écrit par Moïse, mais serait le fruit de traditions orales nées d’une culture nomade et rassemblées sur le tard. Wellhausen nomme les quatre sources “J”, “E”, “D” et “P” et leur attribue les versets ou passages en fonction de différences dans la terminologie employée ou l’esprit du texte. Une théorie acceptée pendant de nombreuses décennies par une majorité de spécialistes de la Bible.

“Yehouda et moi avons publié nos recherches – qui établissaient, à l’aide de statistiques, que le livre de la Genèse était homogène et donc l’œuvre d’un auteur unique. Elles sont parues dans plusieurs revues scientifiques, puis dans un livre publié par les presses de l’Institut biblique (Romae E Pontificio Instituto Biblico), au Vatican”, raconte Shore. “Aussi, quand je me suis replongé dans la Genèse, j’avais déjà de bonnes bases !” L’un des éléments analysés par Shore : la création, en termes de temps. Dans l’histoire de la Genèse, l’univers a été créé en six jours. Mais pour la cosmologie moderne, il ne peut être l’œuvre que de milliards d’années. Une différence à l’origine du débat opposant la religion à la science. “J’ai débuté en prenant les événements du premier chapitre de la Genèse – les faits tels qu’ils sont relatés, et non leur interprétation. La ‘lumière’ a été créée le premier jour, le ciel, le deuxième, les eaux et les végétaux, le troisième, le soleil et la lune, le quatrième, la mer et les poissons le cinquième et Adam et Eve sont apparus le sixième, à la fin de la 14e heure”, dit-il. “J’ai pris les six points et mis en relation chaque jour biblique avec les durées établies scientifiquement. Par exemple, la science a établi que les galaxies ont commencé à se former il y a 11,8 milliards d’années, le soleil et la lune il y a 4,5 milliards d’années, etc. J’ai inscrit l’âge du cosmos sur l’axe vertical et la chronologie biblique (du premier au sixième jour) sur l’axe horizontal. Et j’ai découvert que le tout formait une ligne droite.”

“Ne serait-il pas possible que les deux séries de données, celles de la Bible et celles de la science, représentent la même “ligne de temps”, mais exprimée à des échelles différentes ?”, s’interroge-t-il. “Les analyses statistiques montrent que la probabilité qu’il s’agisse d’un pur hasard est inférieure à 0,0021 %”, poursuit Shore. “Si l’on retire le jour 2 et le jour 5 – il existe un débat scientifique sur le moment où la vie telle que nous la connaissons a vu le jour et sur celui où les grandes structures sont apparues dans l’univers -, il ne nous reste que quatre points. Or, la probabilité que ces quatre points soient alignés comme ils le sont par simple hasard est encore inférieure à 0,0165 %.”

Shore est désormais convaincu qu’il aurait pu employer un autre terme que “coïncidences” dans le titre de son livre. “Ce titre reflétait mon point de vue vis-à-vis des nombreux exemples que j’y donnais. Mais au cours des deux ou trois mois qu’il m’a fallu pour l’écrire, quelque chose a changé. Aujourd’hui, je dirais qu’il est extrêmement probable que les informations cachées dans les mots bibliques complètent les données scientifiques que j’ai soumises dans l’ouvrage.”

Qu’espère gagner Shore en publiant ses découvertes ?

“Je savais très bien que je mettais ma réputation en danger en rédigeant ce livre”, reconnaît-il. “Mais j’ai décidé d’aller jusqu’au bout, parce que ces données sont significatives. Chacun de nous peut se faire sa propre idée des implications de tout cela. Je n’affirme rien concernant Dieu, la Bible ou l’hébreu biblique. Cependant, je pense qu’il importe de se pencher sur ces découvertes.”

Quelques autres “coïncidences” ont contribué à façonner la vie de Shore. Aujourd’hui, il traite statistiquement les données d’une étude conduite à la fin des 18e Maccabiades. “Nous mesurons la satisfaction des participants, ce qui implique d’analyser des questionnaires soumis par e-mail aux athlètes, aux membres des délégations officielles et aux organisateurs des Maccabiades”, explique-t-il. “Cet évènement représente quelque chose de particulier pour moi, parce qu’en 1932, mon père a participé à Tel-Aviv aux premières Maccabiades en tant que membre de l’équipe de football polonaise. Une fois ici, il n’est plus reparti, de sorte qu’il a échappé à la Shoah (contrairement au reste de sa famille). Voilà pourquoi j’ai annoncé au Comité d’organisation des épreuves, qui m’a chargé de cette étude, que je travaillerai à titre bénévole.”

