« Oui Monsieur l’Ambassadeur, Israël est un petit pays de merde. »

9 juin 2009 0 Par Eli

Publié le par Eli d’Ashdod

« Oui Monsieur l’Ambassadeur, Israël est un petit pays de merde. »

Historique

Un article de Claude Bensoussan dans les archives de Guysen au sujet de la réflexion nauséabonde de Claude Bernard ancien ambassadeur de France en Grande Bretagne, Claude ne fait pas dans la dentelle mais il a été ulcéré comme tous ceux qui ont entendu cette remarque d’autant que l’on était dans une période où l’antisémitisme fleurissait partout.

« Oui Monsieur l’Ambassadeur, Israël est un petit pays de merde », et il a aujourd’hui 55 ans Par Claude Bensoussan pour Guysen Israël News Mardi 6 mai 2003 à 22:32 Oui Monsieur l’Ambassadeur, c’est comme si c’était hier que vous avez prononcé ces admirables paroles, acquiescées par nombre de vos collègues du Quai d’Orsay, Oui monsieur l’Ambassadeur comme vous dites, « Israël est vraiment un petit pays de merde. »

Oh je sais que bien de l’eau a coulé sous les ponts de la Tamise, depuis que vous avez fait votre profession de foi, mais que voulez vous, il y a des gens qui ne savent pas la chance qu’ils ont lorsqu’ils éructent (puisqu’on y est). Leurs borborygmes ont une portée infinie.

Alors, quand ils sont atteints en plus de logorrhée, c’est le délire paranoïaque qui les guette, Car durant la même interview, vous auriez dit (je dis bien  » vous auriez », laissant le bénéfice du doute, je ne suis pas Français) : « pourquoi le monde devrait-il craindre une troisième guerre mondiale à cause de ces gens là? »

Monsieur Daniel Bernard, chez ces gens là, voyez vous, on a la reconnaissance du ventre, même lorsqu’on est pris de diarrhée, ou de turista si vous préférez, rapportée des pays ô combien exotiques que nous avons parcourus en deux mille ans.

Parce que chez ces gens là, monsieur, dans ce petit pays de merde, on n’a pas la mémoire sélective, et nous n’oublions rien, ni personne, ceux qui nous ont massacré, comme ceux qui ont risqué leur vie pour nous durant les 20 siècles passés.

Parce que chez ces gens là, monsieur, il y a tout ce que le monde a pu enfanter en deux millénaires, et ce n’est pas peu dire.

Parce que chez ces gens là, monsieur, il y a toute la noblesse du monde, et qu’avant d’être des femmes et des hommes libres, ils ont aussi été « éboueurs » dans vos pays à l’hospitalité à peine tolérante par le passé, et à géométrie variable.

Parce que chez ces gens là, monsieur, on retrouve des débris d’être humains, scalpés de la plus grande tuerie de masse de tous les temps, ne vous en déplaise, tuerie élaborée, pensée, planifiée et exécutée dans ce pays qui est le vôtre aujourd’hui, l’Europe.

Parce que dans ce pays de merde et de démerde, on s’en est sorti comme on pouvait, avec les moyens du bord, c’est-à -dire : RIEN.

Je voudrais juste vous rafraîchir la mémoire monsieur Daniel Bernard :

C’est de votre pays que sont parties les deux premières guerres mondiales, n’est-ce pas ? C’est quand même la France et l’Allemagne qui sont entrées en guerre, et le reste de la planète a suivi. Sans vous, et la haine que vous vous portiez mutuellement, il n’y aurait peut-être jamais eu de déflagration mondiale, et mon peuple n’aurait sûrement pas péri dans la tourmente. C’est quand même nauséabond la guerre non?

Comme la merde que vous êtes imperceptiblement en train de foutre en Europe et au sein même de l’OTAN. Alors je me dis, jamais deux sans trois : vous y entraînez le monde à la vitesse du son.

Veuillez excuser mon langage ordurier, mais je me dis qu’après tout, si môsieur l’Ambassadeur l’utilise, c’est que ce langage châtié agrée à la noble Académie Française.

Vous comprenez, monsieur l’Ambassadeur, dans ce petit pays, il y a effectivement de la merde, et son origine ne nous est pas inconnue.

Elle provient de tout ce qui a été ramené des contrées que nous avons explorées, bien malgré nous.

Savez-vous, qu’il y a dans ce petit pays de merde, plus de 185 nationalités différentes, et que tous ces gens là comme vous dites, sont arrivés en catastrophe souvent, encore crottés et souillés des immondices que vous leur avez jetés à la figure.

