Discours majeur d’un Arabe, Ambassadeur d’Israël à Oslo, le 27 Septembre 2014

George Deek Ambassadeur d'Israël à Oslo
George Deek Ambassadeur d’Israël à Oslo

Discours de George Deek, Ambassadeur d’Israël à Oslo, le 27 Septembre 2014

(George Deek est un arabe israélien, chrétien orthodoxe) Traduit de l’anglais par Sr Isabelle Gelain

Quand je me promène dans les rues de ma ville natale, Jaffa, je me souviens de l’année 1948.

Les allées de la Vieille Ville, les maisons du quartier d’Ajani, les filets de pêche au port tout semble raconter différentes histoires sur l’année qui a changé ma cité d’autrefois.

Une de ces histoires concerne l’une des plus anciennes familles de cette cité « la famille Deek, la mienne. Avant 1948, mon grand‐père George, dont on m’a donné le nom, travaillait comme électricien, dans la Compagnie d’électricité Rotenberg. Il ne s’intéressait pas beaucoup à la politique. Et comme Jaffa était une ville mixte, il avait naturellement des amis juifs. En fait, ses amis, à la compagnie d’électricité, lui parlaient même en Yiddish, faisant de lui le premier Arabe qui ait jamais parlé cette langue.

En 1947, il se fiança a Vera, ma grand-mère, et ensemble, ils firent des plans pour bâtir une famille dans la ville même où la famille Deek vivait depuis environ 400 ans, Jaffa. Mais quelques mois après, ces plans furent modifiés, littéralement, du jour au lendemain.

Quand l’ONU approuva l’établissement d’Israël, et que l’Etat d’Israël fut créé quelques mois plus tard, les dirigeants arabes avertirent les Arabes que les Juifs étaient en train de se préparer à les tuer s’ils restaient chez eux, et se servirent du massacre de Deir Yassim comme exemple.

Ils disaient à chacun « Quittez vos maisons et courez au loin ». Ils disaient qu’il ne leur faudrait que quelques jours, grâce auxquels ils promettaient qu’avec 5 armées, ils détruiraient l’Israël nouveau‐né.

Ma famille, horrifiée par ce qui pouvait arriver, décida de s’enfuir, avec beaucoup d’autres.

Un prêtre s’était précipité dans la maison de la famille Deek, et se hâta d’y marier George et Vera, mes grands‐parents.

Ma grand-mère n’eut même pas la moindre chance de mettre des vêtements appropriés.

Après ce mariage express, toute la famille fila au nord vers le Liban.

Mais quand la guerre fut terminée, les Arabes n’avaient pas réussi à détruire Israël.

Ma famille était de l’autre côté de la frontière. Et il sembla que le destin des frères et sœurs de la famille Deek était de se disperser autour du globe.

Aujourd’hui, j’ai de la famille en Jordanie,en Syrie, au Liban, a Dubaï, en Angleterre, aux Etats‐Unis, au Canada, en Australie, et ailleurs encore.

L’histoire de ma famille n’est qu’une histoire et probablement pas la pire parmi toutes les histoires tragiques de l’année 1948.

Et pour être tout à fait franc, vous n’avez pas besoin d’être anti-israélien pour reconnaitre la désastreuse humiliation des Palestiniens en 1948, qu’on nomme la Nakba.

Le fait que je skype avec des parents au Canada qui ne parlent pas l’arabe, ou à un cousin dans un pays arabe qui n’a pas encore la citoyenneté du pays, bien qu’il appartienne à la 3ème génération est un témoignage vivant des conséquences de la guerre.

D’après l’ONU, 711.000 Palestiniens ont été déplacés, nous avons déjà entendu cela les uns ont fui, les autres ont été expulsés de force.

Au même moment, à cause de la création d’Israël 800.000 Juifs furent obligés de quitter le monde arabe, le laissant majoritairement vide de Juifs comme nous l’avons déjà entendu, des atrocités ne furent pas rares des 2 côtés.

Mais il semble que ce conflit ne fut pas le seul au cours du 19ème et du 20ème siècle, qui aboutit à des expulsions et à des transferts.

De 1821 à 1922, 5 millions de Musulmans furent expulsés d’Europe, en majorité vers la Turquie.

Dans les années 1990, la Yougoslavie explosa, faisant environ 100.000 morts et environ 3 millions de personnes déplacées

De 1919 à 1949, pendant l’opération Visa entre la Pologne et l’Ukraine, 100.000 personnes sont mortes et 1,5 million ont été déplacées

Après la 2ème guerre mondiale et la convention de Potsdam, entre 12 et 17 millions d’Allemands ont été déplacés.

A la création de l’Inde et du Pakistan, environ 15 millions de personnes ont été transférées.

Cette tendance existe aussi au Moyen-Orient, par exemple le déplacement de 1,1 million de Kurdes par les Ottomans.

2,2 millions de Chrétiens expulsés d’Irak.

Et puisque nous parlons aujourd’hui, des Yazidis, Bahaï, Kurdes, Chrétiens et même Musulmans sont assassinés, et à raison de 1000 par mois, expulsés, suivant la progression de l’Islam radical. Les chances de l’un ou l’autre de ces groupes de revenir chez eux, est à peu près inexistante. Alors, pourquoi est-ce ainsi?

Pourquoi les tragédies des Serbes, des Musulmans d’Europe, des réfugiés Polonais ou des Chrétiens d’Irak ne sont-elles pas commémorées?

Comment le déplacement des Juifs du monde arabe est-il tout à fait oublié, tandis que la tragédie des Palestiniens, la Nakba, est toujours vivante dans la politique actuelle? Il me semble qu’il en est ainsi, parce que la Nakba a été transformée d’un désastre humanitaire en une offensive politique.

La commémoraison de la Nakba n’est plus le souvenir de ce qui est arrivé mais le ressentiment envers seulement l’existence de l’Etat d’Israël c’est démontré très clairement dans le choix de la date de commémoraison.

La date de la Nakba n’est pas le 9 avril, jour du massacre de Deir Yassin, ni le 13, de l’expulsion de Lod.

Le jour de la Nakba a été fixe au 15 mai, le lendemain du jour où Israël a proclame son Indépendance.

Par cela, le leadership palestinien a déclaré que le désastre de la Nakba n’était pas l’expulsion, les villages abandonnés, ou l’exil, la Nakba à leurs yeux est la création d’Israël. Ils sont affectés moins par la catastrophe humanitaire qui a atteint les Palestiniens, que par la recréation de l’état juif.

Autrement dit, ils ne souffrent pas du fait que mes cousins soient Jordaniens, ils souffrent de ce que je sois Israélien!

En agissant ainsi, les Palestiniens sont devenus esclaves de leur passé, retenus captifs dans les chaines du ressentiment, prisonniers d’un monde de frustration et de haine. Mais, chers amis, la vérité simple est que, pour ne pas être réduits à la tristesse et à l’aigreur, nous devons regarder plus loin. Pour le dire plus clairement, pour effacer le passé, vous avez d’abord à assurer l’avenir.

C’est quelque chose que j’ai appris de mon maitre, Avraham Nov. Quand j’avais 7 ans, j’ai fait partie d’une bande de la communauté arabe-chrétienne de Jaffa.

C’est là que j’ai rencontré, mon professeur de musique qui m’apprenait à jouer de la flûte et ensuite de la clarinette. Je réussissais bien.

Avraham est un survivant de l’holocauste, et toute sa famille a été assassinée par les Nazis. Il est le seul qui ait réussi à survivre, parce qu’un officier nazi le trouvait doué pour l’harmonica ; il le prit chez lui pendant la guerre pour distraire ses invités.

A la fin de la guerre, il se retrouva tout seul. Il aurait pu s’asseoir, pleurer et hurler contre ce crime, le plus grand de l’homme contre l’homme dans l’histoire, et sur le fait qu’il restait tout seul. Mais il ne fit rien de tout cela, il regarda devant lui, et non en arrière. Il choisit la vie, et non la mort. L’Espoir, plutôt que le désespoir.

Avraham vint en Israël, se maria, construisit une famille, et commença à enseigner ce qui lui avait sauvé la vie la musique. Il fut professeur de musique de centaines et de milliers d’enfants dans toute la région, Et quand il vit la tension entre Arabes et Juifs, ce survivant de l’Holocauste décida d’enseigner l’espoir à travers la musique, à des centaines d’enfants arabes comme moi. Les survivants de l’Holocauste sont parmi les gens les plus extraordinaires que vous puissiez trouver.

J’ai toujours été curieux de comprendre comment ils étaient capables de survivre, connaissant ce qu’ils avaient connu, sachant ce qu’ils avaient vu. Mais pendant les 15 ans ou j’ai été son élève, il ne m’a jamais parlé de son passé excepte une fois quand je lui ai demandé de me le faire connaitre.

Ce que j’ai réussi à comprendre, c’est qu’Avraham n’était pas le seul, et que beaucoup de survivants de l’Holocauste ne parlaient pas de ces années, de l’holocauste, même à leur famille, parfois pendant des dizaines d’années ou même toute leur vie. Seulement, quand ils ont acquis la certitude que le futur leur permettait de regarder en arrière vers le passé…

Seulement quand ils ont construit un temps d’espoir, ils se sont permis à eux-mêmes de rappeler les jours du désespoir. Ils construisent le futur dans leur ancienne-nouvelle maison, l’état d’Israël. Et dans les ombres de cette immense tragédie, les Juifs ont été capables de bâtir un pays qui est en tète du monde pour la médecine, l’agriculture et la technologie Pourquoi ? Parce qu’ils regardent en avant.

Mes amis, ceci est une leçon pour tous ceux qui veulent surmonter une tragédie y compris les Palestiniens.

Si les Palestiniens souhaitent racheter leur passé, ils ont besoin de se fixer d’abord sur la sécurité de leur avenir, en construisant un monde tel qu’il doit être, tel que nos enfants méritent qu’il soit.

