
Quelle armée au monde téléphone avant de bombarder?
26 juillet 2014Visionnez la vidéo où vous entendez Tsahal téléphoner au directeur de l’hôpital pour s’assurer au prix de nombreuses question que l’hôpital est vide de toute présence humaine, cet hôpital est le siège d’une cellule terroriste Hamassite, des informations vérifiées précisent l’accumulation de nombreux missiles et autre armement.
Bombardement d’un hôpital vide d’où le Hamas tirait sur Tsahal
En deuxième partie une vidéo où l’on voit les nervis du Hamas bastonner la population civile pour l’obliger à servir de bouclier humain.
Les Occidentaux ont plaidé pour une trêve humanitaire de douze heures acceptée par les deux parties, afin d’enterrer les morts et d’évacuer les blessés.
Cette trêve de 12 heures a été rompue à l’initiative du Hamas par trois tirs de mortier sur Eshkol ville israélienne proche de Gaza.
Cette trêve à la demande des Occidentaux qui vient d’être prolongée jusqu’à minuit en vue d’obtenir un cessez-le-feu, vient d’être rompue par d’autres tirs de roquettes.
Nous retombons donc dans un schéma déjà développé dans ces colonnes.
Vous comprendrez aisément en suivant le lien ci-dessus pourquoi nous ne voulons à aucun prix d’une prolongation de la trêve tant que l’affaire n’aura pas été définitivement réglée, le cessez-le-feu profite au Hamas pour se ressourcer ou s’échapper.
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Nous voyons Laurent Fabius venir nous expliquer qu’il faut arriver à un cessez-le-feu plaignant les populations civiles qui sont bombardées (desquelles parlent-il?) Nous sommes foncièrement opposés à une prolongation de cette trêve « humanitaire », les Hamassites ne sont pas des être humains, ils se moquent totalement de la vie des populations civiles qu’ils prennent en otage.
Il convient d’abord d’obtenir une reddition sans condition du Hamas et du Djihad islamique, la zone doit être totalement démilitarisée, les tunnels mis hors d’état de fonctionner.
Combien de pays se sont opposés à la volonté annoncée du Hamas d’éradiquer Israël?
Israël a réglé l’affaire seul, Il lui reviendra en tant que vainqueur de cette guerre contre le Hamas et pas contre Gaza, de dicter ses conditions pour la suite de l’histoire.
Israël ne se mêle pas des affaires françaises au Mali ou en Centrafrique
Les Occidentaux et l’Onu ne seront pas invités au tour de table, ils n’ont pas été partie prenante de ce conflit, le Hamas voulait éradiquer Israël, personne n’est venu s’y opposer, une antenne Consulaire française était même ouverte à Gaza, pour représenter la France auprès de combien de Français? Alors que tous les Occidentaux prétendent ne pas vouloir discuter avec le Hamas terrorise.
Voici la vidéo annoncée sur la bastonnade des populations civiles lire le billet de Wafa Sultan:
Le Hamas force les civils à rester pour servir de bouclier humain
Images choquantes! On y voit pour la première fois les ordures du Hamas en action contre leur propre peuple, les empêchant par la force de fuir les bombardements israéliens visant des caches d’armes afin de mourir en martyrs. Et certains civils palestiniens tentent de se révolter contre leur utilisation comme boucliers humains par le Hamas.
Le meilleur moment de la vidéo arrive à la fin… quand une femme gazaoui dit à un nervi du Hamas qu’ils sont bien « pires que les Juifs ».
Ces images ont été tournées et diffusées par la télé allemande. Aucune chaîne de télé française n’a accepté de les diffuser.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour https://eli-d-ashdod.com/
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d'Ashdod pour Eli d'Ashdod.com
Quelle armée au monde téléphone avant de bombarder? http://t.co/JZdrsDYmMJ
Ne pas s’arrêter maintenant
Sans une manÅ“uvre diplomatique menée en parallèle à la grande opération de l’armée israélienne, la bataille contre le Hamas ne finira pas dans un avenir proche. Même si un cessez-le feu est signé dans les prochains jours, il ne sera alors que le reflet de l’absence d’une véritable victoire militaire et il faudra déclencher le chronomètre avant le prochain conflit.
De toute évidence, Israël a une puissance militaire immensément plus importante et une meilleure endurance que le Hamas. Le front intérieur est prêt à en payer le prix. Le système Dôme de fer fait un excellent travail, et contribue ainsi à l’endurance de la population.
Mais le problème le plus significatif est que le Hamas n’a rien à perdre, précisément parce qu’il est dans un très mauvais état. Il est en conflit avec l’Égypte, il n’a pas de véritables alliés en dehors du Qatar et de la Turquie, il est incapable de payer les salaires des habitants et des travailleurs du secteur public, et le sentiment d’isolement et de siège est plus profond que jamais.
Le Hamas prêt à payer un prix élevé (surtout en victimes parmi son propre peuple) afin de rabattre les cartes stratégiques.
Par ailleurs, en plus de la sévère réponse israélienne, le dôme de fer a empêché jusqu’à ce jour le Hamas d’accomplir une véritable réalisation, malgré la quantité et la longue portée des tirs de roquettes.
Tout ce qu’il lui reste à faire, c’est de s’appuyer sur ses capacités de tirs de missiles de son arsenal souterrain tout en cherchant désespérément un « exploit » stratégique : l’infiltration d’une localité et le massacres de civils, enlever un soldat ou des civils, ou tirer une roquette qui ferait de nombreuses victimes israéliennes.