Laissez leur le temps de prendre un bon bain, après les douches exterminatrices que votre civilisation européenne leur a proposées. Vous savez, dans ce petit pays de merde, on a la science largement répandue et sommes passés maîtres dans la désalinisation de l’eau de mer (de ?).

Et c’est devenu, ne vous en déplaise, un grand pays, au sens le plus noble du terme. Je suis sùr, et vous serez d’accord avec moi, qu’il y a moins d’illettrés et d’analphabètes dans ce petit pays de merde de 5 millions d’habitants, que dans la plupart des pays de la vieille Europe…

Et puis, monsieur l’Ambassadeur, avouez qu’en disant « ce petit pays de merde », c’est un lapsus qui voulait dire « ce petit peuple de merde. »

Sachez que ce petit peuple de merde, vous a tant donné que vous devriez, à l’heure qu’il est, être hautement contaminé.

Il semblerait, que ce soit les Juifs qui les premiers, ont introduit dans les transactions il y a fort longtemps, le principe du chèque par exemple, et donc de l’argent. Comme en plus, ils vous ont donné votre dieu, vous enragez : vous ne pouvez vous passer ni de l’un, ni de l’autre.

Étant à une brassée de la Belgique, vous n’avez sùrement pas manqué de vous délecter des caricatures antisémites parues dans certains quotidiens de ce bien plat pays.

Parce que chez ces gens là , monsieur, on pense que l’appendice nasal est exagérément hypertrophié chez les Juifs. Vous le pensez peut-être aussi?

Je ne vous désavouerais pas, car voyez vous, la couleur des yeux, comme la forme des oreilles ou du nez, ne sont que l’expression d’un génotype, que l’on appelle phénotype.

Alors que le premier ne varie pas, le phénotype lui, peut exprimer différemment le gène dont il est l’ambassadeur en quelque sorte. L’un de nos illustres sages, Hillel, le savait il y a fort longtemps, 2150 ans environ.

Et en fonction de l’environnement, ce phénotype peut changer : c’est ainsi que les japonais, qui ne sont pas très grands dans leur pays, gagnent plusieurs centimètres une fois transplantés dans un environnement plus favorable, disons les États-Unis par exemple, parce que le riz n’a jamais bien fait grandir.

Et bien, nous c’est un peu pareil. Il y a 2000 ans, on ne voyait pas les Juifs de cette façon. Jésus, tout Juif qu’il était, n’est jamais représenté avec l’horrible nez que vous nous faites porter. Il est vrai que vous ne l’aimeriez pas ainsi, vous rappelant trop ses origines.

C’est donc postérieurement, que nous sommes caricaturés de cette façon.

Alors, je vais vous dire, monsieur l’Ambassadeur : notre phénotype a peut-être changé, en rapport avec les raisons que j’évoquais tout à l’heure. A force de nous traîner dans la boue, je n’ose dire la merde, nous avons développé un organe de l’olfaction extrêmement performant.

Il nous a permis de détecter durant ces siècles, tous les relents d’antisémitisme nauséabonds, et nous a sauvé la vie à plusieurs reprises. Sentant ces odeurs excrémentielles et pestilentielles avant tout le monde, certains, peu nombreux il est vrai, ont eu la vie sauve.

Oh je sais, très peu. Ils nous est arrivé d’avoir le nez bouché, et de ne pas réagir aussitôt : nous y avons laissé la vie…

Soyez sùr, monsieur l’Ambassadeur, qu’avec le retour sur notre terre, et dans un environnement plus favorable, l’expression de notre génotype nasal, se transformera, car nous n’aurons plus besoin de renifler les gens comme vous qui véhiculent de telles odeurs de vespasiennes.

Encore une petite leçon de choses, comme l’on disait à l’école à votre époque : la couleur des excréments, le brun (de sinistre mémoire) pour être clair, provient des rejets de bile par le foie, sous forme de BILIRUBINE et de BILIVERDINE, couleurs naturelles par excellence, sans addition d’OGM.

L’odeur quant à elle, est la conséquence d’une multiplication bactérienne, produisant de la CADAVERINE et de la PUTRESCINE.

Ne vous faites surtout pas de bile pour nous, un jour dans ce petit pays de merde comme vous dites, D.ieu dans Son infinie bonté pour son peuple, en guise de reconnaissance éternelle pour le porte flambeau de son message, que nous avons été si fidèlement, effacera les larmes de nos visages et fera disparaître la mort à jamais. Il n’y aura plus de cadavérine ni de putrescine, comme au temps de notre sortie d’Égypte. Les water-closet n’existeront plus.