Et la 1ère étape dans cette direction sans aucun doute est de mettre fin au traitement honteux des réfugiés Palestiniens.

Dans le monde arabe,les réfugiés palestiniens, y compris leurs enfants, petits-enfants et même arrière-petits-enfants, ne sont pas encore installés, sont agressivement discriminés, et dans bien des cas, on leur refuse la citoyenneté et les droits humains de base.

Pourquoi mes parents du Canada sont-ils citoyens canadiens, alors que ceux de Syrie, Liban ou des pays du Golfe qui sont nés là et ne connaissent aucune autre patrie sont encore considérés comme réfugiés ?

En clair, ce traitement des Palestiniens dans les pays arabes est la pire oppression qu’ils n’aient jamais expérimentée.

Et ceux qui collaborent à ce crime ne sont rien d’autre que la communauté internationale et l’ONU.

Plutôt que de faire leur travail et d’aider les réfugiés à se construire une vie, la communauté internationale alimente le récit de la situation de victime.

Tandis qu’il y a une seule institution en charge de tous les réfugiés du monde l’UNHCR une autre institution a été créée pour s’occuper uniquement des Palestiniens, l’UNRWA.

Ce n’est pas une coïncidence tandis que le but de l’UNHCR est d’aider les réfugiés à se créer une nouvelle vie, à se donner un avenir et à en finir avec le statut de réfugiés, le but de l’UNRWA au contraire est de préserver leur statut de réfugiés et de les éloigner de la possibilité de commencer une nouvelle vie.

La communauté internationale ne peut pas sérieusement s’abstenir de régler le problème des réfugiés, quand il collabore avec le monde arabe en traitant les réfugiés comme des pions politiques, en les privant des droits humains élémentaires.

Partout ou les réfugiés palestiniens ont joui de droits égaux, ils ont prospéré et apporté à leur société, en Amérique du Sud , aux USA et même en Israël.

En fait, Israël est un des rares pays qui a donné automatiquement une pleine citoyenneté et l’Egalité pour tous les Palestiniens qui y étaient après 1948.

Et nous voyons bien les résultats, malgré tous les défis, les citoyens arabes d’Israël se construisent un avenir.

Les Arabes israéliens sont les Arabes les mieux éduqués au monde, avec les meilleurs niveaux de vie et les meilleures chances dans la région. Des Arabes officient à la Cour Suprême.

Quelques-uns des meilleurs docteurs en Israël sont Arabes, exerçant dans presque tous les hôpitaux du pays. Il y a 13 Arabes membres du Parlement, qui apprécient de pouvoir critiquer le gouvernement, un droit dont ils usent au maximum protégés par la liberté de parole. Des Arabes gagnent des spectacles de télé-réalité. Vous pouvez même trouver des Arabes diplomates et l’un d’entre eux est là, devant vous.

Aujourd’hui, quand je me promène dans les rues de Jaffa, je vois les vieux bâtiments et le vieux port.

Mais je vois aussi des enfants allant à l’école et à l’Université, je vois des affaires florissantes et je vois une culture vibrante.

En bref, malgré le fait que nous avons encore une longue route devant nous en tant que minorité, nous avons un avenir en Israël.

Ceci m’amène au point suivant Le moment est venu de mette un terme à la culture de la haine et de l’excitation car l’antisémitisme, à mes yeux, est une menace pour les Musulmans et les Chrétiens, autant que pour les Juifs.

Je suis allé en Norvège, il y a juste 2 ans, et là, pour la 1ère fois, j’ai eu affaire avec des Juifs en tant que communauté minoritaire, J’ai plutôt…. l’habitude de les voir comme majoritaires.

Et je dois dire, cela parait vraiment familier. J’ai grandi dans un environnement semblable, dans la communauté arabe-chrétienne de Jaffa. Je faisais partie des Chrétiens‐orthodoxes, qui sont une composante de la communauté chrétienne, elle-même minoritaire chez les Arabes, dans l’Etat juif d’Israël, parmi les Musulmans du Moyen-Orient. C’est comme ces poupées russes, vous en ouvrez une grande et il y en a une plus petite dedans. Je suis la plus petite.

Un Juif en Norvège ou un Arabe en Israël, étant minoritaire, signifie que vous faites toujours partie d’une petite communauté ou chacun se soucie de l’autre et aide chacun.

C’est une belle chose de savoir que malgré tout, vous avez toujours une communauté qui s’occupera de vous. Le fait d’appartenir a une communauté minoritaire a été pour moi une bénédiction toute ma vie.

Mais, chers Amis, la vie d’une minorité est aussi une vie de lutte continuelle en vue d’un bon traitement. Parfois, vous êtes discriminés et vous pouvez même être victime de crime de haine.

Même dans une démocratie comme Israël, être une minorité arabe n’est pas toujours facile. Il y juste un an, un groupe de petites brutes « price-tag » est entré dans le cimetière arabe chrétien a Jaffa, et ils ont profané les tombes en écrivant «mort aux Arabes», et l’une des tombes de ce cimetière était celle de mon père.

Être minoritaire, mes amis, est un défi partout, parce que, être minoritaire, c’est être différent.

Et aucune nation n’a jamais payé un prix plus élevé pour être minoritaire, pour être diffèrent, que le peuple juif.

L’histoire du peuple juif a introduit beaucoup de mots dans le vocabulaire humain, des mots comme expulsion, conversion forcée, inquisition, ghetto, pogrom, pour ne pas mentionner le mot holocauste.

Le rabbin Lord Jonathan Sacks explique avec précision que les juifs ont souffert à travers les âges parce qu’ils étaient différents. Parce qu’ils étaient la minorité non-chrétienne d’Europe la plus significative. Et aujourd’hui la plus significative non-musulmane au Moyen‐Orient.

Mais, chers amis, en réalité, ne sommes-nous pas tous différents? La vérité, c’est que: être diffèrent, c’est ce qui fait de nous de êtres humains. Chaque personne, chaque culture, chaque religion est unique et, par là même, irremplaçable.

Et une Europe, un Moyen-Orient qui n’a pas de place pour les Juifs n’a pas de place pour l’humanité.

Mes amis, n’oublions pas : L’antisémitisme peut commencer avec les Juifs, mais ne finit pas avec les Juifs.

Les Juifs n’ont pas été les seuls à être convertis de force, sous l’Inquisition.

Hitler s’assura que les tsiganes et les homosexuels, entre autres, souffrent comme les Juifs.

Et c’est ce qui se passe maintenant de nouveau, en ce moment au Moyen-Orient.

Le monde arabe semble avoir oublié que ses plus beaux jours durant les 1.400 ans passés ont été l’époque où il a montré tolérance et ouverture envers ceux qui étaient différents.

Le génial mathématicien Ibn Musa el-Khawazmi était Ouzbek.

Le grand philosophe Rumi était Perse.

Le glorieux leader Salah a-din était Kurde.

Le fondateur du nationalisme arabe était Michel Aflak un Chrétien.

Et celui qui seul apporta la redécouverte arabe de Platon et d’Aristote au reste du monde fut Maimonide un Juif.

Mais plutôt que de revivre l’approche féconde de la tolérance, la jeunesse arabe est éduquée à haïr les Juifs, à l’aide de la rhétorique antisémite de l’Europe médiévale mêlée a un islamisme radical.

Et une fois encore, ce qui a commencé comme de l’hostilité envers les Juifs est devenu hostilité envers tous ceux qui sont différents.

Rien que la semaine dernière, plus de 60.000 Kurdes ont fui de la Syrie vers la Turquie, par peur d’être exterminés. Le même jour, 15 Palestiniens de Gaza se sont noyés dans la mer en essayant d’échapper aux griffes du Hamas.

Les Bahaï et les Yazidis vivent dans la crainte.

Et par-dessus tout, le nettoyage ethnique des Chrétiens du Moyen-Orient est le pire crime contre l’humanité du 21ème siècle.

En seulement 2 décades, les Chrétiens, comme moi ont, été réduits de 20% de la population du Moyen-Orient à moins de 4% aujourd’hui.

Et quand nous voyons que les principales victimes de la violence islamiste sont des Musulmans, il devient clair pour tous qu’à la fin du jour, la haine détruit celui qui hait.

Ainsi, amis, si nous souhaitons réussir à protéger notre droit à la différence, si nous désirons avoir un avenir dans cette région, je crois que nous devons nous tenir tous ensemble Juifs, Musulmans et Chrétiens.

Nous devons lutter pour le droit des Chrétiens à vivre leur foi sans peur, avec la même passion que nous apportons à lutter pour le droit des Juifs à vivre sans peur.

Nous lutterons contre l’islamophobie, mais nous avons besoin que nos partenaires Musulmans se joignent à notre lutte contre la christianophobie et la judéophobie.

Parce que la chose en danger est notre humanité commune.

Je sais que cela peut paraitre naïf.

Mais je crois que c’est possible, et la seule chose qui nous sépare d’un monde plus tolérant est la peur.

Quand le monde change, les gens commencent à avoir peur de ce que l’avenir réserve.

Cette peur fait que les gens se réfugient eux-mêmes dans une position passive de victimes, rejetant la réalité, et regardant chacun pour le blâmer de mettre en question tout cela.

C’est vrai aujourd’hui comme c’était vrai en 1948.

Le monde arabe peut surmonter cette erreur, mais cela demande le courage de penser et d’agir différemment.

Ce changement demande que les Arabes comprennent qu’ils ne sont pas des victimes sans aide.

Cela leur demande de s’ouvrir à l’autocritique et de se sentir eux-mêmes responsables.

Jusqu’à ce jour, il n’y a pas un seul livre dans le monde arabe qui ne mette en question la faute historique d’avoir rejeté la création de l’Etat d’Israël.