Il me semble que le Hamas sera d’accord pour relâcher considérablement ses conditions pour un cessez-le-feu, s’il se rend compte que sa direction dans la bande de Gaza est un véritable danger.
Israël a la possibilité de poursuivre et même d’élargir l’opération au sol dans les zones peuplées, où se cachent les dirigeants du Hamas et les lance-roquettes. Une telle pression militaire pourrait réduire considérablement et même stopper les tirs de roquettes de façon significative, et créer plusieurs options pour mettre fin à la crise, allant jusqu’à une occupation totale et un nettoyage de la bande pour mettre fin à l’opération dès que le Hamas commencerait à sentir la pression et accepterait d’arrêter les hostilités.
Une telle opération pourrait être menée en deux étapes : la première serait la prise de contrôle du territoire, qui pourrait durer plusieurs semaines ; la deuxième étape serait le nettoyage de la zone, dans laquelle nous pourrions neutraliser des terroristes et les tunnels, ce qui peut pourrait durer entre plusieurs mois et une ou deux années.
Le fait que le gouvernement hésite à faire rentrer les soldats plus en profondeur dans les zones de population surpeuplées de la bande est compréhensible. C’est un défi militaire, humanitaire et politique du plus haut niveau. Une telle initiative aura également à un prix très douloureux en vies humaines.
Néanmoins, je crois que de telles mesures seraient prometteuses, même si nous devons faire face à une rude opposition, car l’endurance de l’aile militaire du Hamas dans un affrontement direct avec l’armée israélienne est beaucoup plus faible que les gens ne le pensent.
L’absence d’une telle opération créera une situation de statu quo très problématique, ce qui signifie des effusions de sang supplémentaires, sans capacité de mettre fin à la bataille.
Le temps passant, l’opinion publique israélienne ne jugera les réalisations du gouvernement ni selon le nombre de maisons détruites du Hamas et du Djihad islamique, ni en fonction du nombre de tunnels détruits, ou du nombre de lanceurs bombardés, ni selon le ratio de pertes entre la population palestinienne et la population israélienne.
Le public israélien veut d’abord et avant tout un cessez-le-feu stable et à long terme, qui inclue une solution stratégique contre la menace des roquettes et des tunnels.
Israël doit effectuer une avancée très importante avant que les complications ne commencent, comme la relance de fronts supplémentaires en Judée et Samarie, des manifestations de citoyens arabes d’Israël, ou même une poussée sur le front nord.
En outre, le crédit international relatif dont l’État d’Israël bénéficie aujourd’hui peut s’évaporer rapidement.
Le retrait des forces terrestres de l’enclave serait perçu comme une victoire du Hamas et n’apporterait pas la fin proche de la crise ; laisser les forces dans une zone inhabitée la rendrait vulnérable aux attaques et n’affecterait pas la situation; et étendre l’opération aux bastions du Hamas dans les zones peuplées créerait une pression importante sur le Hamas, mais elle impliquerait de nombreuses victimes.
Je crois que la meilleure option est d’élargir l’opération terrestre dans les quartiers de Khan Younis et de Rafah.
C’est un territoire qui peut être militairement isolé et déconnecté du nord de la bande, et l’armée israélienne peut prendre ces localités et les vider d’infrastructures terroristes. Une telle opération affecterait également le moral du Hamas.
Dans le même temps, nous devons accroître la pression sur le nord de la bande par la terre et les airs, mais sans approfondir l’invasion dans les zones peuplées.
La stratégie appropriée dans la situation actuelle est bicéphale : sur le plan militaire, nous devons continuer à augmenter la pression de manière significative, et dans le même temps, nous devons construire un mouvement diplomatique important. De la même façon que la pression militaire sur le Hamas devient plus efficace, la capacité de mettre en œuvre une démarche diplomatique devrait croître.
L’initiative diplomatique doit être basée sur trois facteurs importants. Le premier et le plus essentiel est l’Égypte, le deuxième et le plus souhaitable est l’Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas, et le troisième, le plus crucial, est la Ligue arabe et la communauté internationale dirigée par les États-Unis.
L’initiative doit être fondée sur un accord avec la logique suivante : « Plus on démilitarise, plus les gestes et les incitations dans la bande doivent être importants. »
Sous cette initiative, qui a pour but la démilitarisation de la bande, Israël et l’Égypte allégeront et lanceront un vaste programme de réhabilitation.
Le Hamas sera forcé d’expliquer pourquoi il refuse d’accepter une telle offre généreuse, qui garantit une grande amélioration de la situation de la bande et un renforcement de sa légitimité internationale.
Une telle initiative diplomatique pourrait servir plus tard comme une base importante pour faire avancer un accord régional qui règlera ensuite le conflit israélo-palestinien.
Selon mes connaissances avec des dirigeants politiques du Hamas hédonistes et détachés, le parti islamiste ne serait pas disposer à accepter une telle proposition.
Israël devra se montrer résolu et poursuivre son opération, et même occuper la bande de Gaza et détruire le Hamas
Israel doit utiliser Dôme de Fer contre le terrorisme et tendre sa main vers un accord diplomatique.
Yuval Diskin est un ancien chef du Shin Bet. Cet article est publié avec l’aimable autorisation du quotidien israélien « Yedioth Aharonot ».
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[…] l’armée s’inquiète au préalable que les lieux ont été évacués par les civils en téléphonant aux responsables des bâtiments […]
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