J’ai appris que vous aviez été nommé en Algérie. Quelle promotion dites donc ! J’espère que dans ce pays paisible, vous n’entendrez plus parler du petit pays de merde là bas vers l’Orient, le proche.

N’oubliez pas quand même, puisque vous avez mon adresse e-mail, de m’envoyer régulièrement de vos nouvelles, avec le décompte des assassinats de la veille dans ce bon pays d’Algérie où vous vous y êtes bien entendu pour y foutre une sacrée merde, par le passé…

J’espère aussi que les odeurs de cadavres putréfiés ne vous incommoderont pas trop, sinon je vous ferais parvenir quelques échantillons d’Herr Wick, un monsieur avec lequel vous vous seriez bien entendu. Une bonne claque aux bonnes petites mauvaises odeurs !

Je ne vous dis pas « l’an prochain à Jérusalem », comme nous le répétons depuis si longtemps, je doute que mes frères juifs n’aient envie de vous voir fouler le sol de notre Terre Sainte.

PS : Comme c’est drôle ! Mon voisin de palier, s’appelle Daniel Bernard, comme vous. Il fut mon professeur de mathématiques à la faculté. Et croyez moi, cet homme aujourd’hui à la retraite est encore très actif : il est responsable d’un organisme de lutte contre la pollution industrielle et ménagère. Alors questions W.C, je peux vous dire qu’il s’y connaît !

Et figurez vous, qu’à la dernière réunion de copropriété, il a voté contre l’installation de détecteurs infra rouges pour allumer la cage d’escalier, sans jamais nous traiter de petit peuple de merde et tout ceci, uniquement pour nous éviter, nous juifs, d’enfreindre les règles du Shabbat. Mais ceci est une autre histoire.

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Le commentaire d’Eli d’Ashdod

Une maladie grave se répand depuis la fin des années 60, les premiers symptômes se sont manifestés en juin 1967, depuis de plus en plus de personnes en sont atteintes.

Le mal se déclare au départ avec une incubation variable, les personnes les plus atteintes ont écouté d’une manière régulière les médias.

A la fin de la période d’incubation, on assiste à un phénomène très bizarre, le flux gastrique s’inverse, et les excréments qui normalement devraient se retrouver dans les toilettes, sont régurgités comme le font les ruminants, et sont rejetés au cours de réunions les plus diverses.

  • Il s’en suit une puanteur nauséabonde peu conforme au savoir vivre français, qui éloigne les plus téméraires vers des horizons nouveaux qui fleurent bon d’autres effluves.
  • Les personnes les plus atteintes se retrouvent au sein d’un club siégeant 37 quai d’Orsay à Paris. Ce club représente la France à l’étranger.
  • La tenue d’un représentant  doit être irréprochable car il est le reflet de l’entreprise qui le mandate. Il se doit dans l’exercice de ses fonctions à un devoir de réserve qui ne laisse rien transparaître de ses propres idées.
  • Tout manquement à ce devoir de réserve serait passible de licenciement dans une entreprise commerciale. Les émoluments versés aux membres de ce club étant réglés par nos impôts, nous avons le devoir de remettre de l’ordre car il en va de l’aura de la France.
  • La maladie dont sont atteints les membres de ce club est entrée dans une crise tellement aiguë que les personnes atteintes exhalent une odeur pestilentielle. Dans l’attente d’une guérison hypothétique, quelques règles d’hygiène sont rappelées ci-dessous :
  1. Après avoir déféqué, il est d’usage de s’essuyer avec du papier hygiénique. Le flux étant inversé, il conviendra de nettoyer convenablement tout le tour de la bouche.
  2. Se laver soigneusement les mains.
  3. Se gargariser avec de l’Hextril pur ce qui redonnera une haleine plus respirable pour l’entourage.
  4. Traitement de fond homéopathique : ne plus lire les Médias habituels, ni regarder la télévision, lire des blogs qui traitent des relations internationales, qui fleurissent de plus en plus nombreux. Une grande volonté de guérir est nécessaire car les risques de rechutes sont nombreux.
  5. Si le mal persiste, une autre consultation sera nécessaire, d’autres lectures seront prescrites. Aucun souci pour le déficit de la sécurité sociale, les consultations sont totalement gratuites, ainsi que l’accès aux blogs, seuls les livres seront à la charge du patient.
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