Aucun Arabe cultive ne s’est présenté pour dire que si les Arabes avaient accepté l’idée d’un état juif, il y aurait eu 2 états, il n’y aurait pas eu de guerre, et il n’y aurait pas eu de problèmes de réfugiés.

Je vois des Israéliens, comme Benny Morris qui est avec nous aujourd’hui, qui essaient de défier les discours de leurs chefs en Israël, prenant personnellement des risques dans la quête d’une vérité qui n’est pas toujours confortable pour le peuple.

Mais je n’arrive pas à lui trouver d’équivalent chez les Arabes

Je n’arrive pas à avoir un débat remettant en cause la sagesse de la conduite du Mufti de Jérusalem Hadj Amin al-Hussaini, ou bien de la guerre superfétatoire menée par la Ligue arabe en 1948, ou des autres guerres contre Israël, dans les années qui ont suivi jusqu’à maintenant, je n’arrive pas à trouver une autocritique dans le courant principal actuel sur l’usage du terrorisme, sur la lancée de la 2ème intifada et le rejet d’au moins 2 offres Israéliennes dans les 15 dernières années pour mette fin au conflit.

La réflexion sur soi-même n’est pas une preuve de faiblesse, c’est un signe de force.

Cela renforce notre capacité à surmonter la peur et faire face à la réalité.

Cela nous demande d’examiner sincèrement nos décisions et de prendre nos responsabilités à leur égard.

Ce sont seulement les Arabes eux-mêmes qui peuvent changer leur réalité.

En cessant de s’apitoyer sur des théories de conspiration et de blâmer des pouvoirs extérieurs l’Amérique, les Juifs, l’Ouest ou ailleurs pour tous les problèmes.

En apprenant à partir des fautes du passé en prenant des décisions plus sages à l’avenir. Il y a 2 jours, le Président américain Obama se tenait sur le podium de l’ONU et, face à l’assemblée, il a dit:«Le devoir de rejeter le sectarisme et l’extrémisme est un devoir de génération un devoir pour les peuples du Moyen-Orient eux-mêmes. Aucun pouvoir extérieur ne peut apporter la transformation des coeurs et des esprits. »

Plus tard, j’ai lu un article très intéressant de Lord Sacks sur la rivalité des frères dans la Bible.

Il y a 4 histoires de frères rivaux dans le livre de la Genèse, Caïn et Abel, Isaac et Ismaël, Jacob et Esaü, Joseph et ses frères.

Chaque histoire à une fin différente:

Pour Caïn et Abel, Abel meurt.

Pour Isaac et Ismaël, ils se tiennent tous deux ensemble aux funérailles de leur père.

Pour Esaü et Jacob, ils se rencontrent, s’embrassent et vont chacun leur chemin.

Mais le cas de Joseph se termine différemment.

Pour ceux qui ne sont pas très au courant de cette histoire, Joseph était le 11ème des 12 fils de Jacob. A un certain moment par jalousie, ses frères décident de le mettre en esclavage. Cependant après un certain temps, Joseph s’éleva jusqu’à devenir le second plus puissant homme d’Egypte, à côté de Pharaon.

Quand une famine sévit en Canaan, Jacob, le père de Joseph ainsi que ses frères vinrent en Egypte.

Et là, au lieu de les punir pour ce qu’ils lui avaient fait, Joseph décida de pardonner à ses frères. C’est le premier événement de pardon rapporté dans la littérature. Joseph pourvoit à tous les besoins de ses frères. Ils prospèrent, ils croissent et deviennent une grande nation.

A la fin de l’histoire, Joseph dit à ses frères «Vous avez essayé de me nuire, mais Dieu a changé cela en bien, pour accomplir ce qui se fait maintenant, le salut de vies humaines».

Par cela il signifiait que, par nos actes actuels, nous pouvons préparer le futur et ainsi racheter le passé.

Juifs et Palestiniens, nous pouvons ne pas être frères dans la foi, mais nous pouvons être frères de destin, et je crois qu’exactement comme dans cette histoire de Joseph, en faisant des choix justes, en choisissant de nous focaliser sur le futur, nous pouvons racheter notre passé.

Les ennemis d’hier peuvent être les amis de demain.

C’est arrivé entre les Israéliens et les Allemands, Israël et l’Egypte, Israël et la Jordanie. Il est temps de commencer à laisser passer un rayon d’espoir dans les relations entre les Israéliens et les Palestiniens, afin que nous puissions mettre une fin à la répétition des griefs, et nous fixer sur notre avenir et les exaltantes possibilités que cela nous apporte à tous, si nous osons le faire. Je n’ai pas encore raconte la fin de l’histoire de ma famille en 1948.

Après un long voyage vers le Liban, la plupart du temps à pied, mes grands-parents, George et Vera. atteignirent le Liban. Ils y restèrent plusieurs mois.

Ma grand-mère donna alors naissance à son premier fils, mon oncle Sami.

Quand la guerre prit fin, ils se rendirent compte qu’ils avaient été trompés.

Les Arabes n’avaient pas gagné, comme promis.

Et en même temps, les Juifs ne tuaient pas tous les Arabes, comme on leur avait dit que cela arriverait.

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Mon grand-père regarda autour de lui et ne vit rien qu’une impasse dans sa vie de réfugié. Il regarda sa jeune femme Vera, à peine 18 ans, et son fils nouveau-né, et il sut que, coincé dans un coin de son passé sans capacité de regarder en avant, Il n’y avait pas d’avenir pour sa famille. Tandis que ses frères et sœurs voyaient leur avenir au Liban et dans d’autres pays arabes et occidentaux, il prit une décision différente. Il désirait rentrer à Jaffa, sa ville natale.

Comme il avait travaillé avec des Juifs auparavant et qu’il s’entendait bien avec eux il n’avait pas subi le lavage de cerveau de la haine.

Mon grand-père George fit ce que peu d’autres avaient osé, il se joignit a ceux que sa communauté voyait comme leurs ennemis. Il fut soutenu par un de ses anciens amis de la compagnie d’électricité et demanda son aide pour rentrer.

Et cet ami dont j’ai entendu parler par les récits de mon père et dont je n’ai jamais su le nom, non seulement fut capable et décidé à aider mon grand-père a rentrer, mais par un extraordinaire geste de générosité il l’aida même a retrouver son ancienne place de travail dans ce qui était devenu la compagnie Israélienne d’électricité.

Ce qui fit de lui l’un des quelques Arabes travaillant là.

Aujourd’hui, parmi mes frères, sœurs et cousins, nous avons des comptables, des professeurs, des agents d’assurance, des ingénieurs High-tech, des diplomates, des directeurs d’usine, des professeurs d’Université, des docteurs, des avocats, des ingénieurs-conseils, des responsables de compagnies israéliennes haut niveau, des architectes et même des électriciens.

La raison pour laquelle ma famille a réussi dans la vie, la raison pour laquelle je me trouve devant vous comme diplomate d’Israël, et non comme un réfugié palestinien du Liban, c’est parce que mon grand-père a eu le courage de prendre une décision impensable pour les autres.

Plutôt que de se laisser aller au désespoir, il sut trouver l’espérance là où personne n’osait la chercher. Il choisit de vivre parmi ceux qui étaient considérés comme des ennemis, et d’en faire ses amis.

Pour cela, moi‐même et ma famille lui vouons ainsi qu’à ma grand-mère, une éternelle reconnaissance.

L’histoire de la famille Deek pourrait être une source d’inspiration pour le peuple palestinien.

Nous ne pouvons pas modifier le passé.

Mais nous pouvons nous construire un avenir pour les prochaines générations, si nous voulons réparer le passé un jour.

Nous pouvons aider les réfugiés à avoir une vie normale.

Nous pouvons être honnêtes sur notre passé et apprendre de nos fautes.

Nous pouvons nous unir Musulmans, Juifs, Chrétiens, pour protéger notre droit à la différence et, en cela, protéger notre humanité.

En fait, nous ne pouvons pas changer le passé, mais si nous faisons tout cela, nous allons changer l’avenir.

Je vous remercie.

Traduction librement adaptée par Eli d’Ashdod.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour http://eli-d-ashdod.com/

 

 

François Hollande veut reconnaître « la Palestine »

Voici le texte voulu par François Hollande ce grand ami d’Israël, qui avait déjà proposé ce texte alors qu’il était dans l’opposition. Aujourd’hui, Monsieur 15% comme tous les dirigeants en perte de vitesse appelle au sursaut national en portant le fer à l’international, on se souvient encore de la Guerre des Malouines déclenchée par la Junte argentine aux prises à une situation économique catastrophique, cette guerre avait précipité la chute de la Junte.

François Hollande
François Hollande

Aujourd’hui, François Hollande suit le même chemin, après ses interventions en Afrique et ses frasques en Syrie, où il soutient l’opposition à Assad en lui envoyant de armes pour ensuite la bombarder dans le cadre de la coalition voulue par un autre illuminé Barak Hussein Obama, ces deux hommes qui joignent également leur incompréhension des dossiers, à leur incompétence, mus uniquement par leur dogme qui a fait la preuve de sa nocivité pendant 70 ans au siècle dernier en URSS.

Voir les commentaires sur cette proposition de résolution en pied d’article. 

PROPOSITION DE RESOLUTION
 
Portant sur la reconnaissance de l’
Etat de Palestine
 
EXPOSE DES MOTIFS
 
Mesdames, Messieurs,
 
Les signataires invitent la France à reconnaître l’Etat de Palestine, aux côtés de l’Etat d’Israël.
 
Le Président de la République, le 28 août 2014, a rappelé l’objectif de notre diplomatie : « Un Etat palestinien démocratique et viable, vivant aux côtés de l’Etat d’Israël en sécurité ».
Notre proposition de résolution est soucieuse de renforcer l’action diplomatique de notre pays, de mettre partout en échec les discours de haine, et de contribuer à l’instauration de la paix au Proche-Orient.
 