Une entreprise qui réservait une nouvelle surprise à Shore : il a découvert qu’en fait, il n’était pas le premier Shore à avoir écrit un livre sur la Genèse ! “Le grand-père de mon père, Barouch Shorr, était un célèbre chantre de Lemberg, que l’on appelle Levov aujourd’hui”, dit-il. “Il a écrit deux livres, l’un sur les Ecclésiastes, l’autre sur la Genèse, qu’il a appelé Bechor Shorr et qui a été publié à Lemberg en 1873. Je n’ai appris l’existence de cet ouvrage que bien après la parution de celui que j’ai moi-même écrit avec le professeur Radday. Encore une coïncidence…”

(N.D.L.R) Comme Laban qui voulait un village global, les héritiers de sa pensée se retrouvent dans de nombreux dirigeants actuels qui veulent transformer le Monde et imposer cette vision des choses, ils se heurtent à un peuple ayant retrouvé son pays après 2.000 ans d’exil, et ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour supprimer ce pays.

Leurs derniers actes dans cette voie:

  • Vote à l’Unesco niant tout lien entre Jérusalem, le Kotel, et le Peuple juif.
  • Reconnaissance d’un Peuple n’ayant jamais existé en vue de lui allouer un Pays qui appartient au Peuple juif depuis plus de 3000 ans, avec Jérusalem comme Capitale.

Pour trouver le livre cliquer ici

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Le travail des associations caritatives en Israël

Il m’a parût opportun de publier ici un article récapitulant le travail remarquable de certaines associations caritatives cet inventaire est loin d’être exhaustif de nombreuses autres associations s’occupent d’aider les plus démunis, elles voudront bien m’excuser de ne pas les nommer ici, soit que je n’ai pas eu connaissance de leur travail, soit que je ne souhaitais présenter ici que quelques unes pour une facilité de lecture de l’article.

Irgoun Kesher:

Centre communautaire Irgoun Kesher
Centre communautaire Irgoun Kesher

L’association dirigée par le Rav Menahem Amar d’Ashdod est orientée vers l’éducation juive des plus jeunes, 5.000 enfants de 100 ganim et écoles d’Ashdod sont conviés par le Rav Amar dans le mois qui précède chaque fête afin de découvrir pour certains la fête, son déroulement ainsi que les raisons des festivités. Par exemple pour Pessah, les enfants mettent la main à la pâte afin de confectionner des Matsot Chémourah.

L’association fournit également de nombreux colis aux familles nécessiteuses.

L’association a déjà été évoquée ici

C.F.A Club des Français d’Ashkelon:

Outre des activités ludiques ou instructives à l’attention de ses membres, le Club s’est spécialisé dans trois voies

  • Distribution de colis alimentaires ou vestimentaires à l’attention des militaires à l’occasion des différentes interventions des Ayalim.
  • Distribution de colis alimentaires à l’attention des plus démunis, soit ponctuellement soit à l’occasion de chaque fête permettant aux récipiendaires de passer la fête dans la joie.
  • Intervention dans les hôpitaux afin d’apporter la fête aux enfants hospitalisés.
  • Cliquer sur le lien pour accès au site.

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‘Haïm Bessasson:

Située à Kokhav Yaakov conscients de l’interdiction de création d’entreprise au sein des Yichouvim, l’Association a été crée pour aider les 450 familles sur 800 que compte le Yichouv en leur apportant régulièrement des colis alimentaires comprenant fruits, légumes, épicerie diverse viande poisson, c’est une véritable P.M.E que les dirigeants ont créée.

Koupat Haïr:

Très connue en raison de son ancienneté, cette association est la principale caisse de tsédaka:

  • Collecte de vêtements neufs et usagés qu’elle achemine ensuite en Israël pour distribution gratuite aux nécessiteux.
  • Activité dans les hôpitaux.
  • Colis alimentaires.
  • Allocations exceptionnelles.
  • Allocations régulières.
  • cliquer sur le lien pour accès au site.

Zichron Menahem:

Zichron Menahem carte d'accès
Zichron Menahem carte d’accès
  •  Zichron Menahem est la première association et l’unique en son genre qui soutient l’enfant et sa famille psychologiquement et socialement dès le dépistage de la maladie. Groupes de soutien, psychologues, psychothérapeutes et bénévoles sont présents pour améliorer la qualité de vie des patients.

  • Cliquer sur le lien pour accès au site.

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Ne leur donnez pas de poisson à manger, apprenez leur à le pêcher.

L’Alyah d’Ethiopie s’est déroulée dans des conditions extrêmement difficiles au cours de 2 opérations « Moshé » en 1984 21.000 personnes, et « Chlomo » en 1991 14.000 personnes.

Le pont aérien évacuation de 14.000 personnes en 36 heures
Le pont aérien évacuation de 14.000 personnes en 36 heures
La religion tient une place importante dans leur vie, elle a été préservée pendant 3.000 ans
La religion tient une place importante dans leur vie, elle a été préservée pendant 3.000 ans

Plus de 4.000 personnes n’ont pas résistées aux difficiles conditions de voyage entre les deux opérations, et sont décédées dans des camps de transit où ils furent parqués durant 6 ans.