Au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, le peuple palestinien est fondé à se doter d’un Etat. En 1947, la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations Unies stipulait que « Les Etats indépendants arabe et juif (…) commenceront d’exister (…) le 1er octobre 1948 au plus tard ». Or la guerre qui a suivi, puis les conflits successifs, n’ont fait que retarder la reconnaissance de l’Etat palestinien.
 
Après les affrontements armés de 1948, 1956, 1967 et 1973, les deux parties avaient négocié, à partir de 1991, un compromis salué par la communauté internationale. Les accords d’Oslo, signés en 1993, ouvraient la voie à une reconnaissance mutuelle de deux Etats, acceptant leur coexistence organisée dans la paix, la sécurité et le dialogue.
 
Ces accords n’ont pas été appliqués. Depuis l’assassinat d’Itzhak Rabin en novembre 1995, le cycle infernal de la violence s’est exacerbé. La colonisation israélienne, notamment autour de Jérusalem, s’est intensifiée au point de compromettre l’existence même d’un Etat palestinien viable. Des attaques ont été menées contre le territoire d’Israël et sa population civile. La signature, le 26 août 2014, d’un énième cessez-le-feu entre Israéliens et Palestiniens n’a pas empêché une dangereuse recrudescence des violences. Ceux qui les attisent, et les instrumentalisent, prolongent les souffrances de leurs peuples. La reconnaissance réciproque des Etats d’Israël et de Palestine contribuera à les atténuer. Elle conditionne la paix et la démocratie dans cette partie du monde.
 
L’impasse des négociations entretient un foyer d’instabilité et affecte dangereusement la paix dans toute la région. La reconnaissance de l’Etat palestinien doit s’accompagner d’un retour salutaire et immédiat à la négociation. Le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Laurent Fabius a proposé un opportun changement de méthode avec la perspective d’une conférence internationale. Nous apportons notre soutien à cette démarche qui devrait s’accompagner de la définition d’une date butoir des négociations et associer les Etats arabes de la région. Cette reconnaissance, qui doit être assortie de garanties de sécurité pour Israël, n’a de sens que si elle conforte le droit et la paix.
 
Fort de son engagement en faveur du droit international et de l’amitié profonde qui lie la France aux peuples israélien et palestinien, notre pays doit reprendre l’initiative et entrainer nos partenaires du Quartet – dont l’Union européenne – dans une nouvelle dynamique. Les voix appelant au déblocage du processus de paix, en particulier en Israël et en Palestine, ne doivent pas rester sans réponse.
 
La France, depuis la présidence de François Mitterrand, tient un langage franc et sincère à ses amis israéliens comme palestiniens. Elle s’est honorée en votant en 2011 en faveur de l’adhésion des Palestiniens comme membres à part entière de l’UNESCO, puis en disant « oui » à l’accession de la Palestine au statut d’Etat non-membre de l’ONU en novembre 2012. Fidèles à cette position historique et équilibrée, les signataires manifestent, par la présente résolution, leur attachement à une reprise sans délai des négociations devant aboutir à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien.
 
PROPOSITION DE RESOLUTION
 
Article unique
 
L’Assemblée nationale,
 
Vu l’article 34-1 de la Constitution
 
Vu l’article 136 du règlement
 
Affirme sa volonté de concourir à l’effort international de paix au Proche-Orient.
 
Constatant la volonté des peuples israélien et palestinien de vivre en paix et en sécurité.
 
Constatant l’échec des tentatives de relance du processus de paix engagées depuis 1991 entre Israéliens et Palestiniens par la communauté internationale.
 
Constatant les menaces pesant sur la solution des deux Etats, et notamment la poursuite illégale de la colonisation dans les territoires palestiniens qui mine la viabilité même d’un Etat palestinien, malgré les capacités institutionnelles dont s’est dotée l’Autorité palestinienne et la reconnaissance que lui a accordée l’Assemblée générale des Nations-Unies.
 
Constatant la montée des tensions à Jérusalem et en Cisjordanie qui menace d’engendrer un nouveau cycle de violence néfaste pour l’ensemble des populations de la région.
 
Souligne que le statu quo est intenable et dangereux car il nourrit les frustrations et la défiance croissante entre les deux parties.
 
Souligne l’impératif d’une reprise rapide des négociations entre les parties selon des paramètres clairs et un calendrier déterminé. Affirme l’urgente nécessité d’aboutir à un règlement définitif du conflit permettant l’établissement d’un Etat démocratique et souverain de Palestine aux côtés d’Israël, les deux pays vivant en paix et en sécurité, sur la base des lignes de 1967 avec Jérusalem pour capitale de ces deux Etats, réciproquement reconnus.
 
Affirme que la solution des deux Etats, promue avec constance par la France et l’Union européenne, suppose la reconnaissance de l’Etat de Palestine aux côtés de celui d’Israël.
 
Invite le Gouvernement français à reconnaître l’Etat de Palestine en vue d’obtenir un règlement définitif du conflit.

Commentaires point par point:

Le Président de la République, le 28 août 2014, a rappelé l’objectif de notre diplomatie : « Un Etat palestinien démocratique et viable, vivant aux côtés de l’Etat d’Israël en sécurité ».

La France n’a pas encore compris que la démocratie est incompatible avec l’Islam!!! Pour qu’il y ait un état de sécurité pour Israël, il faut que le nouvel Etat reconnaisse Israël comme Etat Juif, et non revendiquer un Etat qui sera terroriste et Judenrein comme une plateforme pour récupérer la totalité du territoire d’Israël.

Notre proposition de résolution est soucieuse de renforcer l’action diplomatique de notre pays, de mettre partout en échec les discours de haine, et de contribuer à l’instauration de la paix au Proche-Orient.

Tout est dit dès le premier mot du paragraphe, il s’agit de renforcer l’action diplomatique de la France, cette action qui a consisté à découper artificiellement l’Afrique, et le Moyen-Orient selon des frontières de partage entre la Grande Bretagne et la France, sans tenir compte des populations qui se retrouvent à cheval sur plusieurs pays, tels que les Kurdes 40 millions de descendants des Mèdes éparpillés entre l’Iran, l’Irak, la Syrie, et la Turquie. Ces partages sont la source de tous les conflits actuels, refuser des réajustements de frontières qui règleraient les conflits, c’est s’enferrer dans sa bien pensance colonialiste ou post colonialiste. La France est friande de cet exercice.

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Au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, le peuple palestinien est fondé à se doter d’un Etat. En 1947, la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations Unies stipulait que « Les Etats indépendants arabe et juif (…) commenceront d’exister (…) le 1er octobre 1948 au plus tard ». Or la guerre qui a suivi, puis les conflits successifs, n’ont fait que retarder la reconnaissance de l’Etat palestinien.

Dès 1947, les Arabes ont refusé le partage proposé par l’Assemblée Générale de l’ONU qui n’a valeur que de proposition, partage qui venait en contradiction avec la Conférence de San Rémo qui a force de loi car validée par le Conseil de Sécurité de l’ONU. Les Juifs ont pris le territoire, les Arabes ont refusé. 7 armées arabes ont voulu jeter les Juifs à la mer, elles ont perdu la partie.

Dès 1949, la Jordanie en dépit de toutes les règles internationales a incité des Arabes du Yémen, d’Irak, de Syrie, du Liban, de Jordanie, d’Arabie entre autres à s’implanter en Judée, en Samarie et à Jérusalem vidée de ses Juifs, par la suite elle a annexé la Judée et la Samarie sans réaction de l’opinion internationale bien bruyante aujourd’hui.  Les Arabes se sont entêtés, ils ont déclaré de nombreuses autres guerres qu’ils ont toutes perdues, à la suite de la guerre des 6 jours, la Résolution de Khartoum avec le triple NON des Arabes:

  1. pas de paix avec Israël,

  2. pas de reconnaissance d’Israël,

  3. pas de négociation avec Israël.

Cette Résolution n’a jamais été abrogée, vouloir forcer Israël à négocier avec un autre interlocuteur que les pays signataires de cette Résolution reviendrait à ce qu’Israël force la France à négocier avec les musulmans de France, afin de régler la demande d’indépendance du Pays Basque par exemple.

Après les affrontements armés de 1948, 1956, 1967 et 1973, les deux parties avaient négocié, à partir de 1991, un compromis salué par la communauté internationale. Les accords d’Oslo, signés en 1993, ouvraient la voie à une reconnaissance mutuelle de deux Etats, acceptant leur coexistence organisée dans la paix, la sécurité et le dialogue.

Itzhak Rabin pensait qu’en échangeant des territoires contre la paix, on résoudrait ce conflit, Yasser Arafat l’a roulé dans la farine en demandant alors que les accords étaient validés de rajouter le retour de 5 millions de réfugiés, reconnus par l’UNWRA, (qui a innové pour ce conflit, c’est le seul où les réfugiés sont reconnus d’une manière intergénérationnelle, les descendants de toutes les générations à vie des réfugiés de 1947 sont reconnus comme réfugiés eux mêmes.)

Cette demande a été en son temps jugée inacceptable par l’ensemble des Occidentaux, car on ne peut réclamer la création d’un pays, et laisser à la charge d’un autre pays les réfugiés issus de ce conflit. C’était vouloir noyer sous la masse de ces musulmans le seul Etat Juif au Monde, c’était signer l’arrêt de mort de tous les Israéliens.

Aujourd’hui, Abou Mazen s’arc-boute sur cette demande irrationnelle, et le gouvernement qu’il a mis en place avec le Hamas valide la Charte du Hamas qui ne reconnait pas Israël et ne parle que de l’éradiquer pour prendre sa place.

Ces accords n’ont pas été appliqués. Depuis l’assassinat d’Itzhak Rabin en novembre 1995, le cycle infernal de la violence s’est exacerbé. La colonisation israélienne, notamment autour de Jérusalem, s’est intensifiée au point de compromettre l’existence même d’un Etat palestinien viable. Des attaques ont été menées contre le territoire d’Israël et sa population civile. La signature, le 26 août 2014, d’un énième cessez-le-feu entre Israéliens et Palestiniens n’a pas empêché une dangereuse recrudescence des violences. Ceux qui les attisent, et les instrumentalisent, prolongent les souffrances de leurs peuples. La reconnaissance réciproque des Etats d’Israël et de Palestine contribuera à les atténuer. Elle conditionne la paix et la démocratie dans cette partie du monde.

Les accords n’ont pas été appliqués en raison de la demande de Yasser Arafat de réinsertion des réfugiés précisée plus haut. Ceux qui attisent la violence sont ceux qui ne connaissant rien au dossier ou qui le connaissant le nient pour des raison de dogme et de politique pro- Arabe de la France et de l’Europe, et incitent à la création à tout prix d’un Etat qui n’a jamais existé pour un peuple inventé.

L’impasse des négociations entretient un foyer d’instabilité et affecte dangereusement la paix dans toute la région. La reconnaissance de l’Etat palestinien doit s’accompagner d’un retour salutaire et immédiat à la négociation. Le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Laurent Fabius a proposé un opportun changement de méthode avec la perspective d’une conférence internationale. Nous apportons notre soutien à cette démarche qui devrait s’accompagner de la définition d’une date butoir des négociations et associer les Etats arabes de la région. Cette reconnaissance, qui doit être assortie de garanties de sécurité pour Israël, n’a de sens que si elle conforte le droit et la paix.

Quelle garantie internationale? La Finul qui devait empêcher le réarmement du Hezbollah a fait la preuve de son inutilité. quand à la force d’interposition entre la Syrie et Israël, sous les coups de boutoirs de l’E.I, elle s’est réfugiée en Israël. Ne parlons surtout pas de garanties de la France ce pays qui promet un jour pour faire le contraire le lendemain, ce pays signataire des accords de San Remo, et qui ne les respecte pas, ce pays garantissant les accords d’Oslo et voulant imposer à Israël un partenaire ayant jeté aux orties ces dits accords.

Fort de son engagement en faveur du droit international et de l’amitié profonde qui lie la France aux peuples israélien et palestinien, notre pays doit reprendre l’initiative et entrainer nos partenaires du Quartet – dont l’Union européenne – dans une nouvelle dynamique. Les voix appelant au déblocage du processus de paix, en particulier en Israël et en Palestine, ne doivent pas rester sans réponse.

Un conflit centenaire ne peut être résolu dans la précipitation, l’environnement d’Israël en ébullition n’est pas propice à un règlement intempestif voulu par des dirigeants en fin de mandat qui rêvent d’accrocher un trophée au mur de leur salon.

La France, depuis la présidence de François Mitterrand, tient un langage franc et sincère à ses amis israéliens comme palestiniens. Elle s’est honorée en votant en 2011 en faveur de l’adhésion des Palestiniens comme membres à part entière de l’UNESCO, puis en disant « oui » à l’accession de la Palestine au statut d’Etat non-membre de l’ONU en novembre 2012. Fidèles à cette position historique et équilibrée, les signataires manifestent, par la présente résolution, leur attachement à une reprise sans délai des négociations devant aboutir à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien.

La France s’est déshonorée en votant l’adhésion à l’UNESCO et à L’ONU en opposition formelle avec les accords de San Remo et d’Oslo dont elle est cosignataire. La France devrait se reprendre car elle va se trouver en butte à un non retentissant de la part d’Israël à toutes ses demandes quelles qu’elles soient.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour http://eli-d-ashdod.com/

 

Nous devons imposer notre légitimité sur Hévron

Tombeau des Patriarches à 'Hévron
Tombeau des Patriarches à ‘Hévron

Parasha Haye Sarah

Hébron est notre ville sainte où se trouvent les tombeaux de nos Patriarches et de nos Mères. Ceux qui ne savent pas veiller sur les sépultures de nos ancêtres ne sauront pas défendre les berceaux de nos enfants.

C’est à nos ancêtres Abraham puis Isaac puis Jacob que fut faite la promesse de l’appartenance de la Terre d’Israël au peuple juif. Mais, il ne suffit pas que la Terre soit promise car elle doit également être conquise puis libérée.

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Nos racines, notre légitimité plongent au cœur de Hébron. En ces jours où nous devons réaffirmer notre souveraineté sur Jérusalem réunifiée, il faut se souvenir que Hébron est le bouclier de notre capitale.

C’est en imposant notre absolue légitimité sur Hébron que découlera notre imprescriptible souveraineté sur le Mont du Temple et la ville de Jérusalem dans tous ses quartiers orientaux ou occidentaux. Permettre un doute sur Hébron ébranle notre combat pour Jérusalem en voie d’être reconstruite.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jacques Kupfer pour http://eli-d-ashdod.com/

Pauvre Palestine, pauvre peuple palestinien ! Par Joseph Farah

 

Joseph Farah journaliste américain
Joseph Farah journaliste américain

Joseph Farah est journaliste Arabe Américain au www.worldnetdaily.com
La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?

Eh bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés.

Surpris? Alors comment expliquer qu’avant la guerre des Six Jours en 1967, il n’y eu aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne? « Avant 1967? » me direz-vous, « les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem » C’est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est.

Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non.

Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël ait gagné cette guerre ?

La vérité est que la Palestine est un Mythe !

Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins.
Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en « Alea Capitolina », mais cela ne rencontra pas le même succès. La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire. Jamais !

Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour , les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain.

Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens ( la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques).

Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que 0,1% de la superficie régionale ! Mais cela est encore trop pour les Arabes. Ils veulent TOUT. Et c’est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël.

Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas.

Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar. Durant cette période, il n’y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait l’église byzantine de Sainte Marie. Vers l’an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l’église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l’incompréhensible sourate 17 du Coran.

Qu’en est-il des lieux saints de l’Islam ? Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’Islam », après la Mecque et Médine.

Eh bien, sachez que c’est faux ! En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem.

Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l’Islam ? Les Musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée « le Voyage Nocturne »(1). Il y est fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit « du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte« .

Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’Islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu’à l’époque du patriarche Abraham.

La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?

Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs.

Note
(1) Les musulmans s’appuient sur le Coran pour revendiquer Jérusalem, pourtant Jérusalem n’y est pas mentionnée une seule fois. La 17ème sourate contient une allusion floue à une « Mosquée la plus éloignée ». « Loué soit celui qui a conduit pendant la nuit son serviteur de la mosquée inviolable à la mosquée la plus éloignée ». Mais existe-t-il une base solide qui prouverait qu’il est ici parlé de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem ? La réponse est : Non !.

Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar. Durant cette période, il n’y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait l’église byzantine de Sainte Marie. Vers l’an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l’église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l’incompréhensible sourate 17 du Coran. Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand il écrivit le Coran, puisqu’elle n’exista que trois générations après sa mort. D’ailleurs Mahomet n’éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ses fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les juifs de se tourner vers l’islam. La tentative ayant échoué, il prononça le 12 février 624, l ‘interdiction de prier en direction de Jérusalem.
Cette ville ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint.

Francis NADIZI, islamologue

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Il m’a paru opportun de publier cet article ancien en raison des récentes prises de positions de plusieurs Parlements européens, Suède, Espagne, Grande-Bretagne, et du questionnement actuel des Parlements de Belgique et de France pour des votes symboliques qui n’ont aucune force de loi mais qui participent à jeter de l’huile sur le feu dans ces jours agités en Israël.

Henry Kissinger grand partisan d’un accord de paix, ayant en son temps œuvré inlassablement vient de se prononcer, il considère qu’il est inopportun dans ces moments troubles du Moyen-Orient de régler ce dossier pour Israël.

Les nouveaux Elus européens n’ont aucune connaissance du dossier, ils ne parlent que par intérêt électoral confronté à une cinquième colonne musulmane qu’ils ont délibérément accueillie en dépit des nombreux avertissements prodigués par des esprits éclairés, qu’ils se sont empressés de traiter de racistes, ou d’extrémistes de droite tous qualitatifs très à la mode à gauche à cours d’arguments à opposer à une thèse qui se vérifie tous les jours.

Tous les dirigeants arabes l’ont dit, l’Islam est incompatible avec la démocratie, vouloir l’imposer à des esprits opposés ne peut aboutir. Les récents « printemps arabes » ont vite tourné en « hivers islamiques. » Ils ont dit également que l’Europe ne serait pas conquise par les armes, mais par les ventres de leurs femmes. Mais il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre.

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Mahmoud Abbas, vous êtes un menteur, un affabulateur, et complice d’assassinat!

Abbas est le successeur d’Arafat, sauf qu’il a pris le costume a la place d’un treillis vert d’opérette, en gardant le même esprit de destruction d’ISRAËL.

MENTEUR

L’ « IMPOSTURE DITE PRO-PALESTINIENNE » ME REVOLTE PARTICULIÈREMENT.

Intervention des russes et des syriens en 1964 à Moscou pour le choix de Yasser Arafat comme leader: C’était, note Ion Mihai Pacepa, ancien chef de la Securitate roumaine, dans son livre The Kremlin Legacy, un jour de 1964, « nous avons été convoqués à une réunion conjointe du KGB, à Moscou ». Le sujet était d’importance : « il s’agissait de redéfinir la lutte contre Israël, considéré comme un allié de l’Occident dans le cadre de la guerre que nous menions contre lui ». La guerre arabe pour la destruction d’Israël n’était pas susceptible d’attirer beaucoup de soutiens dans les « mouvements pour la paix », satellites de l’Union Soviétique. Il fallait la redéfinir. L’époque était aux luttes de libération nationale.