Arrivés d’un pays essentiellement agricole où le travail s’effectuait à la main sans aucune machine, ils furent catapultés dans la société High-tech de fin du 20ème siècle, l’atterrissage fut extrêmement difficile, l’intégration n’est toujours pas au rendez-vous.

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L’association des Olim éthiopiens de Nétivot s’occupe de nombreuses familles démunies, une distribution de colis alimentaires est organisée depuis des années sans qu’une amélioration de leur condition de vie soit au rendez-vous.

Synagogue et Matnas, la forme étrange du toit a été conçue pour représenter la Maguen David vue du ciel
Synagogue et Matnas, la forme étrange du toit a été conçue pour représenter la Maguen David vue du ciel
Le plafond de la synagogue
Le plafond de la synagogue
La salle de Prière
La salle de Prière
Le Aron
Le Aron

Récemment l’association a reçu une somme substantielle, un projet ancien longtemps en souffrance faute de fonds a été activé, il s’agit de prendre le mal à la racine, au lieu de donner du poisson à manger, il a été décidé d’apprendre à le pêcher.

Un programme d’éducation murement mûri a été lancé, 240 enfants de 120 familles sont concernés.

Programme N°1 soutien scolaire:

210 enfants vont recevoir des cours de soutien scolaire par groupe de 5, à raison de 2 heures par semaine.42 élèves de deux collèges voisins dispenseront les cours, ils seront rémunérés 30 Nis de l’heure.

30 enfants beaucoup plus en difficulté, recevront des cours particuliers à raison de 2 heures par semaine. 30 élèves des deux collèges voisins dispenseront les cours, ils seront également rémunérés 30 Nis de l’heure.

Programme N°2 Cours d’enrichissement:

  • Sport.
  • Communication.
  • Informatique.
  • Chorale.
  • Danse.

Programme N° 3 Connaissance du pays:

Histoire, Géographie, à travers des Tyioulim.

Programme N° 4 à destination des adultes:

  • Comment éduquer les enfants?
  • Comment vivre en bonne santé?

Programme N°5

Centre aéré les enfants seront accueillis dans une structure pour toutes les vacances.

La somme reçue, ainsi que des subventions collectées auprès d’associations permettra un déroulement des 5 programmes sur 2 ans et demi jusqu’à Juin 2019.

La totalité des fonds étant consacrée à ces programmes, il ne reste aucun budget pour les colis alimentaires, ni aides ponctuelles de règlement des factures d’électricité, ou d’Arnona en retard.

Les donateurs sont sollicités, tout don sera le bienvenu. Règlement à établir à l’ordre de:

Association des Olim éthiopiens de Nétivot

B.P. 385 Nétivot Israël

L’association étant reconnue d’utilité publique par l’Etat, un reçu vous sera adressé vous permettant une déductibilité fiscale.

 

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Les inégalités sociales en Israël, comment lutter efficacement contre la pauvreté.

 

Message de Jean-Claude BENSOUSSAN

Bonjour Eli
Chavoua tov,

Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je te remercie de bien vouloir assister avec tes ami(e)s et contacts à la CONFERENCE DU 14 FEVRIER à 19 h 30 , au centre Kivounim , La City , Ashdod, organisée par l’Espace Francophone.

Cette conférence aura pour thème ‘’  » Les inégalités sociales en Israël ‘’ , Comment lutter efficacement contre la pauvreté.

Nous avons invité deux éminentes personnalités qui consacrent leur vie à lutter contre la pauvreté.
– Elie ELALOUF , Haver Knesset, Président de la commission des affaires sociales, du travail et de la santé
– Gilles DARMON, Président de l’association LATET, l’une des plus importantes associations caritatives d’ISRAËL avec 23.000 volontaires dans tout le pays.

Merci également de bien vouloir informer et mobiliser tous tes contacts et les inciter à participer à cette conférence.

Bien amicalement

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Flyer Eli Elalouf
Flyer Eli Elalouf

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Les Juifs vus par un Musulman

Aldo Sterone nous parle des Juifs.

Moïse est cité 136 fois dans le Coran où il est vénéré.

Aldo nous parle de ses rapports amicaux et de travail avec des Juifs, et sa rencontre avec le Shabbat, il a été payé rubis sur l’ongle par les Juifs, alors que les travaux effectués pour ses coreligionnaires n’ont que très rarement été payés comme convenu.

Il compare le comportement de certains mauvais Juifs avec celui des terroristes qui égorgent leurs victimes et le montrent dans des vidéos, et dit qu’il n’y a pas photo, les peccadilles de ces quelques Juifs ne souffrent pas la comparaison avec les atrocités commises au nom d’Allah.  

A écouter et déguster savoureusement.

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