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Il fut décidé que ce serait une lutte de libération nationale : celle du « peuple palestinien ». L’organisation s’appellerait OLP : Organisation de Libération de la Palestine. Des membres des services syriens et des services égyptiens participaient. Les Syriens ont proposé leur homme pour en prendre la tête, Ahmed Choukairy, et il fut choisi. Les Egyptiens avaient leur candidat : Yasser Arafat. Quand il apparut que Choukairy ne faisait pas l’affaire, il fut décidé de le remplacer par Arafat, et, explique Pacepa, celui-ci fut « façonné » : costume de Che Guevara moyen-oriental, barbe de trois jours de baroudeur. « Il fallait séduire nos militants et nos relais en Europe ».

En avril 1964, à Jérusalem-Est alors sous contrôle jordanien, le Conseil national palestinien se réunit à l’hôtel Intercontinental, situé en haut du mont des Oliviers et adopte la Charte de l’OLP qui définit les objectifs nationalistes palestiniens. Un mois plus tard, la Ligue arabe se réunit à l’instigation de Nasser pour créer l’Organisation de libération de la Palestine. Celle-ci a pour but de combattre l’Etat israélien. Sa branche politique est le Fatah. Quant à son bras militaire, l’Armée de libération de la Palestine, il est placé sous le commandement des différentes armées arabes.

Au décès du milliardaire Arafat succède Mahmoud Abbas, né le 26 mars 1935 à Safed en Galilée, aussi connu sous son nom de guerre d’Abou Mazen, est le CHEF de la Dictature de la région dit «Etat fantoche de Palestine» depuis le 15 janvier 2005 et le Secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine.

Epouse : Amina Abbas

Parti : Fatah

Enfants : Yasser Abbas, Mazen Abbas, Tareq Abbas

Formation : Université de Damas, Université russe de l’Amitié des Peuples

Mandats présidentiels : 15 janvier 2005 –, 23 novembre 2008 –

Il est important de souligner que dans sa prestigieuse biographie,

  • Nulle mention de profession puisqu’il détourne à son profit des subsides de l’ensemble de la Communauté Internationale qui se compte par milliards de dollars sans demander aucun justificatifs comptables. Ainsi les fabuleuses sommes se dirigent tout naturellement dans ses poches. Peut-il justifie l’achat de son jet prive pour ses déplacements ?
  • Que son mandat fantoche de président dure sans élections. Vive la Dictature d’Abou Mazen.

COMPLICITE D’ASSASSINAT

Mahmoud Abbas envoi une lettre de condoléances à la famille du terroriste.

La famille du terroriste qui a tiré sur le Rav Glik, a reçu une lettre de soutien de la part du président de l’autorité palestinienne ou il exprime ses condoléances ainsi que son indignation quant à la mort du terroriste, tué par les policiers alors qu’il avait ouvert le feu au moment où ils étaient venus pour l’arrêter.

Avigdor Libermann, ministre des affaires étrangères, s’est exprimé avec virulence sur le geste de Mahmoud Abbas:

« Cette lettre prouve que nous avons à  faire à un partenaire de la terreur qui soutient le terrorisme et les assassins! ».

Benjamin Netanyahou a lui aussi dénoncé cette lettre: « à l’heure où nous essayons de calmer les esprits, Mahmoud Abbas envoi son soutien à la famille d’un individu ayant commis un acte méprisable, il serait grand temps que la communauté internationale dénonce ses actes une fois pour toute ».

Mahmoud Abbas, rappelons-le, a appelé la semaine dernière tous les palestiniens à  défendre le Mont du temple contre l’intrusion des Juifs, il accumule les actes de soutien à la terreur, c’est pourquoi, les dirigeants israéliens s’interrogent sur les capacités de ce dernier à être un vrai partenaire pour la paix. Ils se positionnent comme étant le seul commanditaire de tous ces crimes.

AFFABULATEUR

En 1925, le Conseil Suprême des Musulmans de Jérusalem, le Waqf publiait un guide touristique en anglais intitulé « Un guide succinct d’Al Haram-al-Sharif » le noble sanctuaire, le « Mont du Temple » juif : « Le site est un des plus vieux du monde. Sa sainteté date des temps les plus anciens. Sa sainteté due à celle du Temple de Salomon, le Temple juif, est incontestable »

Mais le sieur Abbas n’est ne qu’en mars 1935, il ignore donc cette publication.

Attentat à Jérusalem après des propos antisémites de Mahmoud Abbas (que les médias ne répètent pas)  Le 17 octobre 2014, le modéré Mahmoud Abbas faisait une déclaration lourdement antisémite, dans une vidéo qui a été diffusée 19 fois en trois jours sur la station de télévision officielle de l’Autorité palestinienne : «Nous devons empêcher les juifs d’entrer au mont du Temple (l’esplanade de la mosquée), ils n’ont pas le droit de le souiller»

Cinq faits qui prouvent que Jérusalem n’a JAMAIS été une Ville Sainte Musulmane ni une Capitale Arabe

1. Le Coran :

Alors que Jérusalem est mentionné dans la Bible (Tanakh) plus de 500 fois, elle n’est jamais mentionnée dans le Coran, pas une seule fois! De nombreux musulmans affirment que c’est un mensonge et prétendent que le mot Al Aqsa signifie Jérusalem. Al Aqsa signifie littéralement «La mosquée la plus éloignée» et ne signifie en aucune façon Jérusalem.

Le passage coranique qui parle du «voyage nocturne» de Mahomet à la «mosquée la plus lointaine» eut lieu dans le courant de l’année 621 alors que la mosquée de Jérusalem ne fut construite qu’en 705 de notre ère! Ce qui signifie que, quelque fut la mosquée vers laquelle Mahomet s’est envolé, ce n’était certainement pas à Jérusalem!

Disons, en guise d’arguments que je pourrais accepter le vol de Mahomet et disons que j’accepte aussi pour une quelconque raison que ce fut du côté du petit sanctuaire de Jérusalem, une petite mosquée qui n’existait pas en réalité à cette époque ! Ce qui ne rend toujours pas la ville de Jérusalem sainte pour les musulmans.

2. Quand ils prient les musulmans tournent le dos au Mont du Temple.

Alors que les Juifs se tournent vers Jérusalem et qu’ils mentionnent Jérusalem dans chaque prière et que nous rendons grâce après les repas, les musulmans ne considèrent PAS Jérusalem comme une ville sainte, JAMAIS!– Placeriez-vous votre postérieur du côté d’un lieu qui serait sacré pour vous?

3. Jérusalem n’a jamais été une capitale arabe.

Alors que le roi David a fait de Jérusalem la capitale de la Terre d’Israël, jamais dans l’histoire du monde Jérusalem ne fut capitale d’un pays arabe, certainement pas de celui qui est appelé Palestine et qui n’a jamais existé! Montrez-moi un seul pays arabe dans l’histoire du monde qui a eu Jérusalem pour capitale!

4. Désacralisation du Mont du Temple

Que vous soyez juif, chrétien ou bouddhiste, vous traitez vos temples et vos églises avec respect et la violence ne sont tout simplement pas autorisée dans un lieu de culte. Regardez ces musulmans en train de détruire meubles et tapis de la mosquée du Mont du Temple. Leur manque de respect témoigne du fait qu’ils savent clairement qu’il n’y a rien de sacré ici et que la seule raison pour laquelle ils tiennent à ce site est parce qu’ils sont pleinement conscients qu’il est situé là  où le Temple juif se trouvait autrefois et où sera bientôt érigé le nouveau. La mosquée située sur le Mont du Temple s’appelait à l’origine Bayt al-Muqaddas qui signifie littéralement construit sur ​​le Mikdash (le Temple juif de Jérusalem)

Il est un autre fait historique qui prouve que Jérusalem n’a jamais été une ville sainte musulmane et qu’elle est JUIVE!

  • Personne ne conteste que le roi David ait été le premier à faire de Jérusalem, une capitale.
  • Personne ne conteste que le fils de David, Salomon  a construit le premier Temple à Jérusalem
  • Personne ne conteste que le deuxième Temple a également été construit sur ​​le Mont du Temple à Jérusalem
  • Personne ne conteste le fait que les Romains ont saccagé le temple, massacré les Juifs et les ont chassés d’Israël.
  • Personne ne conteste que les musulmans ont conquis et occupé Jérusalem par la force et ont construit leur mosquée sur le site du Temple juif

5. Pour ceux d’entre vous qui ont l’intention de visiter Rome, vous aurez l’occasion de consulter l’Arche de Titus qui représente clairement le saccage par les romains du réceptacle du Temple.

Le fait est que les Juifs étaient à Jérusalem avant l’existence de l’Islam. Jérusalem était la capitale juive d’Israël avant que Washington ne soit appelé la capitale de l’Amérique ou Londres la capitale de l’Angleterre et Paris la capitale de la France. Alors avant que vous exigiez de nous que nous donnions notre Sainte-Capitale à ceux qui viennent avec une exigence fictive soutenue par le terrorisme et le djihad, je voudrais vous demander de donner vos capitales à ceux qui appellent à votre destruction également!

Comme l’a dit de manière si éloquente Monsieur Benyamin Netanyahou :

Les français construisent à Paris, les anglais construisent à Londres et Israël construit à Jérusalem. Devrions-nous dire aux Juifs de ne pas vivre à Jérusalem, parce que ça dérange certains.

ABDELWAHAB MEDDEB:.

L’écrivain et universitaire tunisien Abdelwahab Meddeb est mort le6/11/14. En 2006, il revenait, pour «Libération», sur les différentes interprétations du Coran et l’intégrisme d’aujourd’hui. «L’islamisme est la maladie de l’islam, mais les germes sont dans le texte»

La violence dans l’islam est-elle une réalité ? Les musulmans doivent admettre que c’est un fait, dans le texte comme dans l’histoire telle qu’ils la représentent eux-mêmes, en un mode qui appartient plus à l’hagiographie qu’à la chronique. Nous avons à faire à un Prophète qui a été violent, qui a tué et qui a appelé à tuer. La guerre avec les Mecquois fut une guerre de conversion. Il y a eu aussi la guerre avec les juifs et le massacre des juifs à Médine, décidé par le Prophète. Il y avait un jeu d’alliances, une opération politique qui se continue par le militaire.

Il est de plus en plus risqué de parler de l’islam ? Moins que jamais il faut se taire. Il faut contrer ces gens-là de toutes nos forces. A mes yeux, l’islamisme est un fascisme. Certes, Bush a, lui aussi, utilisé ce terme, mais cela ne veut pas dire qu’il est faux. L’Europe peut, enfin, en tant qu’acteur historique, être en cohérence avec les principes qu’elle a créés.

CONCLUSION

Je pense que pour conclure cet article, bon nombre de pays devraient prendre exemple sur la seule vraie démocratie où la liberté règne sans aucun APARTHEID (Sachez que le président de la Cour Suprême en Israël, plus haute instance juridique, est un musulman). Apprenez à connaitre Israël qui n’a que 66 ans d’existence où le désir de vivre en paix est le plus important. Ce qui me révolte le plus, c’est de critiquer Israël sans même venir constater comment vit la société Israélienne. Ne vous fier pas aux médias de toute nature qui ne font que reproduire des paroles ou écrits diffamatoires envers Israël.

Visiter Israël et après discuter, critiquer, vous aurez alors votre propre opinion sur un pays de PAIX et de SHALOM.

Que l’ensemble des nations démocratiques qui veulent nous imposer leurs diktats, OCCUPEZ VOUS DE :

  • Des chrétiens qui se font massacrés parce qu’ils ne veulent pas être convertis.

  •      Des CENTAINES de milliers de morts en Syrie.

  •      Des lapidations, des exécutions de toutes natures.

Grace à la gentille islam,

Celle qui fait reculer les connaissances mais fais avancer la barbarie.

Celle qui détruit la culture sur son passage pour vous avilir.

Celle ou le mot amour ou paix n’est jamais mentionnée.

Celle qui veut dominer le monde avec des idées révolues et dépassées

Celle qui a eu pour origine la veulerie, la violence.

Celle enfin, qui finira dans le ruisseau lieu où elle patauge en permanence.

Cet article a déjà été publié sur JSSNEWS à la demande de Maurice, il est également publié sur ce site

Reproduction autorisée avec la mention suivante :Maurice en ISRAËL ©Â  pour http://eli-d-ashdod.com/

Les médias français ont mis Israël au ban de l’humanité

Les journalistes français d’obédience de gauche pour la plupart ont un double standard pour interpréter l’actualité en Israël et chez ses voisins en bref Israël a toujours tort, et les Arabes sont toujours maltraité, les terroristes sont pudiquement renommés résistants.

Les gens de gauche pourfendent le Capital, et ce qu’ils abhorrent le plus c’est le trafic d’armes. La cible de leurs attaques se situe donc vers les Etats-Unis dont le succès économique passé a toujours été vu d’un mauvais œil en France où on considère que le succès donc l’argent qui en découle doit être capté par l’Etat.

Par ricochet, ils réservent le même traitement à Israël, jaloux des succès dans la recherche et par conséquent en économie. Ils reprochent à Israël d’avoir mis en place une armée (de défense) dont d’aucun reconnaissent l’excellence. N’aimant que les faibles, ils se rangent automatiquement dans le camp arabe grand perdant de ses multiples conflits avec Israël.

Les Occidentaux doivent ouvrir les yeux, L’Etat Islamique est là pour lutter contre l’hégémonie de l’Iran qui veut imposer le Chiisme, le but ultime du Chiisme et du Sunnisme c’est de diriger l’Islam afin de conquérir le Monde en islamisant tout le genre humain. Saddam Hussein avait déjà lancé une guerre contre l’Iran, les alliés de l’Irak de l’époque, étaient les USA, la France livrait beaucoup d’armes à l’Irak mais également à l’Iran. Les gens de gauche en France devraient apprécier. Nier le fait qu’il s’agit d’une guerre de religion n’y changera rien. Les gouvernants ont décidé de faire profil bas pour éviter une guerre civile généralisée dans leurs pays respectifs entre les mahométans d’une part et les autres citoyens.

Territoire contrôlé par l'E.I.
Territoire contrôlé par l’E.I.
  •      En bordeaux territoire contrôlé (novembre 2014)
  •      En rose territoire revendiqué
  •      En jaune reste de la Syrie et de l’Irak

Obama en se désengageant prématurément de l’Irak a favorisé l’émergence de l’Etat Islamiste qui lutte contre les Chiites (Hezbollah, Alaouites au pouvoir à Damas, épaulés par les gardiens de la révolution iraniens.) Dans un premier temps les Occidentaux qui n’ont jamais rien compris à la mentalité proche-orientale ont pris parti contre Hafez el Assad en livrant des armes aux opposants à Damas qui ont vite été phagocytés par l’E.I. Ils pensaient lutter contre l’arc Chiite Iran, Irak, Syrie, Hezbollah.

Les Français grands pourvoyeurs d’armes ont saisi au vol cette opportunité. Les USA et la France fournissent au Qatar des quantités astronomiques d’armes, les dites armes sont livrées ensuite à l’E.I. ainsi qu’au Hamas. En échange, l’E.I. livre du pétrole à prix cassé au Qatar, à la Turquie et à la Jordanie entre autres. On comprend mieux alors les réticences d’Ankara à rejoindre la coalition. On comprend aussi la position de la Jordanie qui prétend pouvoir contenir l’E.I. dont de nombreux membres ont été entrainés par les Américains en Jordanie.

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L’E.I. détricote donc les frontières des pays artificiellement créés par les Britanniques et les Français lors des accords Sykes Picot. 

Devant les succès foudroyants de l’E.I. dont les cadres sont pour la plupart des anciens officiers de Saddam Hussein, Obama a dans un premier temps avoué qu’il n’avait pas de stratégie, pour effectuer une déclaration très rapidement précisant qu’il en avait une consistant à bombarder les colonnes militaires au moyen de son aviation. Tout le monde a encore présent à l’esprit l’échec d’une telle politique qui avait échouée au Nord du 17ème parallèle. 

Obama qui avait deux fers au feu en vue de son désengagement en Irak s’est rapproché de Téhéran, et lui a confié le rôle de « modérateur du Moyen-Orient », l’Iran déjà présenté en son temps par le Play-boy de service de la France Bernard Kouchner, qui avait prétendu la même chose alors qu’il était Ministre des Affaires Etrangères, l’Iran qui ne rêve que d’hégémonie pour la propagation de sa révolution Chiite, et qui prétend vouloir éradiquer « le Grand Satan et le Petit Satan » les USA et Israël. Obama va accepter que l’Iran lutte contre l’E.I. en échange d’un assouplissement des sanctions économiques qui freinent son acquisition de l’arme atomique, mais l’Iran n’est-il pas impliqué déjà dans la lutte contre l’E.I? Décidément Obama, et les dirigeants européens nous prennent pour des demeurés mentaux.

La gauche française qui n’aime pas le trafic d’armes serait bien inspirée de réviser sa copie sur sa position par rapport à Israël dont l’armée de défense qui ne joue que son rôle de défense en contrant les attaques visant sa population civile venues de Gaza.

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Nous devons nous servir de la valeur d’un Juif fixée par les Arabes

Nous avons tous en mémoire cet échange impensable imposé par un Etat terroriste islamiste « Gaza » pour la libération de Guilad Shalit, il avait fallu procéder à l’élargissement de 1027 terroristes aux mains tâchées de sang appartenant au Hamas comme au Fatah. Nous revoyons le film de ces terroristes relâchés accueillis en héros tant par Abou Mazen que par Ismaël Hanyieh. Montrant bien par là la collusion entre un régime terroriste, et cet homme d’amour et de paix que veulent nous imposer les Occidentaux comme partenaire de discussions de paix.

Guilad Shalit contre 1027
Guilad Shalit contre 1027

Aujourd’hui, le même Abou Mazen qui œuvre sans relâche pour la reconnaissance d’un « Etat terroriste judenrein » en foulant aux pieds les accords d’Oslo, vient encore de se distinguer en demandant aux Arabes d’être présents sur tous les fronts pour lutter contre « l’Etat d’apartheid raciste et terroriste » pour éviter de nommer Israël, qu’il définit de tous les termes convenant en réalité à son organisation.

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Benyamin Netanyahou demande enfin que les responsables d’actes contre l’Etat d’Israël soient déchus de leur nationalité israélienne, et perdent tous les avantages sociaux qui y sont liés. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin? les Arabes ne nous ont-ils pas montré la valeur d’un Juif? Il faut pour tout acte d’un terroriste supprimer la nationalité à 1027 Arabes de la famille, du voisinage, et des amis proche du terroriste autour de cet assassinat. Cette nouvelle façon de compter devrait en refroidir plus d’un.

Que faire de ces gens déchus de la nationalité? tout simplement les renvoyer d’où ils viennent dès 1949 c’est à dire pour certains de Syrie ou d’Irak, ils pourraient alors exprimer sans retenue leurs penchants assassins, en s’enrôlant suivant leur religion les Sunnites avec L’Etat Islamique, les Chiites contre le même Etat Islamique. La Syrie ayant déjà perdu 250.000 personnes sera heureuse de retrouver un sang neuf qui pourra s’étriper à qui mieux mieux.

Israël pendant ce temps pourra s’occuper de régler les questions sociales restées en suspens en raison de l’opération de Gaza.

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De BDS

A l’instigation d’Abou Mazen, ce chantre de la paix que les Occidentaux veulent imposer à Israël pour des négociations qu’il rejette systématiquement, une position politique a été mise en place: Boycott Désinvestissement Sanctions.

Le boycott des produits en provenance de la Judée et de la Samarie ont été les premiers touchés, il a immédiatement provoqué le chômage de milliers d’Arabes qui gagnaient trois fois le salaire de leurs frères de Jordanie. Le boycott est réprimé par le droit français, et de nombreuses personnes coupables de l’avoir mis en place par la violence ont été condamnées, aujourd’hui, les choses se passent dans le calme, les boycotteurs se déplacent seuls dans les magasins proposant des produits israéliens, et reprochent au commerçant de distribuer des produits d’un pays qui martyrise les arabes, comme ils viennent les uns derrière les autres tenir ce langage, le commerçant ne présente plus ces produits.

L’Union Européenne favorise le boycott en imposant l’étiquetage de la provenance exacte de l’origine des produits et refuse le « made in Israël » pour les produits de Judée au delà de la ligne du cessez-le feu de 1949.  Aujourd’hui, le boycott est ouvertement déclaré pour tout ce qui est en provenance d’Israël. Les Verts et l’Extrême gauche sont aux premier rang pour défendre ce boycott qui s’applique à tous les fruits et légumes en particulier. Le boycott de produit fabriqué par l’Etat Juif est un acte de racisme, il cantonne les Juifs en leur interdisant de vendre leurs production. C’est donc un acte d’apartheid.

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Abou Mazen accuse Israël d’une manière infondée de pratiquer des actions qu’il appelle de ses vœux à mettre en place dans l’Etat qu’il revendique.  

Hier à l’Onu, Abou Mazen s’est disqualifié dans son discours accusant Israël d’apartheid, et de génocide, Israël Etat Juif pratiquant la liberté de culte, dont 20% de la population est Musulmane, dont les Universités regorgent de Musulmans, ce pays dont le Président de la Cour Suprême (un Musulman) a envoyé en prison le Président de l’Etat d’Israël (un Juif) accusé de viol.

Comble de l’histoire le même Abou Mazen qui n’en est pas à une contradiction près, réclame la création d’un Etat qu’il annonce Judenrein, sur des terres données par la SDN en 1920 à la Conférence de San Rémo afin de créer un foyer Juif!!!

Carte de la Palestine Mandataire
Carte de la Palestine Mandataire

 Israël vit aujourd’hui sur seulement 26.410 Km2 dont 5.640 Km2 de Judée et de Samarie où vivent 1.800.000 Arabes issus de ceux amenés à partir de 1949 illégalement par la Jordanie qui avait annexé cette contrée sans qu’aucune motion à l’ONU ne la condamne.

En ce qui concerne l’accusation de génocide:

Les Arabes ont employé ce terme pour Jénine où de combats se sont déroulés à la suite de 41 attentats terroristes perpétrés au seul mois de Mars 2002 ayant fait 120 morts civils israéliens et plusieurs centaines de blessés, une opération fut montée à Jénine fief terroriste d’où venaient les agresseurs. Une bataille extrêmement dure fut livrée dans un camp retranché au milieu de « civils », dont le bilan annoncé par les Arabes durant les combats était de plus de 400 morts et des milliers de blessés, il s’avéra en définitive de 52 terroristes tués, Tsahal eut pour sa part des pertes lourdes 23 morts et 60 blessés, les soldats ont qualifié Jénine de nid de serpents.

Par la suite dès qu’il y a eu des accrochages toujours à l’initiative des Arabes, et que le sort des armes leur était défavorable, ils ont qualifié les combats de génocidaire pour quelques dizaines de victimes, dans ces conditions, comment peut on qualifier le carnage en Irak et en Syrie où on dénombre plus de 200.000 morts? Comment qualifier la tragédie du Darfour à l’initiative des islamistes du Nord Soudan?

Abou Mazen accuse Israël d’une manière infondée de pratiquer des actions qu’il appelle de ses vœux à mettre en place dans l’Etat qu’il revendique.  

Et le Premier Ministre nouvellement élu de Suède qui veut reconnaître cet Etat.

Et le Quai d’Orsay qui menace de ses foudres Israël si les négociations n’aboutissent pas dans les plus brefs délais!!! Lorsqu’on parle au nom d’un pays qui se targue d’être le 4ème exportateur Mondial d’armes essentiellement en Asie, qui font le bonheur des acquéreurs du Moyen-Orient, on parle avec plus de réserves des possibilités de paix. Surtout lorsque des missiles anti-char Milan vendus au Qatar, se retrouvent au main du Hamas qui détruit ainsi des chars israéliens et tuent des soldats israéliens.

Missile Milan livré par la France au Qatar, utilisé par le Hamas contre les chars d'Israël, responsable de la mort de soldats Israéliens.
Missile Milan livré par la France au Qatar, utilisé par le Hamas contre les chars d’Israël, responsable de la mort de soldats Israéliens.

Lorsque on veut être sur tous les fronts contre le terrorisme aussi bien au Mali, en Centrafrique et aujourd’hui en Iraq, où tout de même « 6 avions sont déployés » soit 2 en vol permanent ayant réalisé « seulement 3 frappes » soit 1% de l’effort de guerre contre l’EI en raison d’un budget misérable de 2,2% de son PIB la France est incapable de faire mieux, dans ces conditions, il est inutile de pousser des cocoricos, et de menacer le meilleur « Allié fiable de la région », le seul pays démocratique, qui défende les valeurs occidentales bien malmenées ces jours derniers.

Décidément, nous vivons une drôle d’époque dans ce Monde en décomposition, car les uns et les autres savent très bien que les Arabes ne veulent absolument pas de deux Etats pour deux peuples, ils veulent un seul Etat du Jourdain à la Mer pour un seul peuple Islamique et Judenrein.

La différence entre le Hamas et l’AP, c’est que le Hamas le proclame souverainement et parle d’y arriver par les armes, alors que l’AP joue le jeu de soit disant négociations afin de soutirer un maximum de fonds aux Européens et aux Américains. Abou Mazen veut un Etat dans des conditions telles que si Israël acceptait, tout aussitôt d’autres revendications verraient le jour qui feraient capoter le projet, et que les Occidentaux s’empresseraient de rejeter la faute de l’échec à Israël.

Le fait pour les Occidentaux de se comporter ainsi, en rejetant toute la faute sur Israël en raison de leur racisme, et leur comportement en soutenant BDS, c’est de l’apartheid.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour http://eli-d-ashdod.com/

Toilettage de votre site eli-d-ashdod.com

Kikar des voiles à Ashdod
Kikar des voiles à Ashdod

Votre site http://www.eli-d-ashdod.com est en cours de de toilettage, un nouvel habillage plus lisible et plus convivial est en cours d’implantation, nous vous demandons un peu de patience pendant cette mise à niveau.

Faites-nous part de vos remarques, elle seront les bienvenues.

 

UN RÊVE

Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. En ouvrant la télévision israélienne à l’heure de informations, j’ai vu près d’un millier de maisons « palestiniennes » dynamitées et la création d’une zone stérile d’un demi kilomètre pour construire un mur de séparation avec Gaza.

Destruction des Maisons à Gaza par l'armée égyptienne  (Photo credit: AP/Eyad Baba)
Destruction des Maisons à Gaza par l’armée égyptienne (Photo crédit: AP/Eyad Baba)

 

J’attendais les reportages sur les « pauvres réfugiés » jetés hors de leur pays, les gémissements des pleureuses professionnelles arabes et les images des enfants dans les ruines.

J’attendais avec résignation les habituels «professeurs», «docteurs spécialisés du monde arabe» nous expliquer la conséquence dramatique de cet acte.

Je m’attendais surtout à voir défiler les antisémites patentés arabes de la Knesset et les spécialistes de la haine de soi de « La Paix Maintenant ».

Je m’attendais à voir apparaître les visages des professionnels du «palestinisme» dont les ONG sont payées par des sources neutres comme la Suède ou la France.

J’attendais les appels au rassemblement de tous ces masochistes sur la Place Rabin à Tel Aviv.

J’allais donc zapper quand je m’aperçus que les infos se focalisaient sur d’autres nouvelles sans aucune relation avec les destructions à Gaza.

Abasourdi par cette manière nouvelle de présenter les informations, je me suis même allé à imaginer une guérison miraculeuse de nos politiques et de nos journalistes.

Voila une réponse appropriée à la reprise des tirs et du creusement des tunnels dont la zone nettoyée a permis d’en découvrir une centaine.

Je suis donc passé à la chaîne arabe de langue française, la 2. J’imaginais déjà les déclarations du Kerry au nom d’Hussein Obama pour nous vouer aux gémonies et exiger l’arrêt immédiat de toute destruction.

J’entendais déjà le Fabius déclarer en qatari littéraire qu’il convoquerait le Conseil de Sécurité et organiserait immédiatement une conférence des «pays donateurs.»

J’attendais avec impatience de voir quelle synagogue les adeptes de cette religion «de paix et de tolérance» avaient attaqué.

Cela me prit plusieurs minutes pour me rendre à la réalité.

Les médias occidentaux n’en parlaient pas!

Dans mon rêve, je voyais déjà les bulldozers raser les constructions illégales de Ramallah, reprendre entière possession du tombeau de Joseph à Sichem…

C’est alors que j’ai compris.

Ce n’étaient pas les Israéliens qui avaient détruit ces maisons, nettoyé une zone tampon et édifient un mur pour isoler totalement les Gazaouis.

En fait, ce sont les Egyptiens.

Les tunnels de contrebandes avec le Sinaï étaient tous détruits, la ville isolée et les égyptiens se protégeaient des «palestiniens», leurs frères «musulmans» du Hamas!

Les Egyptiens avaient le droit. Et surtout ne faisons pas planer sur l’Union Européenne ou les Nations Unies une quelconque suspicion de politique de «deux poids, deux mesures!»

Et alors m’est revenue à l’esprit la phrase du visionnaire de l’Etat Juif, Benyamin Zeev Herzl :«Si vous le voulez, ce ne sera pas un rêve!»

Nous sommes nombreux à le vouloir, alors…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jacques Kupfer pour http://eli-d-ashdod.com/

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